Et si vous voulez suivre cette séance, rdv de 18h à 20h, à Bourse du Travail de Paris, 3 rue du Château d’Eau, métro république

A 18h30, l’UL CGT Paris 18 organise son AG hebdomadaire
et c’est à 18h30 au 42 rue de clignancourt, métro Château rouge

à 19h, les Gilets Jaunes de Belleville tiennent leur Assemblée hebdomadaire
Et le rdv est donné à 19h , au café Le Côte d’Azur, 6 Rue du Château d’Eau, métro république

à 19h, Le syndicat ASSO-Solidaires organise une table ronde sur la "Loi séparatisme : attaques contre les associations, s’unir pour ne plus subir"
Les attaques sur le secteur associatif ont été multipliées dès le début des années 2000 avec le remplacement des subventions par des appels d’offre et la multiplication des dispositifs d’emplois précaires. En ligne de mire, la mise au pas du secteur associatif par une dépendance économique qui ne permet pas aux associations de jouer leur rôle politique.
Le gouvernement d’Emmanuel Macron élu en 2017 va plus loin en promulguant une loi raciste et islamophobe, appelée loi « confortant les principes républicains ». Cette loi piétine les lois 1901 sur la liberté d’association et dévoie la loi 1905 sur la laïcité. Elle exige des associations ayant recours aux subventions de respecter des principes républicains qui ne seront jamais définis et facilite la dissolution d’associations au titre des mêmes « principes républicains ».
Ainsi, le CCIF (Comité Contre l’Islamophobie en France) a été dissous en 2021 alors que cette association est reconnue pour son travail de lutte contre les discriminations. Entre les associations qui signent des chartes d’engagement républicain en sachant qu’elles prennent un risque qu’on le leur reprenne et celles qui décident de perdre des sommes importantes au prix de leur liberté, le monde associatif est définitivement mis à mal.
En tant que syndicat, ASSO-Solidaires est très préoccupé-e-s des conditions de travail des travailleur-se-s du secteur associatif notamment musulman-e-s. Il identifie plusieurs risques :
– Bien que les salarié-e-s relèvent du secteur privé, l’État exige de certaines associations avec délégation de service public qu’ils et elles respectent la neutralité de service public.
– L’association pourrait être pénalisée par les agissements d’un-e salarié-e car considéré-e comme représentant-e de l’association, même en dehors de ses activités de travail
– La dissolution d’associations est aussi une menace sur les emplois pour tou-te-s celles et ceux qui ont fait le choix de travailler dans les associations militantes.
Le syndicat ASSO-Solidaires ne peut accepter cette vision gouvernementale d’un monde associatif porteur de la parole de l’État et non pas acteur du débat démocratique et potentiel contre-pouvoir. Les travailleurs et travailleuses du secteur associatif et leurs allié-e-s doivent s’unir pour ne plus subir ces attaques continues sur notre secteur.
C’est dans cette perspective, que le syndicat propose cette table ronde pour discuter des conséquences de cette loi et des dissolutions d’associations sur les libertés associatives, militantes, syndicales et les conditions de travail dans le secteur associatif. Les intervenant-e-s discuteront aussi des impacts concrets sur les associations musulmanes / antiracistes et sur la lutte contre l’islamophobie, ainsi que des implications juridiques de la loi.
Et si vous voulez en discuter avec :
– Jawad BACHARE, militant pour les droits humains
– Graziella CROCETTI, secrétaire de l’association Lallab
– Clara GANDIN, avocate, membre du Syndicat des Avocats de France
– Julien TALPIN, sociologue, membre de L.A Coalition
– Elsa TREMEL, membre du syndicat ASSO-Solidaires
– et Houda Asal, membre du syndicat ASSO-Solidaires, chercheuse indépendante, spécialiste de l’islamophobie,
rdv de 19h à 21h , à la Flèche d’Or, 102 Bis Rue de Bagnolet, métro Alexandre Dumas ou Porte de Bagnolet

