Agenda FPP 16 mars

mercredi 16 mars 2022

on commence avec cette victoire pour les Jardins ouvriers d’Aubervilliers ! suite à la décision de justice, les bétonneur.euses abandonnent le projet du solarium pour la piscine d’Aubervilliers et évoquent une remise en état du site !
Le collectif de défense des jardins ouvriers s’en réjouit tout en restant vigilant... car Rien n’est encore complètement gagné . En tout cas, un grand Bravo à toutes celleux qui sont mobilisé-es, la lutte continue pour sauver + de jardins sur le temps long !

Agenda du 16/03/2022

entre 12h et 14h, la cantine solidaire à prix libre de la Flèche d’Or est ouverte ! !
Et c’est au 102 bis rue de Bagnolet, métro Alexandre Dumas

de 12h30 à 14h30, les GJ de Montreuil poursuivent leur cantine solidaire, un espace ouvert à tous.tes, dédié à renforcer à la fois les liens d’entraide - politiques et conviviaux - et développer l’autonomie alimentaire du quartier
et si vous voulez participer à la cantine solidaire des GJ de Montreuil, c’est de 12h30 à 14h30 à l’Aeri, c’est au 57 rue Étienne Marcel, à Montreuil, métro Croix de Chavaux

de 12h30 à 14h30,l’Institut de Recherche et d’Études Méditerranée Moyen-Orient organise une conférence autour de Ziad Majed qui parlera de La guerre en Ukraine vue du Proche-Orient
et si vous voulez en discuter avec le politologue, Ziad Majed, et l“historien et journaliste Dominique Vidal, rdv à 12h30 dans les locaux de l’Iremmo, au 7 rue des carmes, métro Maubert-Mutualité

Comme tous les mercredis, Les salarié-e-s de la FNAC St-Lazare en grève depuis le 8 décembre pour protester contre des conditions de travail dégradées et les bas salaires, soutenus par FO, CGT, SUD et CNT, tiennent leur piquet de grève à la Fnac St-Lazare
et si vous voulez les soutenir ; le piquet est tenu jusqu’ à 18H au RDC de la Fnac St-Lazare ; et vous pouvez aussi renflouer la caisse de grève : https://www.cotizup.com/grevefnacstlaz

de 14h à 18h, Sud éducation 92 organise un Rassemblement contre les baisses de dotation horaire globale prévues pour la rentrée prochaine et qui toucheraient en particulier les zones d’éducation prioritaire
et le rdv est donné à 14h sur la Place du Président Édouard Herriot, métro Assemblée nationale

de 16h à 20h, l’association Astérya ouvre sa permanence hebdo envie d’agir
Vous avez envie de vous mobiliser pour des causes en vous sentant utile ? de mettre à profit vos compétences auprès d’initiatives qui vous tiennent à cœur ? de profiter de votre temps libre pour découvrir un nouveau domaine ?... Mais vous ne savez pas de quelle façon ?
L’association Astérya conseille et oriente les personnes qui souhaitent contribuer à rendre notre société plus solidaire, écologique et démocratique. On vous aide à trouver LA manière d’agir qui vous correspond : rejoindre un mouvement citoyen ou une association, adhérer à une coopérative, porter une initiative dans sa ville ou son quartier…
Concrètement, l’assoc vous aide à mieux cerner ce qui vous motive, vous met en relation avec des organisations et vous suit dans votre démarche grâce à un accompagnement humain, gratuit et adapté à chacun·e. Et si vous voulez vous rendre à la perm envie d’agir de l’assoc astérya, rdv de 16h à 20h au 31-33 rue du Nord, métro Simplon

À 18h, Les Économistes Atterrés proposent une vivioconférence pour une analyse critique des programmes présidentiels des candidat.e.s de Droite et extrême-droite
Pour l’élection présidentielle, quatre candidats et candidates portent les couleurs de la droite et de l’extrême droite. Alors que leurs programmes visent à satisfaire les revendications du patronat, à détourner les colères des Françaises et des Français, et qu’ils prennent mal en compte l’urgence écologique. Pourquoi réussissent-ils, selon les derniers sondages, à réunir les trois quarts des suffrages des votants ?
C’est à partir de cette question que les économistes atterrés proposeront une analyse critique de ces programmes, et si vous voulez suivre cette visioconférence, rdv à 18h sur : https://www.youtube.com/watch?fbclid=IwAR0dOnm02QdahVIWZ6XK2qGYSqhZtEPKzg_ClwAfoKgpZaYBwS5-p7safHk&v=p4Nw42bh2fw&feature=youtu.be

