Agenda FPP 9 janvier

lundi 9 janvier 2023
par  Rosa

et on commence avec LES MANIFESTATIONS qui NE FAIBLISSENT PAS au Pérou, où un APPEL À LA GRÈVE GÉNÉRALE a été lancé :
Les mobilisations continuent à travers le Pérou, malgré une répression terrible qui a déjà coûté la vie à au moins 22 personnes, et blessé plus de 600 personnes.
De nombreuses routes ont été bloquées dans les alentours d’Arequipa, Apurimac ou encore Cusco.
Le média Kawsachun recensait 25 points de blocages d’autoroutes où des barricades ont été érigées.
Un appel à la grève générale se propage et touche plusieurs régions, notamment les Andes, la Côte et l’Amazonie à l’appel de syndicats de paysans, d’ouvriers, d’étudiants, d’enseignants, d’organisations indigènes et d’une partie de la gauche et de l’extrême-gauche.
Mardi dernier, 2000 touristes ont été évacués autour du Machu Picchu, dont la principale ligne ferroviaire qui relie le site à Cusco a été fermée.
Ces manifestations interviennent après l’arrestation de l’ancien président Pedro Castillo suite à son désir de réformer le pays et de dissoudre l’assemblée.
Parlement a une seule chambre majoritairement situé à droite et à l’extrême-droite, le congrès bloque systématiquement toute possibilité de réforme.
À la suite de cette décision de dissolution, l’ancien chef d’État a été destitué et arrêté alors qu’il tentait de fuir vers le Mexique.
Ce coup d’État néolibéral a provoqué un séisme politique.
Son ancienne amie et vice présidente, membre du même parti marxiste, Dina Boluarte, a littéralement lâché le président incarcéré et stipulé la création d’une sorte de gouvernement fourre-tout d’union nationale, reconnaissant la tentative de dissolution du parlement comme « une tentative de coup d’état ».
Depuis, le Nord et le Sud du pays en tête, majoritairement populaire, indigène et métisse défient la bourgeoisie principalement localisée à Lima et organisent la résistance.
Malgré un report avancé des élections présidentielles à 2024 suite à la pression de la rue, les manifestants entendent bien continuer à faire entendre leur voix.
Ils réclament notamment la libération de l’ancien chef d’État, la démission de l’actuelle présidente et la mise en place d’une assemblée constituante.

On poursuit avec cette info publiée par l’assemblée contre CRA ce matin : Les retenues (femmes) du Centre de rétention du Mesnil Amelot ont débuté une grève de la faim contre le harcèlement et les violences policières, et voici leur communiqué :
Le matin, les policiers rentrent dans les chambres violemment, ils prennent nos affaires (serviettes toilettes, habits, etc.) pour tout mettre à la fouille. Ensuite il faut aller à la fouille pour se changer, alors que les policiers disent que la fouille n’ouvre qu’une heure le matin, et qu’ils n’ont pas le temps de voir tout le monde. Nous ne pouvons même pas garder un rechange. Nous souhaitons pouvoir garder nos affaires dans les chambres.
Les policiers hommes fouillent nos affaires, alors qu’il s’agit d’affaires privées. Ils rentrent très violemment dans les chambres, sans toquer à la porte, comme une perquisition. Parfois les policiers jettent les affaires par terre.
Parfois lors du ménage, les policiers rentrent dans nos chambres pendant que l’on n’est pas là, et fouillent nos affaires, que l’on retrouve dérangées et parfois par terre.
Lors des repas, parfois il y a des esclandres, des personnes qui crient et les policiers soit les laissent crier, soit prennent parti dans la dispute. Parfois certains policiers parlent de nous entre eux, devant nous, assez proche pour que l’on puisse entendre.
Nous souhaitons que toutes ces violences cessent.
Parfois les personnes bilingues, notamment franco-arabe, sont sollicitées pour faire de l’interprétariat et de la médiation entre les personnes.
Lorsqu’il y a des disputes violentes, ou lorsque les personnes sont malades et tentent d’appeler à l’interphone, soit dans les bâtiments, soit depuis la grille de la cour, et personne ne nous répond.
Nous souhaitons que les policiers répondent aux sollicitations via l’interphone.
Le matin du 7 janvier, on nous a annoncé que toutes les cellules allaient être resdistribuées en fonction des numéros de PV sur nos cartes. Nous souhaitons pouvoir rester dans les cellules que nous occupons déjà, pouvoir nous réunir par affinité. Le fait de partager des moments entre nous, lorsque nous parlons la même langue, c’est parfois la seule chose qui nous fait tenir psychologiquement.
Nous souhaitons pouvoir rester dans les cellules que nous occupons en ce moment.
C’est toujours les mêmes brigades avec qui nous avons des problèmes.
Et pour toutes ces raisons, les retenues femmes du CRA du mesnil-amelot entament donc une grève de la faim