à 19h aussi,‎ Le Collectif National pour Une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens, l’association France Palestine solidarité, le Forum Palestine Citoyenneté , l’Union Juive Française pour la Paix UJFP, et l’union des travailleurs immigrés tunisiens d’IDF, organisent une soirée de solidarité avec Gaza
Gaza, territoire de la Palestine occupée par Israël, vit sous blocus depuis 2007. Israël en contrôle tous les accès (terrestres et maritimes), le commerce, l’activité économique, les ressources et mène régulièrement des attaques destructrices. Le blocus de de Gaza est une punition collective, proscrite par la 4ème convention de Genève, un crime de guerre selon le droit international.
Pour témoigner de leur solidarité, Le Collectif National pour Une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens, l’association France Palestine solidarité, le Forum Palestine Citoyenneté , l’Union Juive Française pour la Paix UJFP, et l’union des travailleurs immigrés tunisiens d’IDF, organisent donc cette soirée de solidarité avec Gaza, avec au programme des Projections de : "Stop blocus de Gaza" de Chris den Hond et de "Gaza Stories" réalisées par Iyad Alasttal, vidéaste palestinien de Gaza
et les projections seront suivies de deux-tables-rondes, une sur la Situation à Gaza et les conditions de vie de la population qui réunira Hisham Abu Shahla, doctorant palestinien en Sciences politiques et Véronique Hollebecque militante de l’AFPS, de retour de Gaza ; et une seconde table-ronde consacrée à la résistance de la population de Gaza ? Avec le Témoignage d’une invitée palestinienne de Gaza et Sarah Katz, militante de ISM - France
et si vous voulez participer à cette soirée de solidarité avce Gaza, rdv à 19h à la Bourse du Travail de Paris, dans la salle Hénaff, dont l’entrée se fait par le 29 Boulevard du Temple, étro temple ou République

De 19h30 à 21h30, l’association Autremonde tient sa permanence administrative hebdomadaire
Cette permanence assure l’ouverture de certains droits : PUMA, CSS, AME, ou encore Solidarité transport.
Et si vous voulez savoir les documents nécessaires à l’ouverture de ces droits, vous devez contacter en amont le : 0143147780.
et pour vous rendre à la permanence, sans rendez-vous, c’est ouvert de 19h30 à 21h30 au Dorothy qui se trouve au 85 bis rue de Ménilmontant, métro

à partir de 19h30 aussi, l’École normale supérieure – PSL organise un DÎNER SOLIDAIRE pour la JOURNEE MONDIALE DES REFUGIE.E.S, en soutien à Watizat
et si vous voulez participer à ce repas solidaire en soutien à Watizat une association qui publie tous les mois un Guide d’information multilingue pour les personnes exilées, rdv à partir de 19h30, au Restaurant de l’ENS, 45, rue d’Ulm, RER Luxembourg ou Métro Cardinal Lemoine
et si vous voulez aider en cuisine en amont du repas solidaire, rdv à 14h au Bureau du PEI BC 220 : couloir jaune, deuxième étage entre les escaliers B et C du 45, rue d’Ulm

à 20h, le collectif féministe Nous Toutes propose une formation en ligne sur l’histoire des violences sexistes et sexuelles, à travers différentes époques : l’Antiquité, le Moyen-Âge et ses béguinages, la renaissance et ses chasses aux sorcières, le Code Napoléon, la Révolution Industrielle puis l’histoire plus récente, avec l’évolution des lois.
Et si vous voulez suivre cette formation en ligne, il faut vous inscrire avant 20h via : https://arg12dgmpvr.typeform.com/to/D6xVMdWl

Demain matin, à partir de 10h, Le Syndicat Gilets Jaunes propose une permanence sans rendez-vous
Et si vous voulez y aller c’est ouvert demain à partir de 10h au 21 Bd Haussmann, dans l’immeuble actualis 2ème étage.

