Agenda FPP 30 mai
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et on commence avec cette occupation sur la place de la Bastille, lancée par Utopia 56 paris-IDF, samedi et pour une durée indéterminée pour soutenir les jeunes mineurs isolés étrangers.
Chaque nuit et depuis des années, des centaines de jeunes arrivés en France sans leurs parents, dorment à la rue faute d’hébergement. Ils viennent du Mali, du Bangladesh, de Côte d’Ivoire, d’Afghanistan et d’ailleurs. Ils ont traversé, souvent seuls, le Sahara, la Libye, la Méditerranée, parfois pendant des années, avant d’arriver en France avec l’espoir de pouvoir étudier et grandir librement. Des parcours traumatiques auxquels s’ajoute la violence de l’accueil. Pour eux, l’État fait le choix de ne pas reconnaître leur minorité. Pour mettre fin à leur errance , partout en France, les associations demandent la création de structures d’accompagnement et d’hébergement adaptées.Suite à une saisine de 5 organisations, dont Utopia 56, auprès du comité des droits de l’enfant de l’ONU, une enquête a été ouverte. Elle a vocation à établir la réalité sur le traitement des mineur·es isolé·es par la France déjà plusieurs fois condamnée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour ses manquements.
Pour exiger l’hébergement et l’accompagnement social de l’ensemble de ces jeunes, la reconnaissance et le respect de la présomption de minorité, de l’intérêt supérieur de l’enfant et du droit au recours effectif, Utopia 56 Paris-IDF a donc installé une occupation sous tentes, au côté d’une soixantaine de jeunes actuellement et si vous voulez aller les soutenir, ils sont Place de la Bastille
Tous les jours à 12h et à 16 h l’association la table ouverte propose une distribution de repas
et c’est tous les jours à 12h et à 16h au 4 rue des Poissonniers, métro Barbès-Rochechouart
A partir de 13h se tiendra une assemblée générale à la BNF pour décider de la poursuite ou non de la grève reconductible lancée le 23 mai, par l’Intersyndicale CGT FSU et SUD pour la préservation d’un service public de qualité
L’Intersyndicale CGT-FSU-SUD Culture des personnels de la BnF, les représentants élus des lecteurs et usagers au Conseil d’Administration de la BnF, l’ALUBnF et le public mobilisé réaffirment leur opposition totale à la réduction drastique de la communication directe des documents conservés en magasins aux usagers de la Bibliothèque de recherche, ainsi qu’aux mesures qui l’accompagnent : augmentation du tarif d’entrée pour les lecteurs, réorganisation des plannings et dégradation des conditions de travail des personnels, politique de recrutement de contractuels ultra-précaires pour travailler en service public…
La direction de la BnF a choisi de passer en force en mettant en place dès le 2 mai cette réforme qui ne répond qu’à une logique budgétaire et comptable (comme le reconnaît désormais elle-même la direction), la BnF souffrant d’un manque massif de postes pour assurer à la fois ses missions essentielles et les nouveaux chantiers en cours.
En effet, en 10 ans, la BnF a perdu plus de 400 postes, dont 270 de magasinage, ces pertes continuant ces dernières années avec 122 postes de catégorie C perdus entre 2017 et 2021, malgré une relative stabilité des effectifs globaux, montrant bien le choix marqué de la direction de la BnF de continuer à supprimer des postes pourtant nécessaires au service public.
La réduction des services rendus au public est donc la conséquence directe d’une politique d’embauche délétère que l’intersyndicale CGT-FSU-SUD dénonce depuis des années. D’autant que, la mise en place précipitée de cette réorganisation, imposée sans concertation et contre l’avis de l’unanimité des organisations syndicales, des représentants élus des usagers, de l’ALUBnF et de plus de 18 000 lecteurs, usagers et amis de la BnF, s’avère déjà concrètement intenable, provoquant une désorganisation de plus en plus grave des services aux lecteurs et une dégradation inquiétante des conditions de travail des personnels.
Par ailleurs, la réouverture des salles de recherche du site de richelieu avec des horaires élargis se fera à moyen constant en mutualisant les salles et avec le retour de l’ultra précarité. La création d’un musée et d’une salle grand public (la salle ovale) nécessitent du personnel et a entraîné un transfert de postes du site de Tolbiac vers celui de Richelieu (car il n’y a pas eu de créations de postes spécifiques), ce qui a aggravé la situation sur le site de Tolbiac.