depuis 11h ce matin, la coopérative de chômeurs et chômeuses poursuit son Assemblée hebdomadaire de chômeurs, chômeuses
La coopérative des chômeurs et chômeuses souhaite collectivement rompre avec l’isolement et prendre en charge les besoins matériels : en proposant des moments de rencontres pour échanger sur des pratiques, des astuces afin de produire effectivement du commun et de l’entraide matérielle. Pour que le chômage soit enfin perçu pour ce qu’il peut être : a savoir un geste politique.
Et si vous voulez rencontrer la coopérative des chômeurs et chômeuses, rdv donc tous les lundis à partir de 11h au DOC, 26 Rue du Docteur Potain, métro télégraphe
et pour les contacter, vous pouvez leur envoyer un mail à :
cooperativechomduparisest@proton.me

du lundi au vendredi de 10h à 13h, la LDH ouvre sa permanence juridique téléphonique
Le service juridique de la LDH intervient dans tous les cas individuels et collectifs où les libertés publiques sont en cause. Il assure un rôle d’information et est susceptible d’interpeller les autorités publiques dans diverses situations révélatrices de pratiques illégales ou qui portent atteinte aux droits des individus.
Vous pouvez saisir la LDH du lundi au vendredi, de 10h à 13h en appelant le : 01 56 55 50 10.
vous pouvez aussi saisir la LDH par voie postale à l’adresse suivante :Ligue des droits de l’Homme Service juridique ; 138, rue Marcadet 75018 Paris

jusqu’à 16h, l’UNEF-Tacle de Nanterre ouvre sa permanence pour accompagner les jeunes REFUSÉ·E EN LICENCE, EN MASTER
et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle est ouverte du lundi au vendredi de 9h à 16h sur le site de la Fac de Nanterre

de 13h à 17h, le syndicat sud commerces et services Francilien-Solidaires ouvre sa permanence juridique hebdomadaire pour aider les travailleuses et travailleurs à faire face aux problèmes qu’iels rencontrent sur leur lieu de travail
et si vous voulez vous rendre à la permanence, c’est ouverte de 13h à 17h au 7 rue Vicq d’Azir, métro colonel Fabien

à partir de 14h, la permanence hebdomadaire "Exilé.es La Chapelle" sera ouverte
Cette permanence s’est créée en 2015 à l’apparition des premiers campements d’exilés laissés à la rue par l’État ; depuis, ces camps sont toujours là… Composée de militant.es, d’exilé.es et d’associations, cette permanence tente de trouver des solutions face aux nombreux problèmes qui se posent quand on est demandeur ou demandeuse d’asile en France : violences policières, expulsion vers un autre pays européen (procédure dite "Dublin"), mise à la rue, coupure arbitraire des droits…
et si vous voulez vous rendre à la permanence elle est ouverte tous les lundis à 14h au 10, rue Affre, métro La Chapelle

de 14h à 17h, la Permanence syndicale de la CNT Région parisienne sera ouverte
et si vous voulez vous y rendre, c’est ouvert de 14h à 17h au 33 rue des vignoles, métro Avron ou Buzenval