Demain à 12h, le collectif Bouge ta pref et le Livre noir du 93 organisent un Rassemblement festif devant la préfecture de Bobigny pour dénoncer une préfecture hors la loi qui refuse de donner des rendez vous malgré les injonctions du Tribunal administratif.
Ce rassemblement a pour objectif d’obliger les autorités préfectorales de Seine-Saint-Denis et d’ailleurs à respecter la décision du Conseil d’Etat du 3 juin. On en a parlé dans l’agenda, le 3 juin en effet, le Conseil d’Etat a confirmé, dans un décret, l’illégalité des prises de rendez-vous en ligne imposées sans alternative. Cet avis contraint par conséquent les préfectures à revoir l’organisation de leurs services, qui empêchent aujourd’hui un grand nombre de personnes étrangères d’accéder aux guichets, notamment en raison de la saturation des plannings de rendez-vous en ligne.
Et si vous voulez participer à ce Rassemblement festif où il y aura des prises de parole, un pic-nic et des Interventions musicales avec la Brigade Louise Michel - Dumba Kultur - Nomadiala, rdv demain à 12h , devant la Préfecture de Bobigny, c’est sur l’esplanade Jean Moulin à Bobigny, métro Pablo Picasso

RDV CULTURELS
Depuis 9h30 ce matin, et sur trois jours, la friche Villa mais d’ici et l’association Ressources Alternatives organisent une Formation Découverte de l’Education populaire et de ses outils
Pensée comme une mise-en-discussion, cette formation s’adresse à toute personne désireuse d’en apprendre plus sur l’éducation populaire, son histoire et son évolution en lien avec les enjeux de société actuels.
S’il n’existe pas de définition communément admise de l’éducation populaire, l’un des courants qui inspire l’assoc ressources Alternatives est celui hérité des pratiques culturelles du mouvement ouvrier.
L’idée de cette formation est, avant tout, de vous plonger dans une véritable expérience d’éducation populaire, en vous faisant découvrir et expérimenter de nombreux outils et méthodes : Arpentage, groupes d’interviews mutuelles, débat mouvant, enquête de conscientisation, distribution de la parole...
L’objectif de ces outils étant de libérer l’expression et l’analyse populaire, partager des vécus et des méthodes d’organisations, confronter des points de vue ; tout cela dans une logique d’émancipation individuelle et collective.
Il s’agira aussi de voir au cours de cette formation comment construire des activités en se référant à l’éducation populaire comme pratique de transformation sociale, en discutant de la posture de l’animateur.rice, de dynamique des groupes, de reproduction des rapports de dominations, de co-production des savoirs, de participation et de non-participation et de plein d’autres choses…
Infos et inscriptions : formation@ressources-alternatives.org
Programme et tarifs : https://www.ressources-alternatives.org/formation.../
et la formation commence aujourd’hui et dure 3 jours, à la friche Villa mais d’ici, 77 rue des Cités, à Aubervilliers, métro Aubervilliers-Pantin-Quatre Chemins

à 17h, l’Accorderie de Paris 19ème organise un ATELIER ECRITURE
et si vous voulez y participer, il faut vous inscrire en envoyant un mail à : accueilparis19@accorderie.fr
puis rdv à 17h dans le local de l’accorderie de Paris, c’est au 23 rue Mathis, métro Crimée

