RDV MILITANTS

en ce moment, un Rassemblement de soutien à un-e lycéen-ne en GAV est en cours
Et si vous voulez les rejoindre c’est devant le Commissariat du 17e , au 19/21 rue Truffaut, métro Place de Clichy

en ce moment aussi, la plateforme logement pour touste qui rassemble notamment APPUI, ATTAC FRANCE, BAGAGÉRUE, COPAF, , CSP75, DAL, Droits Devant, FASTI, Femmes Égalité, FUIQP, MRAP, PAS SANS NOUS, ou encore UTOPIA 56, organise un rassemblement devant la préfecture de police de Paris, en solidarité avce les familles qui risquent d’être expulsées avec la fin de la trêve hivernale
La fin de la trêve hivernale des expulsions et des coupures d’énergie, dans le contexte de dégradation de la situation sociale des locataires, confrontés à la hausse des charges, des loyers, des prix de l’énergie et de l’inflation sur les produits alimentaires de base, s’annonce particulièrement brutale cette année.
D’autant plus que : Les mesures répressives prévues dans la loi KASBARIAN-BERGÉ, dont la 2e lecture à l’Assemblée s’est achevée dans la nuit du 29-30 mars, à l’encontre des locataires en difficulté et des sans-logis qui occupent un local vacant pour se protéger de la rue, en dépit de l’aggravation de la crise du logement, constituent un effarant et injustifié durcissement social.
Dans ce contexte, et dans le cadre du Housing day en Europe, la plateforme logement pour touste organise ce rassemblement en ce moment devant la Préfecture de police, sur la Place Louis Lépine, métro Cité

contre la réforme des retraites et en soutien aux salariés d’Azur, une manifestation est organisée à 18h ce soir à Argenteuil
et le rdv es donné à 18h à la Salle Jean Vilar pour une manif en direction de la mairie d’Argenteuil

contre la réforme des retraites aussi à 18h ce soir une manif est organisée à Enghien
et le rdv est donné à 18h devant le Lycée Camille St Saens au 18 rue Guynemer à Deuil-la-Barre, pour une manif en direction de la Fontaine rue Charles de Gaulle à Enghien

contre la réforme des retraites aussi, à 18h30 ce soir, une Marche aux flambeaux est organisée à Champigny  :
et le rdv est donné à 18h30 aux Mordacs au Bois l’Abbé, à Champigny

à 18h30 ce soir, le Copaf organise une réunion publique d’information avec les délégués des foyers de Saint Denis et du 93 qui reviendront sur la situation dans leurs logements gérés par ADOMA, COALLIA, ADEF.
1) pas le droit à une vie privée, menace d’entrée par le personnel du gestionnaire à tout moment, menaces d’expulsion pour tous les retraités qui ne se trouvent pas dans leurs chambres, ou des résidents qui hébergent des membres de leurs familles, un statut de sous-droit et de habitant "sous contrôle" insupportable ;
2) élimination progressive de toute vie collective ; fermeture arbitraire des salles collectives, imposition de conventions abusives qui rendent inaccessibles aux résidents les espaces dédiés à la vie collective, liquidation de la possibilité de toute vie solidaire et collective ;
3) mépris et refus de discuter avec représentants élus qui ne sont dotés d’AUCUN POUVOIR DE CONTRAINTE sur les gestionnaires.
4) Victimes des discriminations administratives contre les retraités, contre les hommes mariés sous le régime de la séparation des biens, contre tous ceux, toutes celles qui ne manipulent pas aisément l’internet.
Les délégués des foyers de Saint Denis et du 93 feront le point sur la situation dans leurs logements gérés par ADOMA, COALLIA, ADEF, et si vous voulez e discuter avec eux, rdv à 18h30 dans la salle du Conseil municipal de la mairie de Saint-Denis, métro Basilique