à 15h, le Conseil démocratique kurde en France et la Mairie de Paris organisent une cérémonie en hommage aux militantes kurdes assassinées le 9 janvier 2013 : Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez , alors qu’un attentat terroriste a été commis contre les Kurdes à Paris il y a quelques jours faisant trois victimes : Emine Kara, Mîr Perwer, et Abdurrahman Kizil
Alors que le Conseil démocratique kurde en France était entièrement affairés aux préparatifs du 10e anniversaire du triple assassinat des militantes kurdes exécutées par l’État turc à Paris le 9 janvier 2013, trois autres militants kurdes ont été froidement assassinés le 23 décembre dernier, dans un attentat terroriste visant le siège de l’association, dans le 10e arrondissement de Paris.
Parmi les victimes, figure Emine Kara (connue sous le nom d’Evîn Goyî), une figure emblématique du Mouvement des Femmes kurdes, ainsi que le jeune chanteur kurde Mîr Perwer, qui avait été contraint de se réfugier en France suite à une condamnation par la justice turque à une peine de prison en raison de son engagement pour la culture kurde. La troisième victime est Abdurrahman Kizil, un homme kurde d’une soixantaine d’années qui fréquentait régulièrement l’association. L’attentat a fait par ailleurs trois blessés.
Pour le CDK-F, il ne fait aucun doute que la Turquie et ses services de renseignements sont impliqués dans cet attentat terroriste qui a endeuillé le peuple kurde et toute la France. C’est pourquoi, il a aussitôt soulevé auprès des autorités judiciaires le caractère terroriste de ces crimes.
Cependant, à ce stade, aucune de ses revendications n’a été prise en compte. Bien que toutes les conditions soient réunies pour qualifier cette attaque meurtrière de terroriste, le parquet n’a pas retenu cette qualification, considérant qu’il s’agissait d’un acte raciste.
C’est la deuxième fois en moins de dix ans que Paris est le théâtre d’un massacre politique contre les Kurdes et particulièrement contre les femmes kurdes. Ces crimes terroristes ne touchent pas seulement la France et sa communauté kurde, mais un peuple de 50 millions de personnes dispersées dans les quatre coins du monde.
10 ans après l’assassinat à Paris des militantes kurdes Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez, le sentiment d’impunité règne plus que jamais, le sentiment que la France cherche à jeter aux oubliettes ce crime politique, comme tant d’autres qui jalonnent son histoire contemporaine.
En effet, durant ces 10 longues années, l’État français n’a manifesté aucune volonté politique pour élucider cette affaire, ni fait aucun geste pour faciliter les investigations et le travail de la justice. Or, il ne s’agit pas là d’une simple affaire judiciaire, mais d’un crime terroriste dans lequel sont impliqués les services d’un État étranger, comme le confirme le réquisitoire du Procureur de la République : « de nombreux éléments de la procédure permettent de suspecter l’implication du MIT (services de renseignement) dans l’instigation et la préparation des assassinats. »
Sollicité à plusieurs reprises par les juges d’instruction pour la déclassification des informations détenues par les différents services de renseignements français concernant cette affaire, les gouvernements français successifs ont toujours opposé le secret défense. En refusant ainsi de lever le secret défense, la France commet un déni de justice et entretient l’impunité d’un crime politique et terroriste.
Toute la lumière doit être faite, tant sur la première affaire que sur la deuxième qui endeuille et meurtrit une fois de plus la communauté kurde.La France doit lever le secret défense et faire tout le nécessaire pour résoudre l’affaire du triple assassinat du 9 janvier. La justice française doit reconnaître le caractère terroriste de l’attentat du 23 décembre 2022 afin que les commanditaires soient jugés et condamnés.
Après la grande marche qui a eu lieu samedi, le conseil démocratique kurde en France organise donc cette cérémonie d’hommages aux militantes kurdes assassinées le 9 janvier 2013, et le rdv est donné à 15h au 147 rue La Fayette, métro Gare du Nord

de 15h à 17h30, la Recyclerie propose son atelier de conversation avce l’association Français langue d’accueil
l’association a pour objet d’organiser des ateliers d’apprentissage du français pour les demandeurs d’asile et les réfugiés récents, dans les quartiers autour des gares du Nord et de l’Est.
Et si vous voulez participer à cet atelier, rdv à 15h30 à la recyclerie qui se trouve au 83 bvd d’Ornano, métro Porte de Clignancourt