Tout cela était, malheureusement, prévisible. Les organisations syndicales et les lecteurs n’ont cessé d’alerter la direction sur ces problèmes depuis des mois, et sur les dangers que cette réforme fait peser sur l’ensemble des personnels et des usagers de la BnF, mais aussi sur son image nationale et internationale, aujourd’hui fortement écornée par cette réforme et par le refus de tout dialogue entretenu par la direction.
C’est pourquoi, l’Intersyndicale CGT-FSU-SUD Culture et les personnels, avec le soutien total des représentants élus des usagers, de l’ALUBnF et des lectrices et lecteurs mobilisés, sont en grève reconductible depuis le 23 mai, pour exiger :
– le retrait immédiat de la réforme actuelle et le retour aux conditions de communication directe en vigueur avant mars 2020
– la suspension des chantiers internes supplémentaires pour permettre à la BnF d’assurer ses missions essentielles au public
– la mise en place immédiate de toutes les mesures nécessaires pour pourvoir les postes dont la BnF a besoin, en particulier de magasiniers titulaires, avec la publication dès maintenant des postes vacants, puis l’organisation rapide d’un recrutement direct conséquent.
– l’abandon immédiat du recrutement des contractuels à temps incomplet sur besoins permanents sur des CDD d’un an, contrats ultra-précaires sans droit, et retour à leur recrutement en CDI.
– l’augmentation des moyens en personnel et financiers de la BnF pour pouvoir remplir dans de bonnes conditions l’ensemble de ces missions.
– la révision du fonctionnement prévu pour le site de Richelieu et la fermeture des salles de recherche à 18h. Le recrutement du personnel titulaire nécessaire pour le musée, la salle ovale et les salles de lecture.
– l’ouverture de consultations élargies sur les priorités de la BnF
et à 13h, une Ag est organisée à la Bibliothèque Nationale de France, dont l’entrée se fait par le Quai François Mauriac, métro BNF
►Lien vers la pétition des usagers : https://www.mesopinions.com/petition/art-culture/bibliotheque-nationale-france-retour-aux-communications/175704
►Soutenez le personnel en grève reconductible en participant à leur caisse de solidarité : https://www.lepotcommun.fr/pot/7qpwgjpn
de 13h à 17h, le syndicat sud commerces et services Francilien-Solidaires ouvre sa permanence juridique hebdomadaire pour aider les travailleuses et travailleurs à faire face aux problèmes qu’iels rencontrent sur leur lieu de travail
et si vous voulez vous rendre à la permanence, c’est ouverte de 13h à 17h au 7 rue Vicq d’Azir, métro colonel Fabien
de 14h à 17h, c’est la Permanence syndicale de la CNT Région parisienne qui sera ouverte
et si vous voulez vous y rendre, c’est ouvert de 14h à 17h au 33 rue des vignoles, métro Avron ou Buzenval
depuis 9h ce matin, et toute la journée le laboratoire de sociologie Mesopolis de l’université Aix-Marseille organise une journée d’étude à suivre en ligne sur le confinement et ses impacts sur la protection de l’enfance
La crise sanitaire de la COVID-19 et la période du premier confinement pendant 3 mois en France en mars-avril-mai 2020 ont eu des répercussions considérables sur la protection des enfants, à la fois en termes de violence familiale mais aussi de prise en charge institutionnelle. Il a été constaté une augmentation de 30 % des violences familiales et des maltraitances sur les enfants, et dans le même temps un arrêt du fonctionnement des institutions judiciaires et de toute nouvelle prise en charge. Au-delà de ce constat, cette période a eu aussi des conséquences sur les enfants déjà pris en charge en familles d’accueil, avec un arrêt des visites parentales, un arrêt des suivis médicaux et psychologiques pour un confinement total dans la famille qui les accueille, 24h/24 et 7 jours sur 7.