à 19h, la quadrature du Net organise son Quadrapéro mensuel, avec au programme un poitn sur les débats à l’Assemblée nationale autour de l’article 7 de la loi sur les jeux Olympiques, qui amorce, pour la première fois en Europe, la légalisation de la surveillance biométrique.
Et si vous voulez en discuter avec la quadrature du Net, rdv à 19h au Garage, 115, rue de Ménilmontant, métro Ménilmontant

à 19h aussi, la Fcpe paris organise une Réunion de mobilisation sur les fermetures de classe à Paris.
Et le rdv est donné à 19h, à l’École primaire d’application, au 5 Rue Ferdinand Flocon, métro Marcadet-Poissonniers

à 19h toujours, la librairie Publico organise une rencontre avec des membres de l’équipe de "L’Envolée" dont le n°56 a encore été censuré en prison : présentation-débat
L’Envolée se veut un porte-voix pour les prisonniers et prisonnières qui luttent contre le sort qui leur est fait. Le journal publie des lettres, des comptes rendus de procès et des analyses sur la société et ses lois. Il prolonge le travail mené par des émissions de radio qui maintiennent un lien entre l’intérieur et l’extérieur des prisons, hors du contrôle de l’administration pénitentiaire. Il est réalisé par des ex-prisonnier·e·s, des proches de prisonnier·e·s et d’autres qui savent que la prison plane au-dessus de nos têtes à toustes. Une parole qui sort de la prison constitue un acte politique qui dérange l’ordre des choses, surtout quand cette parole est collective.
Lors de cette rencontre, des membres du collectif éditeur, viendront présenter leur dernier numéro, le 59e, et discuter des censures qu’ils subissent de la part de l’administration pénitentiaire - puisque c’est le troisième numéro interdit en détention depuis les deux dernières années.
Et si vous voulez en discuter avec l’équipe de l’envolée, rdv à 19h à la librairie Publico, 145 rue Amelot, métro Oberkampf

Dans le cadre de la semaine anticoloniale, plusiers rdv sont proposés aujourd’hui et ce we :
- ce soir à 19h : le Secrétariat International de la CNT, l’Union Syndicale des Travailleurs Kanak et des Exploités (Kanaky – Nouvelle Calédonie), et le Mouvement des Jeunes Kanak en France) organisent une soirée sur les Luttes syndicales en situation coloniale
Avec au programme :
Projection en hommage à Louis Kotra Uregeï, membre fondateur de l’USTKE et du ParticTravailliste (Kanaky).
un débat sur le syndicalisme dans les dernières colonies françaises avec : Rock HAOCAS, membre du bureau exécutif de l’ Union Syndicale des Travailleurs Kanak et des Exploités, Enaut ARAMENDI, membre du syndicat LAB – (Pays Basque), Alain MOSCONI, membre du Syndicat des Travailleurs Corses – Marins, Patricia PIOCHE – secrétaire générale adjointe de l’Union Générale des Travailleurs de Guadeloupe, ainsi qu’un Repas kanak, et des chants traditionnels kanak.
Et ce sera à partir de 19h au siège de la Confédération Nationale du Travail (CNT), 33 rue des vignoles, métro Avron ou Buzenval
- ce soir aussi, dans le cadre de la semaine anticoloniale, le CICP et l’association Donde estan proposent une soirée « Parrilla »-cantine associative uruguayenne contre l’impunité
et ce sera à partir de 20h ce soir dans la Grande salle « Al-Feneiq » du CICP, 21TER rue Voltaire, métro Rue des Boulets ou Nation
- Et demain, pour la clôture de la semaine anticoloniale et antiraciste : le CICP propose une journée Décolonisons ! Droit à l’autodétermination dans les dernières colonies sous domination française : Kanaky, Tahiti, Guyane, Corse, Pays Basque, Guadeloupe, Martinique…
avec au programme :
– 15h30 projection du Film « Rien ne se fait dans le ciel » de Stéphane Pecorini, Fabienne Gautier Sur l’expropriation des terres coutumières en Kanaky.
– une Discussion : Spoliation des terres et luttes pour l’autodétermination avec : Daniel WEA (président du mouvement des jeunes kanak en France), Rock HAOCAS membre du bureau du Parti Travailliste kanak. Moetaï BROTHERSON, vice-président du parti Tavini Huira’atira et député de la troisième circonscription de la Polynésie française, Enaut ARAMENDI, membre du syndicat LAB – (Pays Basque), Petr’Anto TOMASI, membre de Corsica Libera, Jean Victor Castor, membre du Mouvement de décolonisation et d’émancipation sociale (MDES) et député de la 1ère circonscription de la Guyane, ainsi que Clarisse Taulewali Da Silva (peuple Kali’na, présidente et porte parole de la Jeunesse Autochtone de Guyane – JAG). Patricia PIOCHE – secrétaire générale adjointe de l’Union Générale des Travailleurs de Guadeloupe, ainsi que Raymond Jalta, militant indépendantiste et culturel de Martinique.
Et si vous voulez participer à cette journée de cloture d ela semaine anticoloniale et antiraciste, rdv demain à 15h dans la Grande salle « Al-Feneiq » du CICP – Centre international de culture populaire, 21ter rue Voltaire, métro rue des boulets ou nation

