Agenda FPP 6 janvier

vendredi 6 janvier 2023
par  Rosa

RDV MILITANTS

de 17h30 à 19h, la permanence santé et conditions de travail sera ouverte à la bourde du travail de paris
Vous êtes confronté.e.s à des conditions de travail intenables, dangereuses, injustes, à des violences, du harcèlement, des problèmes de santé (accident du travail, maladies liées au travail…), à la précarité et l’incertitude du lendemain (contrat précaire, management brutal, menaces, licenciement abusif)…
Vous voulez trouver des conseils, des outils pour vous défendre, des idées pour vous en sortir ?
Des travailleuses et travailleurs, militant-e-s syndicales et syndicaux, médecins du travail, psychologues du travail, agent•es de l’inspection du travail, professionnel-le-s du droit, expert-e-s CSSCT…, peuvent vous conseiller.
La Permanence est ouverte à tou.te.s, travailleuses et travailleurs de tous statuts (CDI, CDD, fonctionnaires, apprenti.e.s, stagiaires, intérimaires, sous-traitant•es, intermittent.e.s, chômeur.se.s, indépendant.e.s…)
L’Accueil est gratuit et anonyme ; et il n’y a pas besoin de prendre rendez-vous.
Et si vous voulez vous y rendre, rdv de 17h30 à 19h à la BDT, 3 rue du Château d’eau, métro République

De 17h30 à 19h aussi, l’Union départementale CNT du Val de Marne tiendra sa permanence syndicale hebdo à la maison des syndicats de Choisy le ROI
Et si vous voulez vous rendre à la permanence elle sera ouverte de 17h30 à 19h au 27 boulevard des alliés, à choisy le roi

à 18h, l’organisation Riposte collective propose une Formation juridique
C’est un atelier pour apprendre à se préparer à une manifestation, adopter de bons réflexes avant et pendant une arrestation, comprendre le déroulement et le but d’une garde à vue et rester solidaires de la rue jusqu’au tribunal.
Et si vous voulez y participer, rdv à 18h dans le hall du batiment B2 de l’université de Saint-Denis, dont l’entrée se fait par le 2 Rue de la Liberté, à Saint-Denis, métro St-Denis-Université

