RDV MILITANTS

à partir d’aujourd’hui, Le squat de la Baudrière organise les Digitales : les rencontres d’écologies vénéneuses qui se tiendront jusqu’à dimanche
Avec ce festival de rencontres et de discussions, il s’agira d’envisager nos habitats comme des perspectives écologiques radicales : le squat, la ZAD, l’occupation collective… en opposition à la propriété privée, à la ville quadrillée et métropolisée, aux espaces marchands, pour faire exister d’autres manières d’habiter et de se projeter dans un monde toujours plus invivable. Face aux dynamiques urbaines d’embourgeoisement qui ségréguent, et qui justifient aussi la bétonisation des banlieues franciliennes, il s’agira de dresser d’autres perspectives, d’autres façons de faire.
Il s’agira aussi de considérer l’écologie politique comme perspective émancipatrice pour les communautés précaires, qu’elles soient TransPédéGouines, handix, fol*s non-blanc·he·s pour revendiquer des écologies déviantes qui refusent de se soumettre à une écologie infestée de cis-héténormativité, de validisme, de colonialisme et de racisme qui néglige nos expériences de vies, nos désirs et souhaite notre mort. La Baudrière est une zone à défendre, une zone d’expérimentation, de vies collectives contre la métropole et contre l’habitation violente de nos milieux.
Et si vous voulez discuter de tout ça, rdv à partir d’aujourd’hui et jusqu’à dimanche au squat anarchaféministe de la Baudrière, c’est au 65 bis rue voltaire à Montreuil, métro Robespierre

Jusqu’à 13h, la CGT Paris 18 ouvre sa Permanence pour accueillir les travailleurs privés d’emploi et précaires et les aider à résoudre leurs difficultés avec Pôle Emploi ou la CAF
Et si vous voulez vous rendre à la permanence, c’est ouvert jusqu’à 13h, à l’Union Locale CGT PARIS 18e, 42 Rue de Clignancourt, métro Château Rouge

à 13h, le Comité de Défense de l’Hôpital de Beaumont et les syndicats CGT, UNSA, Solidaires, de l’hôpital de Beaumont, et celui de Saint-Martin-du-Tertre, organisent un rassemblement pour dénoncer la fusion administratives et le désastre sanitaire
La catastrophe sanitaire surgit à nu dans tout le pays. Urgences hors d’état de fonctionnement, des dizaines de milliers de lits fermés, des services de santé essentiels disparus, des fusions-fermetures d’hôpitaux… Un taux de mortalité infantile en augmentation…C’est un véritable désastre.
Malgré cette situation :
 L’hôpital de Saint Martin du Tertre spécialisé dans les soins gériatriques est promis à la fermeture.
 A l’hôpital de Beaumont, en pleine pandémie, le service de réanimation, et des lits de soins intensifs ont été fermés ; en plein confinement, quand des enfants perturbés dans leur scolarité étaient en pleine détresse, 12 lits de pédiatrie ont été fermés, et à la maternité de l’hôpital le service de néonatalogie a été fermé aussi, mettant en péril les prématurés
Et puis, ces derniers mois, les choses se sont accélérées : Après l’urologie, ce sont les services de pneumologie, de diabétologie, de neurologie, de cardiologie, qui ont vu leurs chefs de services partir, certains à la retraite et d’autres dégoutés des conditions qui leurs sont faites …
Ce n’est plus un hôpital. C’est un naufrage, un naufrage qui concerne pas moins de 180.000 personnes
aussi pour protester contre cette politique de destruction de l’hôpital, et défendre un hôpital de proximité, le Comité de Défense de l’Hôpital de Beaumont et les syndicats CGT, UNSA, Solidaires, de l’hôpital de Beaumont, et celui de Saint-Martin-du-Tertre, organisent un rassemblement, et le rdv est donné à 13h sur le parking de l’hôpital à Beaumont sur Oise

à 14h, la coordination des sans papiers 75 organise son rassemblement hebdomadaire pour exiger la régularisation des sans-papiers et la fermeture des Centre de Rétention Administrative
et si vous voulez les soutenir, rdv à 14h sur la place de la république