à 18h, l’organisation Riposte Collective organise sa Réunion publique hebdomadaire
Riposte Collective est une organisation ouverte, publique et non affinitaire. Elle naît de la volonté collective de s’organiser au nord de Paris, pour préparer la riposte au sein des mouvements sociaux.
L’organisation forme un groupe d’intervention au sein des mouvements sociaux, au delà de ses formes traditionnelles, et prend donc le parti de l’ouverture au plus grand nombre et de l’autonomie face aux partis, syndicats et assemblées, pour proposer une stratégie différente.
L’organisation Riposte collective diffuse aussi des savoirs collectifs, élaborés à partir de ses expériences et propose des temps de formation juridique et numérique, de réflexion tactique et de préparation physique.
Et si vous voulez rencontrer les militant.e.s de Riposte collective, rdv donc tous les lundis à partir de 18h dans le hall du bâtiment B2 de l’université Paris VIII, métro St-Denis-Université
et si vous voulez les contacter vous pouvez leur envoyer un mail à : ripostecollective@riseup.net

De 18h à 20h, Le syndicat ASSO-Solidaires ouvre sa permanence syndicale et juridique pour les travailleur-ses du secteur associatif
Si vous avez besoin de conseils et d’infos en matière de salaire, congés, formation professionnelle, santé au travail, licenciement, etc. La permanence syndicale est gratuite et ouverte pour tous les salarié.e.s, volontaires en service civique, stagiaires et apprenti.es du secteur associatif
il faut prendre rendez-vous au préalable en envoyant un mail à : permanenceidf@syndicat-asso.fr.
Puis rdv de 18h à 20h à Solidaires, 31, rue de la Grange-aux-Belles, métro Colonel-Fabien

de 18h à 19h et de 19h à 20h, le collectif dionysien Un ring pour tout•e•s qui propose depuis 2017 : des entraînements de boxe anglaise entre femmes et personnes trans pour lutter contre les stéréotypes de genre, poursuit ses cours pour enfants/ados et adultes
et si vous voulez y participer, rdv de 18h à 19h pour les enfants/ados et à 19h pour les adultes, les cours ont lieu au chapiteau rajganawak qui se trouve au 3 rue Ferdinand Gambon, à Saint-Denis, c’est juste en face de la gare

à 19h, les GJ de Belleville poursuivent leur AG hebdo pour discuter de l’actualité politique et sociale et organiser les luttes
et si vous voulez y participer, c’est à 19h au café le Côte d’Azur qui se trouve au 6 Rue du Château d’Eau, métro Jacques Bonsergent

De 19h30 à 21h30, l’association Autremonde tient sa permanence administrative hebdomadaire
Cette permanence assure l’ouverture de certains droits : PUMA, CSS, AME, ou encore Solidarité transport.
Et si vous voulez savoir les documents nécessaires à l’ouverture de ces droits, vous devez contacter en amont le : 0143147780.
et pour vous rendre à la permanence, sans rendez-vous, c’est ouvert de 19h30 à 21h30 au Dorothy qui se trouve au 85 bis rue de Ménilmontant, métro menilmontant