À partir de 18h30, la CGT Société de Restauration du Musée du Louvre, Stop Précarité, SUD Commerce et Services Ile de France et SUD Emploi organisent leur réunion publique hebdomadaire intitulée : Non au passe sécuritaire ou vaccinal - Résistons et Restons solidaires
et si vous voulez y participer, rdv à 18h30, dans la salle Jean Jaurès à la BDT de Paris, 3 rue du Château d’Eau, métro république

À 18h30 aussi, A bas les CRA et d’autres collectifs et personnes en lutte contre les CRA proposent une Assemblée Publique pour s’organiser ensemble ’Contre l’extension du CRA de Mesnil-Amelot !’
Les centres de rétention administrative servent à enfermer des personnes qui n’ont pas les bons papiers, dans l’attente de leur expulsion. Les motifs d’enfermement sont divers : déboutés de l’asile ou ayant eu des refus de titres de séjour, personnes interpellées à la frontière, dans la rue ou au travail, sortant.e.s de prison … Toutes ces personnes partagent le fait de ne pas avoir eu les bons papiers au moment de croiser les services de la Préfecture.
Ces centres de rétention se situent au croisement des logiques de privation de liberté et d’expulsion. En effet, ils sont pensés comme l’anti-chambre de l’expulsion mais sont avant tout des espaces d’enfermement et de tri, des personnes avec les bons ou les mauvais papiers.
Le CRA du Mesnil-Amelot, au nord de Paris, proche de l’aéroport de Roissy, est le plus grand CRA de France : les préfectures peuvent y enfermer au maximum 240 personnes. En 2020, près de 2000 personnes y ont été détenues et parmi elles, 40 % ont été expulsées. Il s’agit aussi du seul CRA où se trouve un bâtiment pour femmes et familles, et régulièrement des enfants en très bas âge y sont enfermés avec leurs parents.
Depuis la Loi Asile et Immigration de 2018, la durée maximale de rétention a été doublée, à 90 jours, soit 3 mois, dans des conditions particulièrement horribles, afin que les préfectures aient plus de temps pour tenter d’expulser les personnes détenues en CRA. L’État enferme donc plus et plus longtemps.
Pour mener à bien cette politique raciste, le gouvernement a besoin de nouveaux lieux d’enfermement. Alors il construit toujours plus de CRA. Deux nouveaux Centres de Rétention sont actuellement en construction : à Bordeaux et à Olivet (près d’Orléans), et deux extensions vont être réalisée à Coquelles (près de Calais) et Lesquin (près de Lille). A Lyon, un nouveau CRA vient d’ouvrir en Janvier dernier. Sous Macron, le nombre de places dans les CRA de métropole est ainsi passé de 1490 en 2017 à 1946 fin juin 2021. Soit une hausse de 30 % en cinq ans. Et l’objectif du gouvernement est d’atteindre 2 200 places d’ici décembre 2025.
Au Mesnil-Amelot, ce sont soixante-quatre nouvelles places qui seront créées sur un autre site, à quelques minutes en voiture du CRA existant, juste en face des pistes de l’aéroport.
L’extension ou la construction de nouveaux CRA, tout comme le renforcement depuis 2020 de l’effectif de la police aux frontières, sont les symptômes d’une politique toujours plus raciste, qu’elle soit menée par des gouvernements de droite ou de gauche – et qui tend de plus en plus vers l’extrême droite. De même, le contexte pré élection présidentielle renforce les discours et prises de position publiques islamophobes et racistes, comme c’est très souvent le cas des interventions d’Eric Zemmour, ou plus récemment de Valérie Pécresse qui affirmait que l’esclavage ne pouvait être reconnu comme un crime contre l’humanité.
Le contexte politique ambiant ne laisse présager qu’une dégradation de la situation, particulièrement pour les personnes sans titre de séjour et leur proches. La mobilisation contre l’extension du CRA de Menil-Amelot est aussi une mobilisation qui s’inscrit dans une histoire de luttes contre les frontières, et contre les centres de rétention légalisés en 1991. Elle est donc une lutte concrète qui permet de s’organiser collectivement contre la monté du fascisme, pour les droits des personnes sans papiers et contre la perte de nos libertés individuelles.
Les raisons pour lutter contre la création d’un nouveau centre de rétention sont nombreuses et les manières de s’y prendre également. C’est pourquoi Abas les CRA et d’autres collectifs en lutte contre les CRA proposent cette réunion publique et si vous voulez y participer, rdv à 18h30, à la Bourse du Travail, 3 rue du Château d’Eau, métro république