l’AG interprofessionnelle qui s’est tenue à la Bourse du travail de Malakoff le 23 mars dernier a décidé d’organiser, à partir de 19h30 ce soir, une fête de soutien aux caisses de grève
Avec au programme : une AG de lutte, débats, projection du film La Sociale de Gilles Perret
Et si vous voulez participer à cette soirée de soutien aux caisses de grève, rdv à 19h30 au Lycée autogéré de Paris, 393 Rue de Vaugirard, métro Convention ou Porte de Versailles

à partir de 10h30 demain matin, plusieurs collectifs dont Azadi4iranParis, Neda d’Iran, Iran Justice, Queers & Feminists for Iran Liberation et We are Iranian Students, organisent un Forum "Femme, vie, liberté.
Avec au programme : tables rondes, ateliers, concerts, expos et performances artistiques d’artistes iranien·nes, cantine solidaire, espace associatif... pour soutenir les iranien.ne·s en lutte.
Et si vous voulez participer à ce forum, rdv à partir de 10h30 demain à la Halle des Blancs-Manteaux, Rue du Marché des Blancs-Manteaux, métro .Saint-Paul

demain à partir de 14h, le Squat de la Baudrière qui vient d’obtenir 5 mois de delais avec la saisie du JEX organise une journée de rencontre pour défendre les squats
Avec au programme:une Exposition sur les cantinières de la Commune de Paris, Écoute de podcast/ discussion sur des personnes meuf TPG vivant en squat par le collectif des mémoires TPG féministes de la Baudrière, Fabrication de lanternes volantes pour une superbe nuit étoilé ! , Atelier de mémoires collectives – des Projection d’un court et long métrage, sur les squats et occupation collectives ! Une Assemblée de défense de la Baudrière – et le soir : une Chorale, un concert et un Dj Set
et si vous voulez participer à cette journée de rencontre, dont les benefs iront à la caisse de grève du point de blocage de pizzorno, rvd à partir de 14h demain à la Baudrière, 65 bis rue Voltaire, à Montreuil, métro Robespierre

à 14h30 demain, l’AG interpro 92 organise une AG de grève ouverte à touste
Et si vous voulez y participer, rdv à 14h30 demain à la BDT de paris, par l’entrée du 85 rue charlot, métro République