à 20h, le pôle santé de l’association Saint-Denis LGBTQI+ propose un cercle de parole safe et inclusif, en présence d’un thérapeute agréé, sur le thème de l’amour et des identités plurielles
et si vous voulez y participer, rdv à 20h , au fond de la Cour de L’école Jean Vilar, dont l’entrée se fait par le 10 rue de la Légion d’Honneur à Saint-Denis, métro Porte de Paris

demain matin à partir de 9h30, la Brigade de Solidarité Populaire de Montreuil-Bagnolet vous invite à participer à la cuisine pur la cantine solidaire du midi
Et si vous voulez participer, rdv à partir de 9h30 à l’AERI, 57 Rue Étienne Marcel, à Montreuil, métro croix de chavaux

demain matin à 10h30, l’USD Santé Action Sociale 92 organise un rassemblement devant l’ARS du 92 pour la défense du service public de santé
Contexte social explosif : Crise des Hôpitaux et des EHPAD, Réforme des retraites, inflation galopante.... 2023 sera une année de luttes revendicatives....
La situation très difficile dans le sanitaire (hôpitaux), dans le médico-social (EHPAD), dans le handicap et les soins à domicile perdure !! Les difficultés sont en constante recrudescence et la prise en charge de la population devient de plus en plus difficile. C’est tout le système de santé qui s’écroule !!
C’est pourquoi L’USD Santé Action Sociale 92 appelle les salariés et les usagers a se rassembler demain matin à 10h30 devant L’ARS 92 - 28 Allée d’Aquitaine à Nanterre

RDV CULTURELS

de 14h à 17h, le séminaire Salariat organisé par l’université de nanterre se poursuit, avec une séance autour de Patrick Cingolani (Université Paris Diderot) qui reviendra sur "Le capitalisme de plateforme (assujettissement et résistances), à partir de l’ouvrage La colonisation du quotidien, Dans les laboratoires du capitalisme de plateforme, Éditions Amsterdam, 2021".
Le capitalisme ne fait plus : il fait faire. Initié dans la seconde moitié du xxe siècle, un vaste mouvement d’externalisation de la main-d’œuvre s’est emparé de pans entiers de l’économie mondiale, bouleversant les processus de production et les conditions de travail. À la généralisation de la sous-traitance a succédé celle de l’auto-entreprenariat, nouveau masque de la subordination. Assimilé à un jeu, le travail lui-même se trouve désormais occulté, dénié, tandis que le rapport marchand colonise une à une les sphères de la vie sociale et de l’intimité. Nourri par les récentes mutations technologiques, ce mouvement se cristallise particulièrement dans l’essor de l’économie de la plateforme, dont les principaux acteurs, d’Amazon à Deliveroo en passant par Uber, nous sont devenus familiers en une décennie à peine.
Patrick Cingolani nous invite à une plongée vertigineuse dans ces nouveaux laboratoires de la production, où la plus grande précarité côtoie le travail gratuit, où les aspirations à l’autonomie sont détournées au profit d’une minorité et où la surveillance se massifie de manière inédite. Il montre que la logique du compte ne saurait être vaincue sur son propre terrain, et nous invite à renouer avec un imaginaire utopique.
Et si vous voulez en discuter avec lui, rdv de 14h à 17h, à l’université Paris Nanterre, salle 2 du bâtiment Weber.

De 16h30 à 18h30, le Séminaire du Cercec sur les Trajectoires et reconfigurations sociales : Genre, génération, transmission se poursuit avec une séance autour de Sergei Zakharov (Institut de démographie, Moscou, et IEA Nantes) qui reviendra sur la Démographie de la Russie contemporaine : l’ère des « cygnes noirs »
et si vous voulez en discuter avec lui, rdv à 16h30 dans la salle 3.07 du centre de colloques sur le campus Condorcet, à Aubervilliers, métro Front populaire

de 17h à 19h, le séminaire de recherche de l’Observatoire Terre-Monde : Centre d’études des écologies politiques des Outre-Mer et proches régions, se poursuit, avec une séance en visio qui sera consacrée aux Écoféminisme(s) depuis les "Suds" : approches comparées.
Et si vous voulez en discuter avec : Natacha d’Orlando (Université Paris 8) qui proposera des "Lectures de l’écoféminisme caribéen" ; et Mélanie Antin (Université de Paris) qui parlera de : "Cultiver la solidarité entre femmes : stratégies et résistances de femmes mapuche dans la défense de leur territoire." : rdv à 17h sur : https://cutt.ly/z0PwoJI