Comment les travailleurs sociaux, les assistants familiaux, les enfants confiés en protection de l’enfance ont-ils vécu ces différents confinements ? Quelles conséquences les confinements ont-ils eu sur les relations entre l’enfant confié, sa famille d’accueil, ses éducateurs et ses parents ? Comment la crise sanitaire et les confinements se sont-ils déroulés au sein des instance de protection ? C’est à ces questions que des praticien.ne.s et chercheurs tenteront de répondre, et si vous voulez suivre cette journée d’étude en ligne, les discussions reprendront à 14h sur : https://mesopolhis.fr/blog/events/journee-detude-mesopolhis-irts-pacala-crise-sanitaire-en-protection-de-lenfance-des-consequences-inedites/
de 15h à 17h30, la Recyclerie propose un atelier de conversation avce l’association Français langue d’accueil
l’association a pour objet d’organiser des ateliers d’apprentissage du français pour les demandeurs d’asile et les réfugiés récents, dans les quartiers autour des gares du Nord et de l’Est.
La longue attente sans repère qu’occasionne la procédure de demande d’asile n’est pas favorable à la mobilisation des personnes concernées et entraîne souvent le développement de diverses pathologies. C’est une des raisons pour laquelle l’ action de l’association s’inscrit dans une philosophie du « faire avec » les personnes. Une action fondée sur l’échange entre les demandeurs d’asile et les bénévoles.
Et si vous voulez participer à cet atelier, rdv à 15h30 à la recyclerie qui se trouve au 83 bvd d’Ornano, métro Porte de Clignancourt
de 15h à 18h, le séminaire sur « La science à l’épreuve des données » organisé par l’université de paris, se poursuit avec une séance qui sera consacrée à « Ce que le genre fait aux données d’enquête ».
et si vous voulez en discuter avec Delphine Naudier et Maud Simonet (CNRS)
rdv de 15h à 18h, à l’Université Paris Cité, sur le Campus des Grands Moulins, Bât. "halle aux farines", salle des thèses, et c’est au métro BNF
À 16h30, le séminaire "Témoigner sous contrainte (XXe-XXIe siècles)" organisé par l’EHESS se poursuit avec une séance autour Natalia Morozova du Mémorial de Moscou
Et si vous voulez assister à cette séance, rdv à 16h30 au centre de colloques, sur le Campus Condorcet, dont l’entrée se fait par la Cours des Humanité, à Aubervilliers, métro Front populaire
de 17h à 19h, l’Institut d’Études avancées propose une table-ronde intitulée : Civils en temps de guerre-Perspectives historiques sur la guerre en Ukraine
une table-ronde qui réunira : Marta Havryshko, de l’académie nationale des sciences en Ukraine, l’historienne Masha Cerovic, de l’EHESS, l’historienne Claire Andrieu, de Sciences Po et l’historien Sheldon Garon, de l’université de Princeton University
et si vous voulez suivre cette table-ronde, rdv de 17h à 19h à l’Institut d’Études avancées, c’est au 17 quai d’Anjou, métro pont Marie
et il faut vous inscrire au préalable via : https://www.paris-iea.fr/fr/evenements/civils-en-temps-de-guerre-perspectives-historiques-sur-la-guerre-en-ukraine
de 18h à 20h, le collectif Un Ring pour tou.te.s propose ses sessions de cours de boxe anglaise d’autodéfense pour ados et adultes à Saint-Denis
et ça se passe de 18h à 19h pour les enfants/ados et de 19h à 20h pour les adultes, au chapiteau Raj’ganawak qui se trouve au 3 rue Ferdinand Gambon, à St-Denis c’est juste en face de la sortir de la gare de St-Denis
à 18h, le séminaire Genre et Féminismes dans les Amériques latines se poursuit, avec une séance en ligne qui sera consacrée à Résister en et avec l’Amazonie
et si vous voulez en discuter avec : Diana Paola Garcés Amaya, de l’Univ. Grenade, une représentante du collectif d’art et de recherche NO MAS METAFORAS, l’artiste misak Julieth Morales, et Vilma Almendra et Manuel Rozental, de l’assoc. Pueblos en Camino, rdv de 18h à 20h sur : https://univ-eiffel.zoom.us/meeting/register/tZAscOCvrDssG9da6FMgivKgVYL72HFGNp32
à 18h aussi, le séminaire sur les Approches matérialistes des images ordinaires organisé par le collectif Imageries et l’EHESS se poursuit, avec une séance qui sera consacrée aux Matérialités numériques
Laurence Allard (Université Lille 3), reviendra sur L’usage des mèmes dans la collapsophère publique. Et proposera une Approche écocritique pour une rematérialisation décoloniale du numérique. Pour cela, Laurence Allard s’appuiera sur un corpus de mèmes partagés au sein de groupes de la “collapsosphère”, ces groupes ouverts sur la plateforme Facebook qui rassemblent individus ou collectifs préoccupés par la thématique des effondrements systémiques en lien avec le dérèglement climatique. Ce corpus de mèmes et leurs commentaires documente la gamme plurielle d’affects, de perceptions et de conceptions vernaculaires mis en jeu dans ces partages commentés autour de la perspective effondriste. En partant de l’hypothèse du mème comme prose du web, elle reviendra sur l’apport d’une approche écocritique et décoloniale du numérique, dont l’empreinte environnementale participe de l’effondrement anthropocénique et demeure néanmoins, au travers de ce genre de groupes Facebook, un terrain ambivalent d’alerte et de mobilisation.