à 14h30 aussi demain, le Mouvement national lycéen organise une manifestation des « lycéen-nes abandonné-es » pour obtenir plus de moyens psychologiques dans les lycées.
Et le rdv est donné demain à 14h30, devant la pizzeria Mona Lisa au 57 Av. de la Résistance à Yerres

demain à l’occasion du "Housing Day" - la Plate-forme Logement pour touTEs organise une manifestation pour exiger l’Arrêt des expulsions, baisse des loyers, des charges et des prix de l’énergie, retrait de la loi Kasbarian etc.
Le droit de se loger et le logement social sont menacés par les multiples attaques menées par les gouvernements successifs et accélérées par Macron et son gouvernement contre nos conquêtes, notre protection sociale et nos droits. La proposition de loi Kasbarian-Bergé contre les locataires et les occupants de logements vacants s’ajoute à d’autres programmes de régression sociale, tels que la réforme des retraites, le tri des migrants et l’expulsion massive de ceux jugés indésirables, la réductions de la durée des indemnités chômage, le travail forcé de 15 à 20 heures hebdomadaire pour percevoir le RSA...
La crise du logement n’a jamais été aussi forte depuis 50 ans, alors que notre pays est toujours plus riche : plus de 330 000 sans-abris, 2,2 millions de familles en attente d’un HLM, 130 000 jugements d’expulsions prononcés chaque année, 4,1 millions de personnes mal logées, alors que les prix des loyers, des charges, de l’énergie et de l’alimentation s’emballent, que les impayés de loyer s’accumulent ... et que la production de logements sociaux n’a jamais été aussi faible depuis 40 ans !
Cette crise est surtout la conséquence des politiques publiques de soutien à la spéculation immobilière et au logement cher, secteurs ou l’argent coule à flot car tiré de l’exploitation de ce besoin essentiel : avoir un chez-soi, décent, stable, abordable, bien isolé, pour se reposer, se nourrir, se soigner, aimer, élever ses enfants...
Mais cela ne suffit pas aux vautours du logement et pour gagner toujours plus, la proposition de loi Kasbarian-Bergé veut accélérer les expulsions en réduisant la prévention et les délais, en condamnant à la prison et à 7500€ d’amende les locataires qui ne se mettent pas assez vite à la rue. Même s’il n’y plus assez pour se nourrir, se soigner ou aider un proche, même si survient un accident de la vie : maladie, accident de travail, séparation, perte d’emploi, baisse de revenu, explosion des charges et des loyers, même si le bailleur délivre un congé frauduleux... c’est la prison ou la rue !
La même proposition de loi condamne à 3 ans de prison les sans-logis qui occupent un immeuble inhabité depuis des années pour échapper à la rue, alors que le nombre de logements vacant n’a jamais été aussi élevé : 3,12 millions en 2022 selon l’INSEE.
En criminalisant les locataires et les sans-logis, en baissant les APL, en supprimant les aides à la construction et en ponctionnant l’argent des HLM, du Livret A et du 1% logement pour baisser les impôts des riches, en démolissant des HLM pour gentrifier les quartiers, en soutenant le logement cher et la spéculation... Macron et son gouvernement sont les premiers responsables de la crise du logement.
Le 1er avril sonne le retour des expulsions et des coupures d’énergie, aussi pour exiger :
Retrait de la proposition de loi Kasbarian-Bergé, arrêt des expulsions sans relogement, des coupures d’énergie et des fermetures de places d’hébergement pour les sans toit
Un budget logement suffisant pour réaliser 250 000 vrais logements sociaux par an, pour augmenter les APL et pour isoler les logements
Baisse des loyers, des charges et des prix de l’énergie, qui n’ont jamais été aussi chers !
Contrôle et sanctions financières contre les bailleurs privés qui ne respectent pas l’encadrement des loyers, les normes de décence et d’isolation thermique, ou qui fraudent sur les baux, les congés, les locations Airbnb, les expulsions illicites...
Application de la loi DALO, du droit à l’hébergement jusqu’au relogement et de la loi de réquisition des logements et locaux vides de grands propriétaires !
Pour les locataires de résidences sociales, de Foyers de Travailleurs Migrants, de Crous... mêmes droits que les locataires HLM
Arrêt des destructions et des ventes de HLM, des politiques d’urbanisme de gentrification
Taxation des profits immobiliers, maitrise publique du foncier urbain, suppression des privilèges fiscaux d’Airbnb & Co, et classement en « zone tendue » des villes et des secteurs touristiques en crise du logement
la plateforme logement pour touste organise cette manifestation demain, à l’occasion du « Housing Day » dans toute l’Europe ; et à Paris, le rdv est donné à 15h, Place de la Bastille/ et dans le même cadre un rdv est donné en amont, à 13h demain devant la mairie de Saint-Denis pour dénoncer les expulsions locatives qui risquent de se multiplier avec la fin de la trêve hivernale, et le rdv est donné à 13h devant la mairie de St-Denis, métro basilique, avec un départ prévu vers 14h pour rejoindre la manifestation à bastille