De 16h30 à 18h30, le séminaire Palestine organisé par l’EHESS, se poursuit avec une séance autour de Khalil Allaham qui parlera des « Statut(s) juridique(s) des réfugiés palestiniens et leurs droits à l’épreuve de la pratique »
et si vous voulez assister à cette séance, rdv de 16h30 à 18h30 au Campus Condorcet-Centre de colloques, Salle 3.06, métro Front populaire

à 17h, la permanence Santé et conditions de travail sera ouverte à la Bdt de paris
cette permanence qui est ouverte à tou.te.s, travailleuses et travailleurs de tous statuts, vous permet d’avoir des conseils et des outils pour vous défendre, auprès de médecins du travail, psychologues du travail, agents de l’inspection du travail
et si vous voulez vous rendre à cette permanence, rdv de 17h à 19h, à la BDT, 3 rue du château d’eau, métro République

De 17h30 à 19h, l’Union départementale CNT du Val de Marne tiendra sa permanence syndicale hebdo à la maison des syndicats de Choisy le ROI
Elle permet aux travailleuses et travailleurs, avec ou sans emploi, de l’éducation, des transports, de l’industrie, du commerce ou des services de venir échanger sur les conflits au sens large rencontrées sur le lieu de travail.
Et si vous voulez vous rendre à la permanence elle sera ouverte de 17h30 à 19h au 27 boulevard des alliés, à choisy le roi

ce soir, à partir de 18h, le squat de la Baudrière propose une Soirée de soutien à la 15e commémoration pour Lamine Dieng qui aura lieu le samedi 18 juin Place Carmen 75020
Au programme de cette soirée de soutien, il y aura la Cantine des communardes et à 21h la Projection du film "Dire à Lamine" de Cases Rebelles suivie d’une discussion
et si vous voulez participer à cette soirée de soutien, rdv à partir de 18h Rendez-vous à la Baudrière au 65bis rue Voltaire à Montreuil, métro Robespierre

à 18h30 ce soir, Reporters sans frontières organise un rassemblement en Hommage à Frédéric Leclerc Imhoff, journaliste tué en Ukraine.
Et si vous voulez lui rendre hommage, rdv à 18h30 ce soir, sur la place de la République

à 18h30 ce soir, la librairie Utopia organise une rencontre avec Simon Fouquet qui parlera "Droit du travail et Démocratie"
Simon Fouquet de l’université de Nice, travaille sur les potentialités démocratiques du droit du travail français et proposera des réflexions sur ce sujet, informées par une double perspective philosophique et historique. Pour cela, il s’appuiera notamment sur le livre "voyages en misarchie" publié en 2019 par Emmanuel Dockes, dans lequel ce professeur en droit du travail à l’université de Nanterre a proposé sous la forme du récit d’un voyageur arrivé là par accident la description du fonctionnement sorte d’utopie socialiste libertaire, s’inscrivant ainsi explicitement dans la tradition des récits de voyages en utopie, de Thomas More aux auteurs socialistes du XIXe et XXe siècle.
Et si vous voulez discuter droit du travail et démocratie avec Simon Fouquet, rdv à 18h30 ce soir, à la Librairie Utopia, 1 Rue Frédéric Sauton, métro Maubert-Mutualité

demain de 10h à 12h, se tiendra la permanence juridique et sociale du BTP
Ouverte à tous les salariés du BTP (en formation, en activité, au chômage ou en retraite), le syndicat apporte des réponses sur les questions de droits (travail, logement, santé, régularisation, culture…).
Et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle sera ouverte demain de 10h à 12h au local de la confédération nationale du travail, au 33 rue des Vignobles, métro Avron ou buzenval

demain matin, de 10h à 12h, Solidaires Seine-Saint-Denis ouvre sa permanence dédiées aux travailleuses et travailleurs du 93, pour les aider à résoudre leurs problèmes au travail
et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle sera ouverte demain de 10h à 12h à la BDT de Saint-Denis, 9 rue génin, métro porte de Paris

à 11h demain matin, la campagne antiracisme et solidarité organise une Manif antiraciste et antifasciste à St Denis
Et le rdv est donné à 11h à la Porte de Paris pour une manif en direction de la mairie de St-Denis
et à 15h, la campagne antiracisme et solidarité organise une Manifestation contre le racisme et l’extrême droite à Paris
et le rdv est donné à 15h, sur la Place Blanche, métro Blanche