Et si vous voulez en discuter avec Laurence Allard, autrice notamment de Mythologie du portable, paru aux éditions du cavalier bleu, rdv de 18h à 20h, dans la salle AS124 de l’EHESS, sur le site du 54 bvd Raspail, métro Sèvres-Babylone
Et vous pouvez aussi suivre la séance en ligne via : https://bbb.ehess.fr/b/lau-8ep-zku-bri
A 18h30, l’UL CGT Paris 18 organise son AG hebdomadaire
et c’est à 18h30 au 42 rue de clignancourt, métro Château rouge
à 19h, les Gilets Jaunes de Belleville tiennent leur Assemblée hebdomadaire
Et le rdv est donné à 19h , au café Le Côte d’Azur, 6 Rue du Château d’Eau, métro république
De 19h30 à 21h30, l’association Autremonde tient sa permanence administrative hebdomadaire
Cette permanence assure l’ouverture de certains droits : PUMA, CSS, AME, ou encore Solidarité transport.
Et si vous voulez savoir les documents nécessaires à l’ouverture de ces droits, vous devez contacter en amont le : 0143147780.
et pour vous rendre à la permanence, sans rendez-vous, c’est ouvert de 19h30 à 21h30 au Dorothy qui se trouve au 85 bis rue de Ménilmontant, métro
Demain matin, à partir de 10h, Le Syndicat Gilets Jaunes propose une permanence sans rendez-vous
Et si vous voulez y aller c’est ouvert demain à partir de 10h au 21 Bd Haussmann, dans l’immeuble actualis 2ème étage.
Demain matin aussi à 10h, Sud Education Val d’Oise et le collectif Val d’Oise Est se mettent en grève pour une service public de qualité
Les résultats des admissions aux concours de cette année témoignent de la profonde crise qui touche l’éducation. Après des années de baisses budgétaires, de mépris et de répression, on ne peut que constater la désaffection massive des candidat·es.
Dans l’Est du département du Val d’Oise, nombreux sont les établissements, notamment en éducation prioritaire, qui ont tiré la sonnette d’alarme depuis longtemps et notamment via le Collectif Val d’Oise Est.
En effet, les classes sont surchargées et les seuils de 26/28/30 élèves selon que l’on travaille en REP / REP + ou non font déjà partie de l’histoire ancienne.
Dans le premier degré, les conditions sont similaires et l’absence totale de moyens administratifs et de vie scolaire continue d’essorer des personnels déjà épuisés, ce qui nuit gravement à la qualité de l’enseignement et au suivi des élèves en difficulté. Sans surprise, cette dégradation du taux d’encadrement mène déjà à des tensions et à une hausse des violences dans les établissements et aux abords.
Les différentes audiences demandées par les établissements du bassin n’ont jamais donné lieu à une quelconque remise en cause de la politique d’austérité orchestrée par le Ministère et appliquée par la DSDEN.
Pire, la réponse apportée par la hiérarchie repose de plus en plus sur une incitation à faire plus avec moins.
Cette politique irresponsable ne s’arrêtera que sous la pression d’une mobilisation importante pour défendre une école publique égalitaire et démocratique.
À la suite de l’AG du Collectif Val d’Oise Est, Sud éducation 95 appelle donc à la grève demain pour mettre un coup d’arrêt à ces politiques irresponsables de casse du service public.