à 16h demain, Rézolution109 organise une projection-débat autour du film "Rio, 200 reals l’entrée", suivi d’une discussion autour des JO Paris 2024 et transformation du territoire
Ce film qui traite des conséquences de l’organisation de la Coupe du monde au Brésil en 2014, notamment dans la ville de Rio, illustre, par des entretiens avec des intervenant·es provenant de différents quartiers de la ville, de montrer sa diversité, le rapport ambivalent au sport-roi, mais surtout les changements urbains, économiques et socio-culturels qui ont été engendrés par ce méga-événement (et confirmés à peine un an plus tard par les JO).
La projection sera suivie d’une discussion-débat qui mettra en perspective ce qui a été observé sur place avant, pendant et après le déroulement des méga-événements de 2014 et 2016 à Rio et les problématiques sociales, urbaines et politiques que l’organisation des JO de Paris 2024 impliquent.
Et si vous vous en discuter avec
Sylvain Nouhi, co-réalisateur du film
Justine Ninnin, sociologue, spécialiste des grands événements organisés au Brésil
Vi, de la Quadrature du Net
rdv à 16h, aux Mains d’Oeuvres, qui se trouve Rue Charles Garnier, à Saint-Ouen-sur-Seine, métro Garibadi

à partir de 18h demain, le Poulpe organise une Soirée de soutien à la caisse de grève de l’éducation 1er degré Paris
Avec au programme, une discussion sur la révolte sociale de 2019 au Chili, avec l’historien Olivier Compagnon, suivi d’un Concert du groupe chilien La Calandria dùo
et si vous voulez y participer, rdv à partir de 18h demain au Poulpe, 4 bis rue d’Oran, métro marcadet-Poissonniers

à partir de 18h aussi demain, le DOC organise une soirée de débats et projections, PARENTS ET ENSEIGNANTS-TES CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES, en soutien à la caisse de grève du personnel éducatif du 1er degré de Paris
avec au programme : la projection du film "La sociale" de Gilles Perret, un documentaire qui rappelle que la Sécurité Sociale a été créée pour garantir une protection sociale à toutes et tous, et que cette conquête est aujourd’hui menacée par les politiques actuelles.
La projection sera suivie d’un échange avec Frédéric Pierru, sociologue au CNRS, et d’un débat sur la situation actuelle de nos droits sociaux mais aussi sur les enjeux actuels autour de l’éducation nationale et notamment la fermeture programmée de près de 250 classes dans les écoles maternelles et élémentaires à Paris.
Et si vous voulez participer à cette soirée projection-débat au profit de la caisse de grève du personnel éducatif du 1er degré de paris, rdv à partir de 18h demain au DOC, 26 RUE DU DOCTEUR POTAIN, métro Télégraphes

Dans le cadre de la semaine internationale d’actions pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah (plus vieux prisonnier politique d’Europe, combattant communiste pour la Palestine), la campagne unitaire pour sa libération organise plusieurs évènements ce we :
– demain à 18h, il y aura la projection du film fedayin réalisé par le collectif Vacarmes, un film qui retrace l’histoire du combattant de la cause palestinienne qui va bientôt rentrer dans sa quarantième année d’emprisonnement : et ce sera demain à 18 h à l’union locale CGT du 18e arrondissement, 42 rue de Clignancourt, métro Château rouge
– et dimanche, à 14h, la campagne unitaire pour la libération de Georges Abdallah organise, à l’issue de la semaine internationale d’actions, une manifestation pour exiger la libération de Georges Abdallah ! Et le rdv est donné dimanche à 14h à Place des Fêtes