à 18h, l’Association des lecteurs d’Alternatives économiques organise une rencontre avec Bastien Sibille et Hugues Sibille, autour de leur livre Etre radical, dialogue entre deux générations, paru aux éditions des Petits matins
Face aux multiples menaces qui s’amoncellent, changer radicalement de modèle économique est une idée qui fait son chemin. Mais avec quelle vision ? Deux générations – un fils, 42 ans, et son père, 70 ans, dirigeants reconnus d’entreprises d’économie sociale et solidaire – traversant deux époques, l’une sociale, l’autre écologique, échangent sans concession sur les voies d’une transformation radicale.
Que faut-il changer et comment ? Quelle est la responsabilité des « boomers » des Trente Glorieuses dans le fiasco environnemental qui se précise ? La vision économique plus sobre des quadras désormais aux affaires serait-elle socialement acceptable pour enclencher une transition écologique cruciale ? Un projet additionnant les apports de ces deux générations est-il possible ?
Père et fils ont l’habitude de débattre de leurs engagements. Ces discussions donnent ici lieu à des lettres croisées. Avec la conviction qu’un dialogue intergénérationnel sincère sera utile aux initiatives de demain. Et si vous voulez en discuter avec le père et le fils, rdv à 18h au musée social, 5 rue las Cases, métro Solférino

à 18h30, le T2G - Théâtre de Gennevilliers propose la représentation de "L’Autre fille", une création d’Annie Ernaux, Aurélien Dumont, et Daniel Jeanneteau
ll s’agit d’abord d’une parole, Annie Ernaux s’adresse à sa sœur. Et même s’il s’agit d’une lettre, écrite à une sœur morte avant sa propre naissance et donc jamais rencontrée, ce texte procède d’une certaine oralité intérieure : c’est un dialogue avec le silence. C’est donc un texte qui vient naturellement s’inscrire à l’endroit de l’écoute, et qui ouvre un espace d’introspection attentive.
Le travail de réalisation de cette Musique-Fiction porte essentiellement sur les acoustiques, utilisant l’une des facultés étonnantes de l’ambisonique qui est de pouvoir restituer l’acoustique particulière de lieux dont on a pris l’empreinte, afin de nous approcher de cette forme de mémoire qui retient, sans mots, la sensation d’un espace ou d’un moment. La musique d’Aurélien Dumont est une sorte d’équivalence non verbale de la parole, elle coexiste avec l’écriture comme un autre mode d’intériorité, une respiration qui n’interrompt pas l’effort de formulation, mais le soulage en le déplaçant.
Et si vous vouez découvrir cette musique-fiction, rdv à 18h30 au Théâtre de Gennevilliers, qui se trouve au 41 avenue des grésillons à Gennevilliers, métro Grésillons

à partir de 19h30, Les Fleurs Arctiques proposent un ciné-débat avec la projection du film "Histoire des Gilets Jaunes par nous", réalisé par les Ateliers du geste
et si vous voulez discuter des GJ autour de ce film fabriqué à partir d’images d’archive et de diverses contributions de manifestant·e·s glanées sur le Net, rdv à 19h30 à la bibliothèque Les Fleurs Arctiques, c’est au 45 Rue du Pré Saint-Gervais, métro Hoche

à 20h, le Cinéma Saint-André des Arts propose, à l’occasion de la journée mondiale des réfugié.e.s, un ciné-débat autour du film "Le camp suspendu", en présence des réalisateurices, Thomas Loubière et Maud Rivière
Houra, Alico et Ismaël habitent au Tchad, dans un camp de réfugiés qui regroupent des Centrafricains ayant fui la guerre. Initialement, ils devaient y rester 45 jours avant d’être intégrés à la population tchadienne. Mais le temporaire devient durable et les réfugiés transforment ce lieu de passage en lieu de vie. Ils l’investissent et l’habitent, toujours hantés par les souvenirs d’un passé qui ne passe pas. Avec les ONG, une relation d’amour-haine s’instaure, entre dépendance et méfiance. Mais voilà que de nouveaux humanitaires déboulent et se proposent de les sortir du camp.
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec sa réalisatrice Maud Rivière et son réalisateur Thomas Loubière, rdv à 20h au ciné St-André-des Arts, 30 rue St-André-des-Arts, métro St-Michel