Demain, à 13h, le Collectif urgence notre police assassine, l’Assemblée des blessés et le média Cerveaux non disponibles organisent un Rassemblement "Contre les crimes policiers ! Contre le permis de tuer"
La police tue. On le dira jamais assez. Elle a encore tué il y a quelques jours en plein Paris. Cette fois, la victime est une jeune femme de 21 ans, elle s’appelait Rayana. Il y a quelques semaines, c’étaient deux frères qui étaient tués au fusil d’assaut par un policier. Et ils ne sont malheureusement pas les seuls. La liste des personnes violentées, mutilées, tuées par les forces de l’ordre ne cesse de s’allonger.
Cela fait des années que de nombreux collectifs dénoncent ces crimes. Des années qu’ils alertent en particulier sur la loi de 2017 qui a assoupli les règles d’usage d’armes à feu pour les policiers.
Aussi pour dénoncer les violences policières, rendre hommage à Rayana et à toutes les autres victimes, Et pour demander l’abrogation de cette loi de 2017, le Collectif urgence notre police assassine, l’Assemblée des blessés et le média Cerveaux non disponibles organisent donc un Rassemblement demain, et le rdv est donné à 13h sur la Place de la République

demain aussi, à partir de 13h, l’assoc APPUII fête ses 10 ans
Depuis dix ans, une centaine de bénévoles actifs, des centaines d’étudiant.es d’architectures et d’urbanisme, une dizaine de stagiaires et services civiques, et sept salarié.e.s ont fait vivre et font vivre APPUII. L’association est intervenue dans une trentaine de quartiers populaires de France, ce qui a permis de faire entendre une voix peu audible et parfois de modifier certains projets.
À travers plusieurs campagnes d’interpellation des élus, l’organisation d’évènements de mise en réseau de compétences, et la participation à d’autres dynamiques nationales aux côtés d’acteurs associatifs et institutionnels, son ambition est de changer durablement la manière de produire la ville en y intégrant les premiers concernés.
Cette célébration des dix ans d’APPUII donnera la parole à ceux qui revendiquent d’agir sur leur quartier et se mobilisent pour construire une ville plus juste et durable.
Et au programme de cet aprem festive, il y aura des discussions collectives sur l’entraide dans les quartiers populaires, avec : Diangou Traoré de l’assoc Franc-Moisin Citoyenne ; Rachid Najmaoui d’Elancoeur ; Mohamed Ragoubi, APPUII ; et La cantine des femmes battantes
un autre débat sur la contestation des projets urbains imposés , avec Houcine Messous du collectif des locataires du Bois de l’Etang – des membres de Sauvons les Jardins d’Aubervilliers ; Pedro Stilo de Pão e Tinta ; et Fatima El Atmioui, du Collectif des habitants Robert Schuman
et enfin, une discussion sur comment Soutenir des initiatives populaires pour construire des projets alternatifs avec Emmanuel Patris, Un Centre Ville Pour Tous - Meryl Septier, Coopérative Artéfact ; Caio Santo Amore, Peabiru ; Enora Chopard, Terres de Luttes et Karima Benali, Rennaissance des Groux/APPUII (sous-réserve)
et pour finir cet aprem de discussion, il y aura Dj Set de Maitre Madj et un repas préparé par la Cantine des femmes battantes
et si vous voulez fêter les 10 ans d’APPUII, rdv demain à partir de 13h à l’AERI, 57 rue Etienne Marcel, à Montreuil, métro Croix de Chavaux

demain, à partir de 13h30, les éditions Syllepses et Peps, pour une écologie populaire et sociale organisent une rencontre, à l’occasion du Retour d’Ukraine de la délégation du réseau européen de solidarité, une rencontre intitulée : Quatre heures pour la résistance ukrainienne
avec au programme trois tables rondes sur la Guerre et résistance, sur les Solidarités internationales, et Sur tous les fronts : Femmes, réfugié.es, éditions, écologie....des tables-rondes qui réuniront notamment : Denys Gorbach et Sotsialnyi Rukh (Ukraine), la chercheuse Catherine Samary, Mireille Fanon, Coordination des Ukrainiens de France, Coordination des Syriens, éditions Medusa (Ukraine) et Syllepse (France), coopérative européenne Longo Maï, la commission femme du Réseau européen, ou encore des syndicalistes, avec des témoignages et des vidéos tournées sur place
Et si vous voulez participer à cet aprem de solidarité avec l’Ukraine, rdv demain à partir de 13h30 à la Bourse du Travail, dans l’annexe Varlin, dont l’entrée se fait par le 29 Boulevard du Temple, métro République