à 15h dimanche, l’AG de coordination interluttes de Montreuil se tiendra à la Maison ouverte
et si vous voulez y participer, rdv à 15h dimanche au 17 rue Hoche, Montreuil, métro Croix de Chavaux

dimanche à partir de 16h30, les Fleurs Arctiques proposent une discussion collective autour du mouvement en cours
Il y a de quoi s’enthousiasmer des récentes manifs sauvages et actions de blocage qui ont, dans de nombreux lieux partout en France, débordé les dispositifs policiers, les routines, les rues et les revendications cantonnées au départ de l’âge à la retraite.
Débordements, incendies, avant-goûts de force collective et sauvage… il faut aller plus loin, c’est urgent, vital, d’autant plus maintenant que bien trop de camarades sont blessé•es, mutilé•es, gardé•es à vue, incarcéré•es en préventive et, pour deux d’entre eux, dans le coma suite au déferlement de grenades à Sainte-Soline.
Pour réfléchir à la suite, au devenir révolutionnaire des luttes présentes, à notre offensivité, et aux manières de nous opposer aux ornières démocrates et pacificatrices du mouvement, les Fleurs acrtiques propose donc d’en discutre collectivement dimanche à partir de 16h30 à la bibliothèque et c’est au 45 rue du Pré Saint-Gervais, métro Hoche

MUSIQUE : Poutsch et la main gauche - Duro

RDV CULTURELS

à partir de demain à 10h30 et tout le we, la parole errante accueille la première édition du SLAP - Festival du livre queer féministe
La première édition de notre festival du livre queer et féministe, à l’attention d’un public adulte et enfant.
Avec au programme : des tables rondes, des stands d’éditeur·ices queer et féministes, des ateliers, des lectures, à boire et à manger, des performances et des soirées.
Parmi les maisons d’éditions qui seront présentes : Cases Rebelles, Editer en féministe (avec Hystériques & associé.es, Editions daronnes, Le Passager clandestin, Premiers Matin de Novembre, Gorge Bleue), Ixe, La Ville Brûle, les Grillages, On ne compte pas pour du beurre, Sorcières (Cambourakis), Terrasses, Talents hauts, YBY, Tou·tes et Chaos.
Les revues qui seront présentes : Les Ourses à Plumes, Panthère Première, Well Well Well, PD la revue
et si vous voulez participer au festival SLAP du livre queer et féministe, rdv à partir de 10h30 demain et jusqu’à dimanche soir à la Parole errante, 9 rue François Debergue, à Montreuil, métro Croix de Chavaux

à partir de 14h demain, l’Iremmo - Institut de Recherche et d’Études Méditerranée Moyen-Orient propose un ATELIER sur les Sociétés palestiniennes dans un contexte colonial
L’objectif de cet atelier est de mettre en perspective l’évolution de la société palestinienne dans une condition coloniale. Le déracinement que les Palestiniens subissent à la suite de la Nakba, la catastrophe et la dispersion depuis la création de l’État d’Israël en 1948 font émerger différentes conditions de vie des Palestiniens. Privés de leurs villes et villages, la majorité devient des réfugiés résidant désormais dans des camps implantés dans plusieurs pays.
Si la lutte palestinienne dans le cadre de l’Organisation de la libération de Palestine les réunifie dans les années 1960-1980, la signature des accords de paix, dits les accords d’Oslo en 1993 n’est pas sans conséquences sur leur cause unificatrice. Découle de cette nouvelle rupture la « Palestine des bailleurs de fonds », une nouvelle perception de la réalité palestinienne. Les acteurs internationaux y jouent un rôle central. Les évènements autour de Jérusalem et de la bande de #Gaza en 2021 semblent porter un nouveau conditionnement de cette société qui ne cesse d’évoluer dans un contexte colonial.
Et si vous voulez suivre cet atelier qui sera animé par :
Abaher El Sakka, sociologue à l’Université de Birzeit qui travaille sur l’histoire sociale de la ville de Gaza à laquelle il a consacré un ouvrage.
Et Sbeih Sbeih, sociologue, à l’Institut français du Proche-Orient qui travaille sur la professionnalisation des ONG en Palestine, rdv demain de 14h-19h, dans les locaux de l’Iremmo au 7 rue des Carmes, métro Maubert-Mutualité ; et il faut vous inscrire au préalable : https://buff.ly/3IxmRyc