à 20h aussi, le ciné St-André-des-Arts propose des projections de films courts parmi lesquels : "Nous ne sommes pas encore morts", de Joanne Rakotoarisoa
Au cours d’une soirée arrosée, les rêves et les espoirs d’un groupe de jeunes ukrainiens s’entremêlent et se brisent. Pour l’un d’entre eux en particulier, il faut choisir : obéir au gouvernement qui l’appelle à l’armée pour soutenir les combats à la frontière russe ou fuir le pays définitivement.
Et si vous voulez découvrir ce film court, rdv à 20h aussi, au Cinéma Saint-André des Arts, c’est au 30 rue Saint-André des Arts, métro St-Michel

à 20h encore, la cinémathèque du documentaire à la Bpi et le festival international de femmes proposent une rétrospective avec la projection de 10 films d’Helga Reidemeister pour lui rendre hommage
Disparue en 2021, Helga Reidemeister laisse derrière elle une œuvre engagée : socialiste, féministe et pacifiste.
D’abord assistante sociale, elle rencontre des familles ouvrières dans le Märkisches Viertel, grand ensemble de Berlin-Ouest, et fait des logements sociaux l’espace de ses deux premiers films : Le rêve acheté et C’est ça le destin.
Elle établit un dispositif particulier pour permettre aux personnes avec qui elle tourne de se saisir d’elles-mêmes et fait un cinéma d’intervention qui agit pour susciter un déplacement, voire un choc. La rencontre est un échange toujours concerné, à la fois bienveillant et frontal.
De fortes intentions traversent toute sa filmographie : interroger le déterminisme social, enclencher des prises de conscience, rendre le privé politique, inscrire les histoires individuelles dans un contexte plus large.
Elle dresse le portrait de femmes engagées (dans Texas-Kaboul) et en suit d’autres en quête de sens (dans Avec un intérêt obstiné pour l’argent ou les détenues de Gotteszell).
On parcourt avec elle un Berlin en pleine mutation avant la chute du Mur (dans Lieu de tournage Berlin) et après la chute du mur (dans La splendeur de ce bonheur et Eclairage de fond) , on y observe les marques laissées par le conflit, et leurs conséquences au quotidien.
La guerre hante la cinéaste, née en 1940, et la mène, à la fin de sa carrière, dans un Afghanistan dévasté. Dans Mon cœur voit la vie en noir, elle tourne avec deux personnes qui, malgré le contexte ne veulent pas se soumettre et conservent une forme d’espoir dans d’autres possibles.
Et pour lui rendre hommage, la cinémathèque du documentaire à la Bpi et le festival international de films de femmes proposent ce soir la projection de C’est ça le destin et Lieu de tournage Berlin, et c’est à partir de 20h au cinéma 1 de la BPI au centre Pompidou, métro rambuteau

Parutions :
Les éditions Syllepse continuent leur activité éditoriale de solidarité active avec la résistance ukrainienne et viennent de publier le volume numéro 8 des Brigades de solidarité...
Les éditions Syllepse se sont associées pour cette série sur l’agression de la Russie poutinienne contre l’Ukraine aux éditions Page 2 (Lausanne), M Éditeur (Montréal) et Spartacus (Paris), aux revues New Politics (New York), Les Utopiques (Paris) et ContreTemps (Paris), aux sites À l’encontre (Lausanne) et Europe solidaire sans frontières, ainsi qu’au blog Entre les lignes entre les mots (Paris), au Centre Tricontinental (Louvain-la-Neuve) et au Réseau syndical international de solidarité et de luttes
Dans ce huitième volume, vous trouverez notamment des articles sur les luttes des travailleuses et travailleurs qui continuent malgré la guerre, des prises de parole d’objecteurs de conscience russes, ou encore un communiqué publié par l’organisation Sotsialnyi Rukh ; et si vous voulez le consulter, il est en accès libre : https://www.syllepse.net/syllepse_images/articles/brigades-e--ditoriales-de-solidarite---8.pdf

MUSIQUE : Ossama – Rythme et poésie