demain, à partir de 15h, XR organise une action de désobéissance civile intitulée "Nos racines détruiront leur béton"
Partout dans le Grand Paris ou en France, le béton avance et les arbres tombent. Demain à 15h, à Paris, Extinction Rébellion organise une action de désobéissance civile à risque juridique très faible. Elle aura lieu en milieu d’après-midi et sera suivi d’un goûter festif.
Et si vous voulez y participer, il faut vous inscrire via : ici

demain, de 15h30 à 18h30, l’Université du Bien Commun propose une rencontre sur “ Les biens communs, l’horizon pour le Climat”
La « nature » est généralement réduite au statut de ressource à exploiter ou d’environnement à protéger par des mesures conservatoires, contrairement à la tradition millénaire des peuples autochtones qui perçoivent la Terre comme un milieu vital partagé, dont ils sont partie intégrante.
La pensée des biens communs, en tant que pensée du vivant, vise à régénérer un rapport entre humains, non-humains et biosphère. Les pratiques et la reconnaissance des biens communs se propagent dans ce sens un peu partout dans le monde et préfigurent un changement nécessaire pour refonder l’équilibre rompu.
Avec cette rencontre, il s’agira de revisiter les concepts et les pratiques les plus significatives des communs et des biens communs, afin de traiter de leur pertinence constructive par rapport au climat.
Des économistes, des juristes, des philosophes, des scientifiques confronteront leurs points de vue pour mieux comprendre les communs, les outils, concepts et imaginaires dont ils sont porteurs pour le climat.
Et si vous voulez en discuter avec : Alexandre Monnin, Philosophe, Corinne Ducrey, Cofondatrice de l’UBC, Présidente du festival Chemin Faisant, Elif Karakartal, Anthropologue et réalisatrice de films documentaires, Yovan Gilles, Cofondateur de l’UBC et co-rédacteur de la revue Les périphériques vous parlent, Patrick Viveret, Philosophe, économiste, alter-mondialiste, co-fondateur des « Dialogues en humanité »…et Nuage et Phit, membres de Youth for climate
rdv demain à 15h30 Salle des mariages (2e étage) à l’Académie du Climat, 2 place Baudoyer, métro Saint-Paul
Pour s’inscrire : http://framaforms.org/universite-du-bien-communparis-biens-communs-et-climat-1651353136

demain à 20h, La Flèche d’Or et le Nta Rajel organise un débat sur les Identités LGBTQIA & Islam
le Nta Rajel ? est un collectif féministe composé de personnes issues des diasporas nord-africaines (en non-mixité femmes et minorités de genre). Dans une approche décoloniale et antiraciste, les membres du collectif présenteront le travail effectué avec les musulman.e.s queers, et ouvriront le débat pour échanger sur la spiritualité, les croyances et sur les perspectives de libération.
Et si vous voulez discuter avec des membres du collectif des identités LGBTQIA et de l’islam, rdv demain à 20h à la Flèche d’Or, 102 bis, rue de Bagnolet, Métro Porte de Bagnolet ou Alexandre Dumas

dimanche, à 14h, la Confédération Nationale du Travail organise une Fête de soutien à l’Union Pacifiste
L’Union Pacifiste est née en 1961 dans la lignée de mouvements plus anciens. Indépendante de tout groupe politique ou religieux, elle accueille tous ceux qui se reconnaissent dans le pacifisme intégral, le refus de toute armée et de toute guerre. L’Union Pacifiste préconise un désarmement unilatéral, total et immédiat, idée développée en France par Louis Lecoin, et relancée avec la proposition de loi n°271 du 23/04/93. Elle lutte contre tout militarisme, les ventes d’armes, les accords armée-école, les ordonnances de 59, les essais nucléaires... Elle soutient les réfractaires à l’armée : objecteurs, insoumis, déserteurs. Section française de l’International des Résistants à la Guerre, l’Union Pacifiste est en contact permanent avec les pacifistes de nombreux pays. Elle édite, par ses propres moyens, le mensuel "Union Pacifiste " disponible par abonnement ou auprès des groupes locaux. L’Union Pacifiste tient l’émission "Si vis pacem" tous les jeudis (18h00-19h30) sur Radio Libertaire.
Cette journée de soutien à L’Union Pacifiste, mouvement qui milite contre le militarisme et toutes les guerres sera nourrie de débats, concerts, projections, tables de livres/disques et d’ une exposition d’affiches antimilitaristes ; et si vous voulez y participer, rdv dimanche de 14h à 22h , dans les locaux de la CNT, au 33 Rue des Vignoles, métro Avron ou Buzenval