demain de 17h30 à 20h30, la Mutinerie et le collectif les jaseuses organisent un séminaire consacré aux postérités littéraires et artistiques des Guérillères de Monique Wittig (1969).
Ce texte, qui a pu être lu comme une œuvre de science-fiction, servira de point de départ à une réflexion sur les possibles ouverts dans les créations contemporaines – genres de l’imaginaire en particulier : science-fiction, fantasy, fantastique – lorsqu’il s’agit de penser, inventer, bricoler des futurs désirables. Les guérillères wittigiennes formulent de nombreux appels au renversement :
"Elles disent qu’il faut tout recommencer. Elles disent qu’elles doivent rompre le dernier lien qui les rattache à une culture morte."
et si vous voulez en discuter avec le collectif les Jaseuses, rdv demain à partir de 17h30 à la Mutinerie, 176, rue Saint-Martin, métro Rambuteau

À l’occasion de la Journée internationale pour l’Élimination de la Discrimination raciale et de la Journée internationale de Commémoration des Victimes de l’Esclavage et de la Traite transatlantique des Esclaves, à partir de 18h demain, le Dissident Club organise une soirée de projections de court-métrages traitant du racisme, de l’esclavage et de la colonisation.
Et si vous voulez y participer, rdv à partir de 18h demain au Dissident Club, 58 rue Richer, métro Lepelletier

à partir de 18h aussi demain, le Malaqueen organise une soirée CONCERT DE SOUTIEN - PUNK AGAINST PUTINISM !
L’impérialisme poutinien, c’est aujourd’hui des centaines de milliers de morts, des millions de réfugiés, des villes rayées de la carte, le poutinisme à l’œuvre, c’est : tortures, viols, tueries de masse. Le territoire qu’il domine est le foyer en expansion de l’oppression, il est le soutien à tous les régimes autoritaires de l’ex-URSS, et au-delà, sur notre planète.
L’Ukraine est aujourd’hui l’épicentre de la résistance à la prolifération du mal poutinien. La lutte des Ukrainiens contre l’invasion russe est la promesse de libération à tous les peuples aujourd’hui encore sous le joug de l’impérialisme russe.
Pour soutenir les camarades d’Ukraine : anarchistes, militants anti-totalitaires, syndicalistes et activistes de terrain ayant rejoint la lutte armée contre le poutinisme, le malaqueen organise donc cette soirée de concert punk avec notamment King Kong Meuf
et tous les benefs de la soirée iront au collectif Ukrainien Solidarity collective : https://www.facebook.com/SolidarityCollectives
et si vous voulez pogoter solidaire, rdv demain à partir de 18h au Malaqueen, 70 rue Gallieni, à Malakoff, métro Etienne Dolet