à 18h30 encore, le Séminaire Capitalisme Cognitif se poursuit avce une séance consacrée au commun comme mode de production
Jusqu’à une époque récente, public et privé apparaissaient comme les deux pôles exclusifs de l’organisation économique et sociale et des formes de propriété. Tout se résumait à l’ancienne question de l’arbitrage entre « plus de marché » ou « plus d’État ». Puis le commun et les biens communs ont fait à nouveau irruption dans l’espace public et ont remis en cause une donne qui semblait immuable. Pourtant la problématique du commun s’est développée à travers une pluralité d’approches théoriques et d’interprétations très différentes du rôle qu’il pourrait jouer dans un processus de transformation sociale. Dans cette perspective, cet ouvrage propose une thèse novatrice. Le commun n’est pas un simple tiers intrus entre public et privé, ni un pur principe politique. Il doit être pensé comme un véritable « mode de production » susceptible de constituer une alternative à l’hégémonie de la logique de l’État comme à celle de l’économie capitaliste de marché. En mobilisant l’économie politique, le droit, l’histoire, la sociologie, la philosophie, les sciences de l’information et de la communication, les auteurs montrent que le commun contient ces potentialités, sans manquer d’analyser les faiblesses et les contradictions auxquelles se heurte son développement, jusque dans la nouvelle économie du net où, face au pouvoir des plateformes, s’amorce la possibilité d’un renversement de perspective.
Et si vous voulez assister à cette séance du Séminaire Capitalisme Cognitif qui sera consacrée au commun comme mode de production, rdv à 18h3à à la Maison Des Sciences Économiques, 106 bvd de l’hôpital, métro Place d’Italie

à 18h30 toujours, le Cercle marxiste de Paris 8 Saint-Denis propose un débat public sur le socialisme de demain
Aujourd’hui, nombreux et nombreuses sont celles et ceux qui critiquent le capitalisme à la recherche d’une alternative, et pour beaucoup, les idées révolutionnaires du marxisme apportent des réponses. Mais s’il est assez facile de savoir contre quoi nous nous battons, il est parfois plus difficile de comprendre quelles propositions concrètes nous portons également : en revendiquant le socialisme, quelle organisation de la société réclamons-nous ? À quoi ressemblera le monde, et comment vivrons-nous ?
Si vous voulez en débattre avec le cercle marxistes de Paris 8, rdv à 18h30 dans la salle B 106 de l’université de St-Denis, métro St-Denis-Université

à 18h30, le collectif Gagarine Résiste organise une réunion publique pour discuter du projet de ’rénovation’ de la Cité Youri Gagarine à Romainville.
Cette réunion publique qui se tient toutes les deux semaines est primordiale face à la détermination des institutions (Intercommunalité EST ENSEMBLE, bailleur SEINE-SAINT-DENIS HABITAT, ANRU, Ville de Romainville,...) à satisfaire les intérêts des banquiers et autres promoteurs immobiliers en portant une attaque sans précédent contre le logement social romainvillois. Il est donc urgent que celles et ceux qui s’opposent à ce projet de gentrification du quartier Gagarine puissent s’organiser. Et c’est justement ce que propopose le collectif gagarine résiste avec ces réunions publique, et aujourd’hui, il y aura à l’ordre du jour :
 un point sur le Combat contre la démolition du Bâtiment H.
 un autre sur le Relogement des locataires du Bâtiment D.
 des discussions sur les Perspectives et moyens d’action.
 et une Intervention de Corinne Buzon (Membre du Comité de Pilotage) qui reviendra sur la concertation lancée depuis plusieurs mois par la municipalité, l’intercommunalité et le bailleur.
Et si vous voulez défendre LA CITÉ YOURI GAGARINE face à la gentrification, rdv donc de 18h30 à 20h30, à la Salle du Pôle Scolaire Maryse Bastié, à Romainville