Aussi pour exiger :
• Des moyens horaires supplémentaires pour l’éducation prioritaire afin de permettre à nos élèves de réussir comme ils le méritent
• Un retour à des classes à effectifs réduits (pas plus de 20-22 élèves)
• Des recrutements massifs de personnels (notamment CPE, AED, AESH, ULIS, UPE2A)
• La titularisation de tous les personnels précaires du Val d’Oise est
• l’arrêt immédiat des réformes libérales de l’ère Macron-Blanquer et la fin de la marchandisation de l’école
Sud Éducation Val d’Oise et le collectif Val d’Oise Est se mettent en grève demain et à 10h une AG est organisée à la salle Watteau, 1 Route des Refuzniks à Sarcelles
Enfin, demain : le secteur social et médico-social est en grève et la Commission de Mobilisation du Travail Social Ile-de-France organise une manif
Alors que les réalités quotidiennes dans les services sont toujours aussi difficiles : sous-effectifs, pressions, petits salaires, manque de moyens…
Alors que la dernière séquence de mobilisations du secteur qui s’est ouverte le 7 décembre dernier, a été très suivie, et a contraint le gouvernement à faire des propositions pour l’amélioration des conditions de travail et d’accueil.. le compte est loin d’être atteint :
– Des filières de métiers sont encore exclues, notamment administratives et techniques,
– Les primes sont incertaines et très insuffisantes notamment face à la flambée des prix et au gel des points d’indice pour le privé comme le public
– Le démantèlement des formations et des conventions collectives se poursuit avec pour conséquence la dégradation des conditions de travail et d’accueil du public.
– Aucune annonce n’a été faite sur l’augmentation de moyens humains et financiers pour répondre aux besoins de la population et ainsi faire face à la dérive gestionnaire de nos missions.
Aussi pour la commission du travail social en IDF, il est nécessaire de poursuivre la construction d’un rapport de force pour contraindre le gouvernement à mettre de véritables moyens dans le secteur social et médico-social.
C’est pourquoi demain et après demain, une grève nationale du secteur est lancée, et la commission de mobilisation du travail social en IDF organise une manif avec un rdv donné à 13h devant l’hôtel de ville de Paris
RDV CULTURELS
et cet appel à films d’abord lancé par le cinéma le Trianon de Romainville dans le cadre de son concours de courts-métrage "Les Jeunes font aussi leur cinéma".
Pour cette 7ème édition de son concours à destination des jeunes de 13 à 20 ans, le thème choisi est le handicap.
Il s’agit de contribuer à rendre visible le handicap sous toutes ses formes, réfléchir sur les différences et sur ce qui nous unit, lutter pour une société plus inclusive et solidaire, mieux représenter les personnes porteuses de handicap sur nos écrans, porter un regard différent.
Le thème pourra être traité sous plusieurs formes : documentaire, fiction, clip, expérimental, animation...
Concours réservé aux films de jeunes résidant en Île-de-France et de 13 à 20 ans.
Une attention particulière sera portée aux films réalisés avec la participation conjointe de personnes valides et porteuses de handicap ainsi qu’aux films accessibles à toutes et tous (sous-titrages, audiodescription....).
Enfin, le film doit durer de 2 à 6 minutes, générique compris.
Et si vous voulez envoyer vos films, il faut le faire avant demain
1. Remplir ce formulaire d’inscription
2. Envoyer votre film
fichier (.mov ou .mp4), dvd ou clé usb
par mail à cinema.trianon@est-ensemble.fr
ou
par courrier à Cinéma le Trianon
Place Carnot 93230 Romainville
Pour plus d’informations, contactez Thaïs Lorgeril : thais.delorgeril@est-ensemble.fr
à partir de 18h aujourd’hui et jusqu’à dimanche, la Librairie de Paris organise la 1ere édition du Festival citoyen de la Place de Clichy, un festival pour défendre la solidarité et l’inclusion
avec au programme des Parcours d’expériences, ateliers, rencontres avec des auteurs, performances artistiques…
et aujourd’hui, il y aura notamment, à 18h30 un Atelier Fresque du Climat
pour mieux comprendre les causes et conséquences du changement climatique, et ça se passe au centre paris Anim’Jacques Bravo, 14-18 rue de la Tour des Dames, 9e.
Et si vous voulez retrouver le programme complet du festival citoyen de la place Clichy, rdv sur le site : www.festivalplaceclichy.fr
la 8ème édition du festival Ciné-palestine se poursuit, avec au programme ce soir
à 18h30, la projection de Women Beyond Borders de Jean Chamoun et Mai Masri qui offrent un témoignage de la vie et du travail de plusieurs femmes ayant rejoint la lutte pour la libération de la Palestine.