dimanche à 17h, le Comité Nous Toutes Paris 19/20 Nous toutes propose un arpentage autour du livre de Valérie Rey-Robert "Une culture du viol à la française", paru chez Libertalia
La culture du viol touche toutes les cultures, tous les pays. Elle présente cependant des particularités bien spécifiques selon le milieu dans lequel elle s’exprime et se développe. En France, chaque fois que la question des violences sexuelles est posée dans le débat public, les mêmes réticences s’expriment. Certains s’élèvent pour dénoncer l’horrible moralisme réactionnaire qui voudrait condamner la liberté sexuelle si chèrement acquise, nuire à l’identité amoureuse nationale en important le puritanisme au pays des libertés. Avec un vocable bien choisi et une certaine hypocrisie, on évoque l’amour à la française en termes de galanterie, de courtoisie ou de libertinage. On loue nos traditions, l’attention portée aux femmes et la sophistication de nos jeux de séduction. Derrière ce charmant vocabulaire, la réalité est beaucoup moins glamour.
Dans cet essai documenté et novateur, l’autrice analyse et définit les violences sexuelles, déboulonne toutes nos idées reçues et bat en brèche l’argumentaire déresponsabilisant les violeurs. Elle insiste sur les spécificités hexagonales du concept de « culture du viol », démythifie le patrimoine littéraire et artistique, et démontre, point par point, qu’il est possible de déconstruire les stéréotypes de genre et d’éduquer les hommes à ne pas violer.
Et si vous voulez arpenter ce bouquin avec le comité Nous Toutes Paris 19-20ème, rdv dimanche à 17h au Pavillon des Canaux, 39 quai de la Loire, Métro Laumière

dimanche à 17h30, la Bibliothèque associative de Malakoff organise une Rencontre avec Jean-Baptiste Barra et Timothée Engasser, chercheurs et graffeurs, autour de leur ouvrage "Antigraffitisme – Aseptiser les villes, contrôler les corps" paru aux éditions du Passager clandestin
Alors que le street art se monnaie dans les galeries d’art, dans les rues, les graffitis sont la cible d’une lutte acharnée. Tous les ans, ce sont plusieurs milliards d’euros qui sont investis au niveau mondial dans des systèmes de sécurité, de nettoyage et de prévention.
Graffeurs eux-mêmes, les auteurs ont ainsi vu leurs inscriptions disparaître de plus en plus rapidement. Leur regard s’est alors décalé du graffiti à son effacement. De l’avènement de l’hygiénisme, au XVIIIe siècle, à la mise en place d’un véritable marché sécuritaire à partir des années 1980, les auteurs retracent l’histoire de la répression de ce geste d’apparence anodine. Ils cherchent ainsi à comprendre ce qui se joue dans la gouvernance des espaces urbains contemporains et alertent sur ces effacements, signes avant-coureurs de logiques de contrôle bien plus insidieuses, qui ne concernent plus seulement celles et ceux qui écrivent dans la ville.
Et si vous voulez en discuter avec Jean-Baptiste Barra et Timothée Engasser, et participer à l’atelier d’artivisme qui suivra, rdv dimanche à 17h30, à la Bibliothèque Associative de Malakoff, 14 Impasse Carnot à Malakoff

dimanche à partir de 18h, le Doc et l’équipe de la Clef, en partenariat avec Tënk, proposent une soirée projection-débat avec les cheminots du technicentre SNCF de Châtillon, en grève reconductible depuis l’annonce du 49.3 !
avec au programme, la projection des films :
le marcheur de Frédéric Hainaut : Le marcheur est ouvrier dans une usine aviaire. Dégoûté par son travail abject, il se met en marche et trouve refuge parmi des manifestants. Errant, il dilue sa colère dans la leur.
Suivi de la projo de l’huile et le fer de Pierre Schlesser : Dans un petit village de l’Est de la France se répètent quotidiennement les mêmes gestes. Couper du bois, traire une vache, coudre un vêtement, faire sortir un légume de terre… Autant d’actions répétées de génération en génération, de jour en jour jusqu’à l’épuisement des corps. À travers la figure de son père, le narrateur évoque son enfance passée dans ce village et son rapport à cet endroit où la dévotion au labeur fait le quotidien des habitants.
et si vous voulez voir ou revoir ces films et renflouer la caisse de grève des cheminots du technicentre SNCF de Châtillon, en grève reconductible depuis l’annonce du 49.3 !, rdv dimanche à partir de 18h au Doc, 26 rue du Docteur Potain, métro télégraphes