dimanche à 14h aussi, Algeria Democracy organise son rassemblement hebdo à République avec un focus sur les femmes et la révolution, avec au programme :
une Exposition sur "Chronologie du mouvement féministe Algérien, une Intervention sur "Femmes et Révolutions", et une Intervention sur "La cause féminine algérienne ; et si vous voulez y participer, rdv à 14h dimanche sur la place de la République

RDV CULTURELS

à partir de 18h ce soir, Socialter, Éditions Libertalia et Le Consulat organisent une soirée de lancement du hors-série du magazine indépendant Socialter intitulé : COMMENT NOUS POURRIONS VIVRE
Avec Corinne Morel Darleux en rédactrice en chef invitée : 180 pages politiques et poétiques pour retrouver les chemins de l’utopie.
Mener la lutte, défendre le vivant, rouvrir l’horizon, explorer les alternatives... D’un impératif politique, le slogan « un autre monde est possible » devient un impératif vital. Dans ce nouveau hors-série, Socialter et Corinne Morel Darleux, écrivaine, militante et autrice de "Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce", reviennent sur les -nombreuses- pistes qui permettent d’imaginer une société radicalement différente.
AU PROGRAMME de cette soirée de lancement, il y aura :
Une rencontre avec Corinne Morel Darleux et la rédaction Socialter autour des coulisses du hors série
Une lecture de Corinne Morel Darleux, accompagnée par mastO, l’ancien saxophoniste du groupe Lucrate Milk (de 1981 à 1984), puis de Bérurier Noir (de 1985 à 1989) et enfin des Washington Dead Cats. De 2003 à 2007, date de la dissolution de Bérurier Noir, il participe activement à l’organisation du label indépendant Folklore de la zone mondiale.
Et un Concert de Futuro Pelo et un DJ Set de Ricky Hollywood
et si vous voulez participer à cette soirée de lancement du hors-série de Socialter, rdv à partir de 18h ce soir au Consulat, c’est au 14 avenue Parmentier, métro Voltaire

à 19h ce soir, Librairie El Ghorba mon amour et Editions du Seuil organisent une Rencontre avec la géographe Flaminia Paddeu, autour de son livre "Sous les pavés la terre. Agricultures urbaines et résistances dans les métropoles" (Le Seuil)
L’agriculture urbaine va-t-elle transformer les métropoles ? En essor depuis le début du xxie siècle, cette pratique connaît un regain d’intérêt qui s’inscrit dans la prise de conscience des ravages de l’agriculture conventionnelle et de l’urbanisation. D’autant que la pandémie de Covid-19 a questionné le mode de vie citadin, fondé sur l’inégalité sociale d’accès à la nature, l’artificialisation des sols et une dépendance considérable aux importations agricoles.
Dans les friches des quartiers populaires, les jardins partagés des centres-villes et les potagers en lutte, l’agriculture urbaine permet ainsi de produire, de résister et d’habiter autrement. Issu d’une enquête au long cours dans le Grand Paris, à New York et à Détroit, ce livre porte sur les efforts collectifs d’associations et d’individus pour reprendre et cultiver la terre dans les métropoles. Au fil des récits recueillis et des parcelles arpentées, il restitue la pluralité des espaces et des pratiques socio-écologiques, et rend compte des alliances et des conflits qui se nouent autour du retour de l’agriculture dans les ruines du capitalisme urbain.
A la croisée de la géographie sociale et de l’écologie politique, la géographe, Flaminia Paddeu, propose un voyage passionnant autour des pratiques et enjeux de l’agriculture urbaine et des potagers & jardins collectifs dans les métropoles ; et si vous voulez en discuter avec elle et l’ urbaniste et sociologue, Félix Adisson, rdv à 19h à la librairie El Ghorba mon amour, c’est au 148 bvd des provinces françaises, à Nanterre