à 19h : le Collectif 3R (réduire, recycler, réutiliser) organise une réunion publique sur la POLLUTION AUX DIOXINES à Ivry-sur-Seine
Suite à l’étude du laboratoire ToxicoWatch sur les taux très élevés de dioxines autour de l’incinérateur d’Ivry-Paris 13, le Collectif 3R propose cette réunion ouverte avec à l’ordre du jour :
- présentation du Collectif 3R (Réduire, Réutiliser, Recycler) et de ses actions
- présentation de l’étude
- un échange sur les alternatives à l’incinération et sur les différents moyens de soutenir le Collectif 3R et de participer à ses actions.
Et si vous voulez participer à cette réunion publique, rdv à 19h à l’Espace Robespierre , au 2 Rue Robespierre, à Ivry-sur-Seine , métro pierre et marie curie
et si vous voulez plus d’infos sur la pollution au dioxyne à ivry, ou sur les activités du collectif 3R, vous pouvez aussi consulter le site internet du collectif : https://collectif3r.org

à 19h30 l’association de journalistes et écrivains pour la Nature organise une soirée de Conférences/Tables Rondes autour des ’50 ans du Rapport Meadows : A-t-on dépassé les limites planétaires ?’
Il y a 50 ans paraissait un rapport scientifique qui fit l’effet d’une bombe. “Les limites à la croissance” publié par une équipe du MIT supervisée par Dennis Meadows, concluait que la poursuite de la croissance économique mènerait à dépasser les limites de la planète.
Production agricole, pêche, eau, énergie, ressources minières, biodiversité, climat… 50 ans plus tard, avons-nous dépassé les limites planétaires ? Quelles solutions s’offrent à nous ?
C’est autour de ces questions qu’interviendront : Gaël Giraud, économiste et Directeur du programme Justice environnementale de Georgetown University, Marc Dufumier, agronome, professeur honoraire à AgroParisTech ; Philippe Cury, directeur de recherche à l’IRD, spécialiste de l’approche écosystémique des pêches ; Denis Couvet, professeur au Muséum national d’histoire naturelle et président de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité ; Philippe Bihouix, ingénieur centralien, spécialiste des ressources minières ; Matthieu Auzanneau, directeur du Shift Project, expert des questions énergie/climat et des ressources pétrolières ; Dominique Méda, philosophe et sociologue, directrice de l’Institut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales de l’Université Paris Dauphine, mais aussi Dennis Meadows qui fera une intervention à distance
et si vous voulez participer à cette soirée autour des 50 ans du rapport Meadows, rdv de 19h30 à 22h, au Ground Control, 81 Rue du Charolais, métro gare de Lyon

enfin, demain matin, à partir de 10h30, Sud éducation 92 organise, après le rassemblement de cet aprem devant l’AN, un rassemblement devant la DSDEN de Nanterre pour protester contre les baisses de dotation horaire globale
et le rdv est donné demain matin, à 10h30 devant la DSDEN Nanterre qui se trouve au 167-177 Avenue Frédéric et Irène Joliot Curie, à Nanterre

Rdv culturels

dans le cadre de la 44ème édition du Festival international du film documentaire, cinéma du réel, plusieurs projections sont prévues aujourd’hui

  • à 14h, au cinéma 1 du centre Pompidou, il y aura la projection de : Sur les traces de Mamani Abdoulaye, d’Amina Abdoulaye Mamani qui dresse le portrait de son père : militant et syndicaliste, journaliste, écrivain engagé, qui a lutté toute sa vie pour la liberté des peuples et l’indépendance de son pays, le Niger.
  • À 14h30, il y aura la projo de : Le Dernier Refuge, d’Ousmane Samassekou qui filme La Maison des Migrants à Gao, au Mali, un refuge situé à la limite sud du désert du Sahara qui accueille les personnes en transit vers l’Algérie au nord, ou sur le chemin du retour après une tentative ratée de rejoindre l’Europe.
  • à 15h30 au MK2 Beaubourg, il y aura la projection de : Après ta révolte, ton vote, réalisé par Kiswendsida Parfait Kaboré : Suite à l’insurrection populaire d’octobre 2014, le Burkina Faso s’engage dans un scrutin historique. Le Balai citoyen, acteur majeur de l’insurrection qui a provoqué la fuite de l’ancien président Blaise Compaoré, joue sa partition en tant que force de mobilisation des jeunes et sentinelle pour une véritable démocratie.
  • À 18h, il y aura la projo de Faritra de Luck Razanajaona et Tovo Rasoanaivo qui filment le quotidien dans une prison malgache
  • à 18h30, il y aura la projection de Boum Boum de Laurie Lassalle qui rencontre Pierrot à l’automne 2018... au cœur du mouvement des Gilets jaunes.
  • À 20h, il y aura la projection de Notre-Dame-des-Landes, la reconquête de Thibault Férié
  • et à 21h la projo de : The United States of America de James Benning qui signe une plongée américaine au coeur de l’épidémie de Covid 19
    et pour retrouver le programme complet du festival international de films docu, rdv sur le site : https://www.cinemadureel.org/calendrier/