de 18h à 21h, le groupe thématique culture de Réseau Salariat propose la 4eme séance de son Séminaire sur la sécurité sociale de la culture, une séance qui sera consacrée à : La qualification personnelle comme nouvel attribut du travailleur de la culture
Souvent confondue avec la certification qui renvoie au diplôme, la qualification personnelle est une invention communiste qui exprime la capacité des travailleurs/ses à produire la valeur économique. Rappeler son histoire, ses formes, ses enjeux politiques est déterminant pour en saisir son expression émancipatrice.
Si nous voulons attribuer à chaque travailleur/se de la culture une qualification personnelle qui nous détache enfin de l’emploi, il nous faut d’abord faire un état des lieux exhaustif : quels droits du travail, quels statuts, quelles genres de qualifications cohabitent dans un monde du travail de la culture immense ?
Il s’agira de réfléchir à des critères spécifiques d’une qualification personnelle pour tous ceux et toutes celles qui veulent travailler dans le monde culturel. Des critères qui devront être les plus larges possibles, les moins excluants et très peu contraignants pour les travailleurs/ses.
et si vous voulez en discuter avec le groupe thématique culture de Réseau Salariat, rdv de 18h à 21h, à la Bourse du travail, 3 Rue du Château d’Eau, métro République

de 19h à 21h, le Réseau Stop précarité propose son cours de droit du travail, avec une séance qui sera consacrée aux Sanctions et au licenciement pour motif personnel
Le réseau STOP PRECARITÉ, créé en 2001 par des salariés précaires en lutte, organise chaque mois un cours gratuit et ouvert à tous de droit du travail et de droit social, permettant de connaître ses droits au travail et face aux services publics, et de les préserver et renforcer par la lutte. Et ce mois-ci, le réseau propose de s’intéresser à la défense des salarié.e.s en cas de sanctions professionnelles et de licenciement pour cause personnelle, et si vous voulez en discuter avec Monique Bost, CGT et Cécile Drilleau, Solidaires, inspectrices du travail, , rdv à 19h dans la salle Varlin à la Bourse du Travail de Paris, 3 rue du Château d’eau, métro République

à 20h le ciné luminor hôtel de ville propose la projection en Avant-première de DE HUMANI CORPORIS FABRICA, suivie d’une rencontre avec les réalisateurs, Verena Paravel et Lucien Castaing-Taylor.
Il y a cinq siècles l’anatomiste André Vésale ouvrait pour la première fois le corps au regard de la science. DE HUMANI CORPORIS FABRICA ouvre aujourd’hui le corps au cinéma. On y découvre que la chair humaine est un paysage inouï qui n’existe que grâce aux regards et aux attentions des autres. Les hôpitaux, lieux de soin et de souffrance, sont des laboratoires qui relient tous les corps du monde
et si vous voulez découvrir ce film en avant-première et en discuter avec les réalisateurs, rdv à 20h au luminor hôtel de ville dont l’entrée se fait par le 20 rue du temple, métro HDV

à 20h aussi, le ciné Reflet Médicis propose la projection en AVANT-PREMIERE de REWIND & PLAY, en présence du réalisateur Alain Gomis.
Avant son célèbre concert à la salle Pleyel en 1969, Thelonious Monk a enregistré une émission pour la télévision française. Les rushes dévoilent l’homme dans une rare proximité, tentant d’échapper au récit médiatique par le silence et la musique.
Et si vous voulez y participer, rdv à 20h au Reflet Médicis, c’est au 3 rue Champollion, métro Cluny-la-Sorbonne

parution :

André Hebert et l’Illustrateur Nicolas Otero viennent de signer la BD : Jusqu’à Raqqa - Un combattant français avec les Kurdes contre Daech, aux éditions Delcourt
André Hébert, jeune Français parti combattre l’État islamique aux côtés des Kurdes de Syrie, livre un témoignage capital sur l’un des pires conflits de ce début de siècle. Son engagement le conduira au coeur de l’ultime bataille dans les ruines de la capitale des djihadistes. Le journal de guerre à couper le souffle d’un militant internationaliste.