à 19h ce soir, la librairie Publico propose une Projection-Débat autour du film "Une Vie ParallèleS" de Xanaé Bove
Depuis 1972, la librairie Parallèles a vu passer plusieurs générations de têtes chercheuses.
Elle prend racine dans mai 68 et a semé de bons grains, encore fertiles aujourd’hui. Elle est le fil rouge d’une fresque de la contre-culture française, de la « préhistoire » fin 50 avec les premières librairies engagées comme Publico jusqu’aux plus récentes comme Quilombo , héritiers de cet état d’esprit libertaire. Un hommage à des lieux d’initiés, fréquentés par des personnages emblématiques, dont la singularité s’incarne via sa presse libre, ses éditions, ses fanzines et cassettes.
Et si vous voulez découvrir ce film qui offre une Plongée dans l’underground français à travers ses librairies, rdv à 19h à la librairie Publico, 145 Rue Amelot, métro oberkampf.

À 19h aussi ce soir, La Cantine Syrienne de Montreuil propose la projection du film d’Elia Suleiman : Intervention Divine
Es, un Palestinien vivant à Jérusalem, est amoureux d’une Palestinienne de Ramallah. L’homme évolue entre cet amour et son père malade, en s’efforçant de maintenir en vie l’un et l’autre. En raison de la situation politique, la liberté de mouvement de la femme s’arrête au poste de contrôle militaire israélien situé entre les deux villes. Les rendez-vous du couple ont donc lieu dans un parking désert situé près du barrage.
Et si vous voulez voir ou revoir ce film d’Elia Suleiman, rdv ce soir à 19h à l’AERI, 57 rue Etienne Marcel, à Montreuil, métro Croix de Chavaux

à partir de 19h aujourd’hui et tout le we, le Café-librairie Michèle Firk fête ses 10 ans
pour fêter ça, la librairie Michèle Firk propose ce soir : la projo du film Le Dossier Plogoff (50 min) réalisé par François Jacquemain en 1980 et dépoussiéré par Synaps Collectif Audio visuel en 2017, une Présentation : « Michèle Firk : Cinéaste » avec Tanguy Perron, historien spécialiste des rapports entre mouvement ouvrier et cinéma, et la projo du film : Nestor Mahkno, paysan d’Ukraine (60 min), un film d’Hélène Chatelain de 1996.
Demain, à partir de 14h, il y aura la Projection du film La Grève des chômeurs ! Sur la grève des chômeurs de 2010, une table ronde des collectifs passés par le café-librairie : La Brêche, les CAFards et les Désaxé.es, des ateliers divers : jeux, collages, atelier d’écriture collective, livres d’occasion à prix libre, vente de pain du Perche. Et le soir un Repas proposé par Al Beyt et des Concert/DJ Set
et dimanche à partir de 10h, il y aura une Kermesse, château gonflable et jeux pour enfants.
des Projections de films d’animation, une Contre performance d’Yves Pagès intitulée : Emploi fictif et sommeil paradoxal, une Table ronde sur le monde du livre. Avec la revue itinérante de critique sociale Z qui exposera son enquête sur l’industrie papetière (issue de son n°15 tout frais sur les forêts désenchantées de la montagne limousine), la librairie Parchemin de Bruxelles, le café-librairie Chez Josette de Charleville-Mézières, et d’autres
et si vous voulez fêter les 10 ans de la librairie Michèle Firk et participer à la grande fête à la Parole Errante, rdv ce soir et ce we au 9 rue François Debergue à Montreuil, métro Croix de Chavaux

demain à partir de 14h et dimanche à partir de 13h, c’est le coucou Minou festival, le festival de la micro-édition à Saint-Denis
avec au programme des discussions, rencontres, avec une trentaine d’éditeurs et d’artisans, parmi lesquels : BB press, les éditions maison maison, le Sabot, le Crime centre de recherche international sur le mode d’emploi illustré par la photographie, Dépense Défensive, Envie pressante, Gaze Magazine, ou encore Le Mégot, Librairie Lame, Ni fait ni à faire et le magasine No Go Zone
et si vous voulez participer au coucou minou festival, rdv demain et dimanche aprem à La Briche de Saint-Denis, 65 rue Paul Eluard, derrière la gare de Saint-Denis