demain matin, à 10h, une grande marche est organisée par le Conseil démocratique kurde en France, en hommage aux trois militantes kurdes : Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez assassinées il y a 10 ans, et en hommage aux dernières victimes tuées lors de l’attentat terroriste commis contre les Kurdes à Paris il y a quelques jours : Emine Kara, Mîr Perwer, et Abdurrahman Kizil
Alors que le Conseil démocratique kurde en France était entièrement affairés aux préparatifs du 10e anniversaire du triple assassinat des militantes kurdes exécutées par l’État turc à Paris le 9 janvier 2013, trois autres militants kurdes ont été froidement assassinés le 23 décembre dernier, dans un attentat terroriste visant le siège de l’association, dans le 10e arrondissement de Paris.
Parmi les victimes, figure Emine Kara (connue sous le nom d’Evîn Goyî), une figure emblématique du Mouvement des Femmes kurdes, ainsi que le jeune chanteur kurde Mîr Perwer, qui avait été contraint de se réfugier en France suite à une condamnation par la justice turque à une peine de prison en raison de son engagement pour la culture kurde. La troisième victime est Abdurrahman Kizil, un homme kurde d’une soixantaine d’années qui fréquentait régulièrement l’association. L’attentat a fait par ailleurs trois blessés.
Pour le CDK-F, il ne fait aucun doute que la Turquie et ses services de renseignements sont impliqués dans cet attentat terroriste qui a endeuillé le peuple kurde et toute la France. C’est pourquoi, il a aussitôt soulevé auprès des autorités judiciaires le caractère terroriste de ces crimes.
Cependant, à ce stade, aucune de ses revendications n’a été prise en compte. Bien que toutes les conditions soient réunies pour qualifier cette attaque meurtrière de terroriste, le parquet n’a pas retenu cette qualification, considérant qu’il s’agissait d’un acte raciste.
C’est la deuxième fois en moins de dix ans que Paris est le théâtre d’un massacre politique contre les Kurdes et particulièrement contre les femmes kurdes. Ces crimes terroristes ne touchent pas seulement la France et sa communauté kurde, mais un peuple de 50 millions de personnes dispersées dans les quatre coins du monde.
10 ans après l’assassinat à Paris des militantes kurdes Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez, le sentiment d’impunité règne plus que jamais, le sentiment que la France cherche à jeter aux oubliettes ce crime politique, comme tant d’autres qui jalonnent son histoire contemporaine.
En effet, durant ces 10 longues années, l’État français n’a manifesté aucune volonté politique pour élucider cette affaire, ni fait aucun geste pour faciliter les investigations et le travail de la justice. Or, il ne s’agit pas là d’une simple affaire judiciaire, mais d’un crime terroriste dans lequel sont impliqués les services d’un État étranger, comme le confirme le réquisitoire du Procureur de la République : « de nombreux éléments de la procédure permettent de suspecter l’implication du MIT (services de renseignement) dans l’instigation et la préparation des assassinats. »
Sollicité à plusieurs reprises par les juges d’instruction pour la déclassification des informations détenues par les différents services de renseignements français concernant cette affaire, les gouvernements français successifs ont toujours opposé le secret défense. En refusant ainsi de lever le secret défense, la France commet un déni de justice et entretient l’impunité d’un crime politique et terroriste.
Toute la lumière doit être faite, tant sur la première affaire que sur la deuxième qui endeuille et meurtrit une fois de plus la communauté kurde.La France doit lever le secret défense et faire tout le nécessaire pour résoudre l’affaire du triple assassinat du 9 janvier. La justice française doit reconnaître le caractère terroriste de l’attentat du 23 décembre 2022 afin que les commanditaires soient jugés et condamnés.
C’est pourquoi, il est plus que jamais nécessaire d’adopter une position commune face à cette barbarie du régime turc dont les répercussions dépassent largement la sphère kurde.
Le 7 janvier sera l’occasion de manifester notre colère et de crier haut et fort notre exigence de vérité et de justice.
En outre, le conseil démocratique kurde en France appelle les défenseurs des droits humains, et particulièrement les avocats, à se joindre à la manifestation avec leur robe, afin de rappeler la primauté du droit et de revendiquer la justice aux côtés des familles des victimes et des milliers d’autres manifestants.
Enfin, il demande aux organisations politiques, syndicales et associatives de le rejoindre pour porter haut nos voix et notre quête de justice.
Et si vous voulez participer à cette marche, le rdv est donné demain matin à 10h devant la Gare du Nord

demain matin, de 10h à 12h, Solidaires Seine-Saint-Denis tient sa permanence dédiées aux travailleuses et travailleurs du 93, pour les aider à résoudre leurs problèmes au travail
et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle sera ouverte demain de 10h à 12h à la BDT de St-denis, 9 rue génin, métro Porte de Paris

demain matin de 10h à 12h aussi, l’Union Locale Aubervilliers des syndicats SUD-Solidaires propose un cours de droit du travail sur la fiche de paie
Et si vous voulez y participer, rdv demain matin à 10h à la Bourse du travail d’Aubervilliers, 92 avenue Victor Hugo, métro Aimé Césaire

demain à 14h, c’est le retour dit-on des Gilets Jaunes !
Et les Gilets Jaunes et Citoyens en Colère, les Femmes GJ. , les GJ Montreuil, GJ Pantin, GJ Belleville, GJ Écologie Populaire donnent rdv à 14h demain sur la Place de Breteuil pour une manif en direction de Bercy.