Et à 20h, il y aura la projection de Beirut : Eye of the Storm de Mai Masri qui suit quatre jeunes femmes qui documentent une période mouvementée de l’histoire libanaise récente, du soulèvement contre le régime au confinement jusqu’à l’explosion du port de Beyrouth en aout 2020.
et si vous voulez voir ou revoir ces films, rdv à 18h30 et à 20 au ciné le Méliès qui se trouve au 12 place jean Jaurès, à Montreuil, métro Mairie de Montreuil
à 19h, La Cité internationale des arts, le Mucem et l’Institut français de Gaza organisent une rencontre autour du musée du futur à Gaza, le projet "Musée des Nuages SAHAB" conçu par le collectif HAWAF.
Le collectif, composé de Mohamed Abusal, Sondos Al-Nakhala, Mohamed Bourouissa et Salman Nawati présentera le projet et en dicutera avec l’anthropologue Marion Slitine.
Et si vous voulez en discuter avec le collectif, rdv à 19h dans l’Auditorium de la Cité internationale des arts, c’est au 18 rue de l’Hôtel de ville, métro hôtel de Ville
à 19h aussi, le Cinéma L’Arlequin propose une projection-débat en avant-première du film Lettre à l’enfant que tu nous à donné en présence de la réalisatrice Charlotte Silvera
Comment protéger notre lien avec les jeunes ? C’est la question à laquelle le film tente de répondre en s’adressant directement à eux par une voix off. Dans une mosaïque de séquences de fiction et d’animation, d’extraits de films, de prises de vue « smartphone » et d’une quantité considérable d’archives, le film restitue des pans entiers de notre Histoire et de notre actualité, par des retours sur quelques grandes conquêtes politiques et sociales que, bien souvent, les jeunes méconnaissent. « Lettre à l’enfant que tu nous as donné » vise à les inciter à mesurer l’importance des Lois, l’enjeu de la démocratie, et à les pousser à l’engagement
et si vous voulez découvrir ce film en avant-première et en discuter avec sa réalisatrice, rdv à 19h au ciné l’Arlequin, c’est au 76, rue de Rennes, métro St-Sulpice
à 20h, La Cinémathèque du documentaire à la Bpi propose la projection en avant-première du film docuemtaire Aya de Simon Coulibaly Gillard
Aya grandit avec sa mère dans la presqu’île de Lahou-Kpanda, au large de la Côte d’Ivoire. Joyeuse et insouciante, elle aime cueillir des noix de coco et dormir sur le sable. Pourtant, son paradis est voué à disparaître sous les eaux. Alors que les vagues menacent sa maison, Aya fait un choix : la mer peut bien monter, elle ne quittera pas son île.
À travers une écriture qui emprunte aux codes de la fiction tout en restant totalement ancrée dans la réalité des habitants de l’île, ce film hybride travaille à concentrer l’ensemble des histoires rapportées par la population dans le destin de Marie-José (Aya), jeune fille de 14 ans devenue porte-parole de tout un peuple aux prises avec de graves problèmes environnementaux.
Et si vous voulez découvrir ce film en avant-première, rdv à 20h à la cinémathèque du documentaire à la BPI, c’est au centre Pompidou, métro Rambuteau
Parution :
Le premier numéro de la revue Mondes arabes vient d’être publié aux éditions La découverte et il est consacré à "Faire des sciences sociales du politique"
Et dans cette toute nouvelle revue lancée par Manon Nour Tannous, vos trouverez une contribution d’Amin Allal, Youssef El Chazli sur Les constructions illégales de la révolution ; une contrib de Yasmine Berriane, Aymon Kreil sur La vie sociale des normes, D’amour et de droits en Égypte et au Maroc ; une contribution de Chaymaa Hassabo et Choukri Hmed sur Les dénouements des situations révolutionnaires qui propose de Repenser les révolutions et les changements de régime à partir des cas de la Tunisie et de l’Égypte (2010-2014) ; ou encore une contribution de Manon-Nour Tannous et Matthieu Rey qui interroge La Syrie comme objet d’étude (des années 1980 aux années 2010)
et si vous voulez découvrir cette nouvelle revue et la suivre, rdv sur le site internet : https://mondesarabes.fr/
MUSIQUE : Leyla McCalla – "Ekzile"