à 19h, le Monte-en-l’air organise une Soirée de lancement du livre-jeu ’Dans la foule ’ proposé par l’Atelier les mains dans le dos
Vous voilà dans la rue, au milieu de la foule. À votre gauche, une camionnette rouge et jaune crachote des slogans. À votre droite, des gens s’affairent autour d’une banderole. On vous tend un tract. Loin devant, vous entendez une clameur. Qu’allez-vous faire ?
Venez vivre une folle journée de manifestation au Monte-en-l’Air, à l’occasion de la parution du livre-jeu Dans la foule de l’Atelier les mains dans le dos, un livre dont vous êtes le héros écrit à partir de vraies histoires.
Et si vous voulez participer à cette soirée de lancement, c’est ouvert à toutes et tous, férus manifestants ou novices de la rue, à partir de 12 ans ; et c’est à partir de 19h au monte-en-l’air, 71 rue de Ménilmontant, métro Ménilmontant

à 19h, la Société Louise-Michel et les éditions Syllepse organisent une RENCONTRE-DÉBAT AVEC PATRICK SILBERSTEIN, AUTOUR DE son livre ’La revanche du chien enragé’ paru aux éditions syllepse
et si vous voulez discuter avec lui de ce livre qui analyse le stalinisme à partir de la biographie de Staline par Trotsky, rdv à 19h au Lieu-Dit, 6 rue Sorbier, métro Ménilmontant

à 19h, la Commune Image organise une PROJECTION du DOCUMENTAIRE ’LES BELLES RÉSISTANCES’ d’Itzel Marie Díaz
ce documentaire suit pendant 8 mois des initiatives théâtrales dans le monde arabe, pour proposer un regard croisés : du Maroc, à la Palestine, en passant par l’Algérie,des artistes parlent de leurs résistances par le théâtre.
Et si vous voulez découvrir ce documentaire, rdv à 19h à la Commune Image qui se trouve au 8 Rue Godillot, à Saint-Ouen, métro mairie de Saint-Ouen

à 19h, le Bar 61 organise une rencontre avec l’historien Nicolas Offenstadt pour le lancement de son livre Urbex, publié aux éditions Albin Michel.
L’exploration urbaine (urbex) – entendue comme la visite approfondie et illégale de sites vides ou abandonnés – connaît un engouement à l’échelle mondiale. Les « urbexeurs » suscitent une attention croissante des médias : reportages, documentaires et enquêtes se multiplient sur un univers qui fascine et inquiète à la fois. Se faufiler dans les ruines, éprouver de la nostalgie face à un bâtiment en décrépitude sont des sensations qui ont marqué de nombreuses époques, mais, pour autant l’urbex semble une nouveauté propre à notre temps - désindustrialisé, virtualisé et sur-consommateur de passé -, qui gagne toujours en ampleur.
Ce livre se veut à la fois la première synthèse sur le sujet et un plaidoyer pour un usage raisonné, collectif et savant de la pratique. Il entend présenter pour la première fois l’ensemble du mouvement urbex, les motivations des urbexeurs, dans leur variété, les règles et les codes qu’ils définissent. Il décrit également la pratique même, au ras du terrain, et réfléchit enfin à l’immense enjeu patrimonial que l’urbex représente, à ce qui se joue dans notre rapport contemporain au passé, à l’aventure et à l’interdit.
Et si vous voulez discuter de l’Urbex avec l’historien urbexeur, Nicolas Offenstadt, rdv à 19h au Bar 61, c’est au 3 rue de l’Oise métro Crimée