À partir de 14h aussi demain, le Réseau salariat organise une réunion publique sur la Réforme des retraites pour construire la mobilisation
Au programme de cette réunion publique, le réseau salariat proposera :
un bilan des du mouvement de 2019-2020
une Présentation des enjeux de la nouvelle réforme
un état des lieux des revendications offensives pour s’y opposer
et un Atelier pour construire la mobilisation avec des pistes pour étendre la grève en 2023
L’idée est non seulement que tout le monde reparte avec des arguments pour mobiliser ses collègues, sa famille, ses ami⋅es contre la réforme, mais également qu’on réfléchisse ensemble au rôle que pourra jouer le Réseau Salariat dans la mobilisation, et à des actions concrètes pour généraliser la grève pour la retraite à 50 ans !
et si vous voulez participer à cette réunion publique, rdv demain à partir de 14h à la Bourse du travail de Paris, 3, rue du Château d’eau, Métro République (salle Louise Michel).

À 14h30 demain, Les collectifs et associations algériennes en France appellent à un Rassemblement de soutien au journaliste KADI El Ihsane.
Le journaliste Ihsan ElKadi est toujours en détention provisoire ; et Radio M et Maghreb Émergent sont sous scellés. D’autres militant-e-s, citoyen-e-s engagé-e-s, partis politiques et organisations politiques sont suspendus d’activités ou menacés, à l’instar du PST, RAJ, UCP, RCD.
Aussi pour dénoncer l’arbitraire du pouvoir en place en Algérie, et exiger :
 La libération immédiate et inconditionnelle d’Ihsan El Kadi et de tous les détenu-e-s politiques et d’opinion en Algérie.
 L’annulation de toutes les charges retenues contre les journalistes, les avocat-e-s, les militant-e-s politiques et les citoyen-n-e-s engagé-e-s.
 La levée de : toutes les suspensions, les scellés sur les locaux de Radio M et Maghreb Émergent, les interdictions contre les journaux, les partis politiques, les organisations caritatives et associations culturelles et d’entraide.
 L’abrogation de l’article 87 bis et de tous les dispositifs juridiques répressifs et liberticides qui entravent l’exercice des libertés démocratiques individuelles et collectives.
Les collectifs et associations algériennes en France organisent un rassemblement demain et le rdv est donné à 14h30 sur la place du Trocadéro

dimanche de 11h à 18h, Les Amarres organisent une braderie solidaire au profit de l’asociation Women’s House
La Women’s House est un espace d’hébergement solidaire en non-mixité pour les mineures non accompagnées. Ouverte en avril 2021 par Médecins Sans Frontières et l’association Utopia 56 et accueille une dizaine de jeunes en attente de prise en charge par l’aide sociale à l’enfance. Les bénéfices serviront à financer des activités et sorties pour les filles ainsi que les frais de fonctionnement de la maison !
Et si vous voulez participer à la braderie solidaire en soutien à l’asociation, rdv dimanche de 11h à 18h aux Amarres, c’est au 24 Quai d’Austerlitz, métro Quai de la Gare

dimanche à 17h, la Recyclerie et Alternatiba Paris proposent leurs rdv réguliers intitulés Douceurs Résitantes, un moment d’échanges et de discussion collective autour d’un thème, et pour cette session, il s’agira de réfléchir aux moyens de lutter contre les passoires thermiques dans le 93
et si vous voulez y participer, rdv dimanche à partir de 17h à la Recyclerie, c’est au 83 boulevard d’Ornano, métro Porte de Clignancourt

dimanche de 17h à 22h, le collectif Contre Culture organise une Soirée de solidarité avec la Permanence Exilé.es de la Chapelle
au programme : une Rencontre et discussion avec la permanence "Exilé.es La Chapelle", qui se tient tous les lundis à 14h au 10, rue Affre 75018 Paris.
Cette permanence s’est créée en 2015 à l’apparition des premiers campements d’exilés laissés à la rue par l’État. Composée de militant.es, d’exilé.es et d’associations, cette permanence tente de trouver des solution pour faire face aux nombreux problèmes qui se posent quand on est demandeur ou demandeuse d’asile en France : violences policières, expulsion vers un autre pays européen (procédure dite "Dublin"), mise à la rue, coupure arbitraire des droits…
et les discussions seront suivies de concert avec des groupes punk : ZONE INFINIE ; X RAISONS ; et C’EST PAS GRAVE
et si vous voulez participer à cette soirée de solidarité, c’est dimanche de 17h à 22h au CICP, 21t Rue Voltaire, métro Rue des Boulets ou Nation ; et la soirée sera retransmise en direct dans l’émission Konstroy, sur Radio Fréquence Paris Plurielle.