demain à partir de 15h, La Ferme du Bonheur s’installe au Nouveau Gare au Théâtre pour faire la fête et sauver la Ferme
LA MAIRIE DE NANTERRE VEUT TUER LA FERME DU BONHEUR ! Mensonges, infamies, interdiction de leurs fêtes électro qui financent toutes nos actions sociales, artistiques, écologiques, menace sur l’avenir des salariés, des personnes fragiles hébergées, des milliers d’adhérents et bénévoles, sur la survie des animaux, refus de réponse à leurs nombreux courriers et interpellations, manipulation des institutions…bref La mairie « de gauche » de Nanterre ne recule devant rien pour faire avancer sa bétonisation de la ville au mépris de toutes les alarmes sociales et écologiques !
Mais pour sauver cette expérience exceptionnelle de trente ans, de quinze ans au Champ de la Garde, reconnue jusqu’au-delà des frontières nationales, la Ferme du bonheur s’installe le temps d’une soirée au nouveau Gare au théâtre, un vieux bâtiment de fret SNCF avec une salle en parquet, une cour en vieux pavés...pour faire la teuf avec toute la famille des collectifs dj’s avec qui la ferme a coproduit ces Électrod’Bals depuis 15 ans
et si vous voulez festoyer et soutenir la ferme du bonheur, rdv demain à partir de 15h au Nouveau Gare au Théâtre, c’est au 13 Rue Pierre Semard, à Vitry-sur-Seine, RER Vitry-sur-Seine
et pour sauver la ferme du bonheur vous pouvez aussi signer la pétition : https://www.mesopinions.com/petition/social/mairie-nanterre-veut-tuer-ferme-bonheur/177429

demain à 17h, le collectif Plaque Commune propose la projection du film ’La Commune’, une conférence filmée de Colette Bourdache
Colette Bourdache, alors qu’elle était présidente du Syndicat des Intérêts Généraux des Villas du Quartier d’Amérique, a été à l’origine de plusieurs conférences en rapport avec notre quartier, rue de la solidarité.
Comme un certain nombre de combats se sont déroulés dans le quartier dit d’Amérique et qu’il existe cette fameuse plaque commémorant l’enfouissement de plusieurs centaines de Fédérés, Colette Bourdache a rédigé une conférence sur la Commune de Paris dans ce quartier. C’est ainsi qu’elle nous conte à la fois les événements précis mais aussi l’histoire de la Commune de Paris ainsi que celle de la première Internationale.
Les personnalités les plus représentatives sont évoquées avec un point tout particulier sur Eugène Varlin !Cette conférence d’une durée de 63 minutes racontée par 3 voix différentes a fait l’objet d’un travail iconographique important avec la participation de Jean Bourdache.
Et si vous voulez découvrir cette conférence filmée pour mieux comprendre ce qui s’est passé à côté de chez nous, rdv demain à 17h au 1 rue de la Solidarité, M° Ourcq ou Danube

demain à 17h aussi, La Mutinerie organise une rencontre avec Karine Espineira, autour de son livre « Transidentités et transitudes : se défaire des idées reçues », paru aux éd. Le Cavalier Bleu
Si la transidentité n’est pas un fait nouveau, les franchissements de genre suscitent toujours préjugés, brutalités, théories et pressions sur les existences des personnes concernées.
Lorsque l’on évoque les transidentités, des questions viennent ainsi inéluctablement : comment un homme pourrait-il devenir une femme ? Une femme, un homme ? Ces formulations ont-elles un sens ? Pour qui et pourquoi ? Une autre question surgit : quel est le sens du mot devenir ?
Car les transidentités, appréhendées par le concept d’identité de genre ou sous l’idée d’expériences de vie trans, réinterrogent l’analogie « naissance = assignation ».
C’est tout l’enjeu de cet ouvrage que de montrer que les transitions sont plurielles et bien plus complexes qu’un passage sans retour d’un point A à un point B, que le verbe « devenir » doit être pris au sens fort de « devenir enfin la personne que l’on est ». Être trans est ainsi une expérience du monde qui questionne la construction sociale qu’est la binarité.
Et si vous voulez en discuter avec Karine Espineira, rdv demain à 17h à la Mutinerie, c’est au 176 rue Saint-Martin, métro Rambuteau