à 19h30, La Friche BD organise une rencontre avec Maxime Morin et Marguerite Hennebelle, autour de ’Scènes de la vie postmoderne’ (paru aux éditions des Equateurs)
Quand l’humour noir rencontre le dessin, quand le vintage–naïf des illustrations côtoie les dialogues nihilistes des personnages, cela donne un livre illustré irrésistible. Une décharge électrique oulipienne, anar et terriblement salutaire dans notre époque trop sérieuse.
Maxime Morin et Marguerite Hennebelle accompagnent leurs dessins de dialogues incisifs sur notre époque, la catastrophe écologique, le capitalisme, les GAFA, le monde d’après, le développement personnel, les réseaux sociaux, les nouvelles technologies... On voit par exemple des enfants tenir des discours philosophiques ou complètement dépressifs, ou des amoureux se parler en langage SIRI. L’absurde naît du quiproquo, du décalage entre une situation et le discours que l’on produit dessus, du détournement des images et des mots, du pastiche et de la parodie. Un recueil enlevé pour photographier les travers de notre époque, les idéologies, les tics de langage…
et si vous voulez en discuter avec Maxime Morin et Marguerite Hennebelle, rdv à 19h30 à La Friche, c’est au 56 rue Léon Frot, métro oberkampf

à 19h30 aussi, la Librairie Millepages et éditions le passager clandestin, en partenariat avec Amnesty International organisent une rencontre avec Aymeric Elluin et Sébastien Fontenelle autour de leur livre, ’Vente d’armes, une honte française’, paru aux éditions du Passager Clandestin.
Depuis plus de cinquante ans, faisant fi de ses engagements au profit de ses intérêts économiques, le « pays des droits de l’homme » arme des régimes qui les bafouent ouvertement. Une stratégie payante : la France est aujourd’hui le troisième exportateur mondial de matériel militaire.
Contrats lucratifs signés avec l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis ou encore l’Égypte, absence de contrôle parlementaire, soutien financier à l’industrie de l’armement… : l’historique accablant dressé par Aymeric Elluin et Sébastien Fontenelle montre comment les gouvernements successifs, de droite comme de gauche, ont hissé la France en haut de ce classement mortifère. Un business aussi florissant qu’il est opaque. Soumis au secret-défense, le commerce des armes nous engage pourtant individuellement et collectivement. Parce que ces armes sont vendues en notre nom – au prétexte, extraordinairement cynique, de la défense de nos intérêts – et parce qu’elles blessent et tuent des populations civiles, il est aujourd’hui urgent d’exiger que la France cesse de se rendre complice de ces atrocités. Car cette honte n’a que trop duré…
et si vous voulez en discuter avec Aymeric Elluin et Sébastien Fontenelle, rdv à 19h30 à la librairie Millepages, 91 rue de Fontenay à Vincennes

à partir de 20h, le groupe Commune de Paris de la Fédération Anarchiste propose, pour son Ciné de la Commune, la projection du Documentaire ’’Essais Nucléaires en Polynésie Française’’, En présence du réalisateur Bernard Baissat
et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec son réalisateur, rdv à partir de 20h à la Librairie Le Monde libertaire – Publico, au 145 Rue Amelot, métro Oberkampf ou FILLES DU CALVAIRE

à 20h aussi, Ressources Alternatives et la Fabrik Coopérative organisent une Rencontre/discussion autour des Coopératives de logement aux États-Unis
Lisa a vécu en coopérative de logement à Chicago pendant 4 ans, d’abord dans des coopératives au profil plutôt militant, puis a contribué à fonder une nouvelle maison au sein d’une coopérative étudiante. Enthousiasmée par ce modèle qui ne semble pas avoir d’équivalent en France, elle décide de consacrer son nouveau projet de recherche (entretien, enquête sociologique, photographies), à ce mode de vie, avec l’espoir d’en faire parler davantage en France. Elle proposera donc son témoignage et si vous voulez discuter avec elle d’alternatives dans nos manières d’habiter et de nous organiser, Rdv à 20h à la Fabrik Coopérative, au 23 rue du docteur Potain, métro télégraphe

à 20h30, le Cinéma Le Méliès propose une projection-débat autour du film Nos corps sont vos champs de bataille, en présence de la réalisatrice Isabelle Solas
Dans une Argentine divisée entre un conservatisme profond et un élan féministe inédit, le film dépeint les trajets de Claudia et Violeta, dans leur cheminement politique et leur vie intime. Femmes trans se revendiquant travesties, elles se heurtent avec leurs camarades à la violence patriarcale, jusque dans leur chair. Convaincues d’être les actrices d’une révolution en cours à la croisée des luttes, face à la défiance du vieux monde, elles redoublent d’énergie pour inventer le présent, aimer et rester en vie.
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec sa réalisatrice, Isabelle Solas, rdv à 20h30 au Cinéma Le Méliès, 12 place Jean Jaurès, à Montreuil, Métro Mairie de Montreuil

Musique : Ossama – les GJ triompheront