RDV CULTURELS

à 18h ce soir, le Théâtre et cinéma Jacques Prévert - En partenariat avec l’association 93or, proposent un ciné-débat autour du film ON A GRANDI ENSEMBLE, de Adnane Tragha
A Ivry sur Seine, la cité Gagarine était un symbole. Détruite en 2020, Ce film la fait revivre, à travers le regard d’Adnane Tragha, qui a grandi en face, et par les mots de ses anciens habitants. De retour dans la cité déserte, ils évoquent leurs souvenirs du lieu. Daniel, Loïc, Karima, Yvette, Foued, Samira ou encore Mehdy racontent leur vécu, leur expérience, leur ressenti. Croisant les temporalités et les expériences, « On a grandi ensemble » peint, par petites touches subjectives, l’histoire d’une cité comme tant d’autres.
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec son réalisateur, rdv à 18h au théâtre Jacques Prévert qui se trouve au 134 avenue Anatole France, à Aulnay-sous-Bois

à 18h30 ce soir, L’Institut kurde de Paris organise le vernissage d’une exposition d’œuvres d’artistes kurdes exilés intitulée : « Arts kurdes en exil »
et si vous voulez découvrir les œuvres de : Abdin Mostafa, AVAN, Eido Alhussein, Inayat Attar, Jihad Moussa (Genco), Joseph Bakir, Kaniwar Alan, Khalil Hemsork, Nesrin Mahmoud, Niaz Bayatn Nour Jaafar, Rodi Khalil, Saleh Nemr, Seywan Saedian, Srour Alwani, Tara Salih, Waleed Ibrahim, Walid Agha et Yahia Alselo (Silo) etc ; rdv à 18h30 ce soir à la mairie du 10ème qui se trouve au 72 rue du Faubourg Saint-Martin, métro Château d’eau

ce soir et ce we, les graffeurs El Veneno et Itvan Kebadian du collectif Black Lines qui signe de belles banderoles renforcées dans les manif Gilets Jaunes, proposent une expo collective intitulée le Festin de la Meute
et si vous voulez participer au vernissage de cette expo, rdv aujourd’hui à 18h et jusqu’à 22h ; et demain et après-demain de 14h à 20h, au 24 Rue Charles Baudelaire, métro Ledru-Rollin

à 20h30 ce soir, le ciné-Léon propose une Projection-rencontre autour du film "AiMer La ViE" de Nadia Genet
A 91 ans, Hellyette Bess, fondatrice de la bibliothèque libertaire Le Jargon Libre est une MILITANTE libertaire toujours ACTIVE. Dans ce film qui lui est consacré : Nadia Genet chemine avec Hellyette, dont elle nous fait découvrir peu à peu la VISION humaniste. A travers son histoire et celle de ses CAMARADES de route, on perçoit la générosité d’une femme modeste, cultivée, COMPLEXE, animée par l’amitié, l’amour et la fidélité à ses principes de vie.
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec la réalisatrice Nadia Genet et la protagoniste Hellyette Bess, rdv ce soir à 20h30, au Centre d’animation Mercœur, qui se trouve Rue Mercœur, métro Voltaire