Demain à 17h aussi, la Librairie De beaux lendemains organise une rencontre avec Mamoste Dîn autour de sa BD "Ne pas mourir comme des chiens" parue aux éditions Plagiat
Les luttes se croisent et se ressemblent, comme celles des Kurdes et des gilets jaunes. Le même combat pour la liberté et l’égalité sociale rencontre la même répression. La dessinatrice Mamoste Dîn nous fait découvrir le camp autogéré d’exilés kurdes de Lavrio en Grèce. Dans un subtil va-et-vient entre la Grèce et la France, entre les histoires personnelles et les combats politiques des activistes kurdes et de la jeune Judith, venue documenter leur quotidien, nous partageons un moment de la vie du camp et apprenons à connaître et à aimer ses habitants.
Et si vous voulez en discuter avec Mamoste Dïn, rdv demain à 17h à la librairie de Beaux lendemains, c’est au 9 allée Rosa Parks, à Bagnolet, métro Galliéni

demain à 18h, le Cinéma l’ECRAN propose une projection-débat autour du film "Dans la chambre de Boubou", en présence du protagoniste du film et de la réalisatrice Adeline Gonin
Boubou a fait de sa chambre de foyer de travailleurs migrants à Saint-Denis un lieu de sociabilité, d’entraide et de lutte. À chaque fois que je lui rends visite, je retrouve cette ambiance de solidarité et de vie partagée que je connais depuis mon enfance. Mais Boubou fatigue. Sa charge de délégué des résidents lui pèse, ses soucis administratifs et familiaux perdurent... il rêve d’une autre vie.
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec le protagoniste et la réalisatrice, rdv à 18h demain au Cinéma L’Ecran, c’est au 14, passage de l’Aqueduc à Saint-Denis - Métro Basilique ; et la projo sera suivie d’un repas partagé au foyer Pinel qui se trouve au 43, rue Pinel à Saint-Denis

demain, à 19h, la Bibliothèque associative de Malakoff organise une conférence avec Catherine Coquery-Vidrovitch autour de son dernier livre Le choix de l’Afrique, paru aux éditions La Découverte
« Le drame de l’Afrique, c’est que l’homme africain n’est pas assez entré dans l’Histoire. » Comment expliquer que, près d’un demi-siècle après l’indépendance des colonies africaines de la France, le président Nicolas Sarkozy ait pu ainsi afficher, à Dakar en 2007, son ignorance crasse de l’histoire du continent ? C’est que cette histoire, riche et complexe, a longtemps été ignorée des représentations publiques de l’ancienne métropole. Elle n’est devenue que récemment accessible à un large public, grâce au long combat conduit par des historiennes et des historiens, au premier rang desquels Catherine Coquery-Vidrovitch.
Et si vous voulez en discuter avec Catherine Coquery-Vidrovitch, rdv demain à 19h à la BAM de Malakoff, 14 impasse Carnot, Métro Etienne Dolet

Dimanche à 14h, la Bidouille propose un Ciné-Blabla autour du documentaire « Nothing to hide » de Marc Meillassoux et Mihaela Gladovic
Un documentaire qui part du postulat « je n’ai rien à cacher » pour en démontrer la vacuité, en questionnant la surveillance et son acceptation par la majorité des citoyen⋅ne⋅s des sociétés contemporaines.Le moment d’échange et de discussion suivant la projection sera destiné à dépasser le constat dystopique en explorant les moyens d’autodéfense et les alternatives possibles aux modèles mis en place par le marché des données et de leur surveillance.
Et si vous voulez participer à ce ciné-débat, rdv dimanche à 14h au Hackerspace "La Bidouille" qui se trouve 13 Rue Régine Gosset, à Aubervilliers

Dimanche de 19h à 20h, la bibliothèque associative de Malakoff organise son atelier hebdo d’artivisme
et pour participer à cet atelier, pas besoin d’être artiste ou graphiste, ni d’avoir du matos, rdv dimanche à partir de 19h à la BAM, c’est au 14 impasse Carnot à Malakoff, métro Malakoff-Etienne Dolet

MUSIQUE : TITI BANLIEUSARD - Titi banlieusard (en concert demain soir au Canal 93 – Bobigny)