à 20h30 aussi ce soir, le Cin’Hoche et l’Association Bagnoletaise du Cinéma proposent la projection en avant-première du film d’animation INTERDIT AUX CHIENS ET AUX ITALIENS, réalisé par Alain Ughetto.
Avant de mourir, son père lui a raconté la légende de sa famille : durant des générations, ils sont nés, ils se sont mariés, et ils sont morts dans un village piémontais, Ugheterra, "terre des Ughetto", où tous les habitants ont le même nom de famille qu’eux. Qui étaient ces gens ? Comment vivaient-ils ? Pourquoi ont-ils fui et où sont-ils allés ?
Et si vous voulez découvrir ce film d’animation en avant-première, rdv à 20h30 ce soir au Cin’Hoche qui se trouve au 6 rue Hoche à Bagnolet ; et une autre projection du film est prévue dimanche à 16h au théâtre Ruteboeuf qui se trouve au 16 allée Léon Gambetta, à Clichy

à 11h demain matin, l’Addoc - Association des Cinéastes Documentaristes et le ciné Luminor Hôtel de Ville proposent une projection-débat autour du film Le Bon Grain et l’Ivraie, de Manuela Frésil
En 2015, la réalisatrice rencontre à Annecy des familles déboutées du droit d’asile et laissées à la rue. Les enfants vivent là leur vie d’enfants, vont à l’école, font leurs devoirs. En petite bande joyeuse, ils dansent, rient, font des batailles de boules de neige, mais où dormiront-ils cette nuit ? Dans un hall de gare ? Dans un centre d’hébergement ?
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec la réalisatrice, Manuela Frésil, rvd à 11h demain au ciné Luminor Hôtel de ville qui se trouve au 20 rue du Temple, métro Hôtel de Ville

demain de 16h à 19h, la bibliothèque associative de Malakoff propose son accueil hebdomadaire
Créée en 2014, elle offre la possibilité de consulter et d’emprunter des livres documentaires sur des thématiques touchant essentiellement aux luttes sociales et d’émancipation, à l’histoire des moments révolutionnaires et à la critique des mécanismes d’exploitation, d’oppression et de domination - avec une tonalité plutôt libertaire. On trouve aussi des thématiques plus classiques (philosophie, anthropologie, sociologie, etc.) ainsi que des romans, des bandes dessinées, de la poésie…
La BAM propose aussi plusieurs revues (Le Monde libertaire, Courant alternatif, Alternative libertaire, Réfractions, Casse-rôles, etc.), des brochures et quelques livres en langues étrangères (anglais, allemand, espagnol et italien).
Et si vous voulez découvrir Le fonds de la BAM qui se compose actuellement de près de 6000 documents, rdv demain de 16h à 19h, au 14 Impasse Carnot, à Malakoff, métro Etienne Dolet

demain à 17h, l’association Causons engagée pour l’inclusion, la valorisation et l’insertion socio-proffesionnelle des personnes exilées, propose une projection-débat autour du DOCUMENTAIRE LA COMBATTANTE de Camille Ponsin !
Marie-José Tubiana, 90 ans, est une ethnologue à la retraite, spécialiste du Darfour (région du Soudan). Chaque jour, elle recueille minutieusement des témoignages de réfugiés pour authentifier leur récit et compléter leur dossier de demandeur d’asile. Malgré son âge, elle met à contribution son savoir et le travail de toute une vie de recherche sur la région du Darfour, pour mener son combat auprès des personnes qui ont du fuir cette région.
Et si vous voulez découvrir ce film-documentaire et en discuter avec des membres de l’assoc Causons, rdv demain à 17h au Studio Galande, 42 Rue Galande, métro Maubert-Mutualité

dimanche à 11h, la LDH, Amnesty Int., L’OIP et Autour du 1er mai proposent leur rdv ciné mensuel L’ÉCRAN DES DROITS au Cinéma Majestic Bastille, avec la projection de L’EMPIRE DU SILENCE de Thierry Michel
Depuis vingt-cinq ans, la République Démocratique du Congo est déchirée par une guerre largement ignorée des médias et de la communauté internationale. Les victimes se comptent par centaines de milliers, voire par millions. Les auteurs de ces crimes sont innombrables : des mouvements rebelles, mais aussi des armées, celles du Congo et des pays voisins… Tous semblent pris dans un vertige de tueries, pour le pouvoir, pour l’argent, pour s’accaparer les richesses du Congo en toute impunité, dans l’indifférence générale. Parcourant le Congo caméra au poing depuis trente ans, Thierry Michel a été témoin des combats, des souffrances mais aussi des espoirs du peuple congolais. Relayant le plaidoyer du Docteur Mukwege, prix Nobel de la paix, et dans la continuité de son précédent film L’homme qui répare les femmes, il retrace les enchaînements de cette impitoyable violence qui ravage et ruine le Congo depuis un quart de siècle.
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec le réalisateur Thierry Michel, Catherine Escurier, référente pour la République Démocratique du Congo chez Amnesty International France et Sonia Rolley, journaliste Reuters et spécialiste des Grands Lacs africains, rdv dimanche à 11h (ouch !), au cinéma Majestic qui se trouve au 4 bvd Richard Lenoir, métro Bastille

dimanche à 11h aussi, le Cinema Utopia 95 propose un Ciné rencontre autour de la situation en Iran, avce la projection du film JUSTE UNE NUIT, réalisé par Ali Asgari
Fereshteh, jeune étudiante vit seule à Téhéran avec son bébé. Lorsque ses parents, qui ignorent sa situation, lui annoncent leur venue imminente, Fereshteh n’a que très peu de temps pour trouver à qui confier sa fille. Accompagnée de sa fidèle amie Atefeh, venue la soutenir, elle n’essuie que refus et désistements. Personne ne veut prendre cette responsabilité. Même juste pour une nuit ...
et si vous voulez voir ou revoir ce film et discuter de la situation en Iran avec Bahar Makooï et Mariam Pirzadeh, journalistes franco-iranienne à France 24 et Aïla Navidi, comédienne franco-iranienne, rvd dimanche à 11h au cinéma Utopia 95 qui se trouve sur la place Mendès-France à St-Ouen-l’Aumône

dimanche à 13h, Le Bar commun organise une Table Commune Haïtienne avec l’asociation Haïti Futur
un moment convivial autour d’une soupe de l’indépendance, vous faire connaître un pan de l’histoire, de la culture, de la littérature et de la musique haïtienne
et si vous voulez y participe, rdv dimanche à 13h au Bar Commun, c’est au 135 rue des Poissonniers, métro Simplon

dimanche à 16h, L’association Saint-Denis LGBTQI+ propose un ciné-queer avec la projection du film But I’m a Cheerleader, réalisé par Jamie Babbit.
Megan est une lycéenne ordinaire fiancée au capitaine de l’équipe de foot mais qui préfère ses contacts avec ses copines pom-pom girls à ceux échangés avec son fiancé. Ses parents, inquiétés par son comportement, l’envoient dans un établissement de « thérapie » (allusion aux centres ex-gay existant dans certains États des États-Unis), True Directions, dont le but est de rendre hétérosexuels les jeunes lesbiennes et gays. Entourée d’homosexuels refoulés ou repentis, Megan va à la découverte de son homosexualité dont elle ignorait tout.
Et si vous voulez voir ou revoir ce film et en discuter avec des membres de l’association Saint-Denis LGBTQI+, rdv dimanche à 16h au 6b, c’est au 6 quai de Seine, sur l’ile-Saint-Denis, juste derrière la gare de Saint-Denis

dimanche à 18h, le Doc et la Clef Revival proposent une soirée ciné autour du VIH avec au programme, la projection de :
Hideous, de Yann Gonzalez : Une comédie musicale en trois parties - basée sur des chansons extraites de l’album Hideous Bastard d’Oliver Sim - qui explore les questionnements d’un jeune séropositif.
suivi de Zéro Patience, de John Greyson : Une comédie queer irrévérencieuse sur la crise du Sida qui mélange cinema expérimental et comédie musicale, mais aussi un film politique, réfutant la thèse du "Patient Zero" qui aurait contaminé toute l’Amérique du Nord.
Et si vous voulez voir ou revoir ces films, rdv dimanche à 18h au Doc, 26 rue du Docteur Potain, métro télégraphe