Agenda FPP 2 décembre

vendredi 2 décembre 2022
par  Rosa

avec Manon de la Queerale, une chorale queer parisienne, pour parler du spectacle qu’elle proposera dimanche 4 et le 11 décembre
La queerale, c’est une chorale qui regroupe 50 transpédégouines parisien·nes et leurs musicien·nes. Elle existe depuis janvier 2022. Chaque session de 3 mois se clôture par la Pop’n’Fags, un show . Le premier aura lieu le 4 décembre à 18h30 au Hasard Ludique situé au 128 avenue de St Ouen dans le 18e (métro Porte de Saint-Ouen) et le 11 décembre à 18h30 au Point Éphémère situé au 200 quai de Valmy dans le 19e (métro Jaurès).
Tarif : 5€ sur place ; 5.34€ sur internet (https://www.billetweb.fr/la-queerale-presente-popn-fags-3-winter-edition)
Billetterie du 4 décembre : https://www.billetweb.fr/la-queerale-presente-popn-fags-3-winter-edition1
Billetterie du 11 décembre : https://www.billetweb.fr/la-queerale-presente-popn-fags-3-winter-edition

RDV MILITANTS

De 14h30 à 16h30 cet aprem, le séminaire consacré aux « Politiques préfiguratives, utopies réelles et transformations sociales », se poursuit avec une séance autour de Jérôme Tournadre (CNRS) qui parlera de « Communalisme et de politique du refus dans la France contemporaine ».
et si vous voulez en discuter avec lui, rdv de 14h3à à 16h30 dans la salle 25 B du Bâtiment EHESS- sur le campus Condorcet, à Aubervilliers, M° Front Populaire ; ou en visio via le lien zoom que vous retrouverez avec les codes sur le site de l’agenda :
https://zoom.univ-paris1.fr/j/95323632221?pwd=NzRHYVJKYlJyRElFY0w3eVZHVmFOUT09
ID de réunion : 953 2363 2221
Code secret : 064567

à 15h cet aprem, le Dal et le collectif se loger n’est pas un crime qui ont monté un campement depuis 3 jours devant l’Assemblée nationale, organisent un rassemblement pour dénoncer la proposition de loi Kasbarian-Bergé actuellement discutée dans l’hémicycle, une proposition de loi qui criminalise les squatteurs de logements vides, les locataires qui n’ont pas ou plus de bail, et même les hébergé.es
Suspendus depuis mardi soir, les débats sur la Proposition de loi Kasbarian-Bergé reprennent ce matin. L’alliance Renaissance, LR et RN a durci le texte sorti de la commission des affaires économiques, en criminalisant notamment les occupants sans titre de « locaux économiques », les entreprises et les locataires du secteur privé qui se maintiennent dans les locaux après un jugement d’expulsion, les locataires et les accédants à la propriété en difficulté, et les squatters. Le délit de maintien dans le logement après jugement d’expulsion et expiration des délais supprimé en commission est rétabli. La réduction des délais et l’expulsion automatique si le locataire n’a pas repris le paiement du loyer ou si le locataire ne fait la demande d’un échéancier est maintenu.
Face au durcissement de la PPL lors des débats de cette semaine, le DAL et le collectif se loger n’ewst pas un crime organisent donc un rassemblement pour dénoncer cette criminalisation des squatteurs de logements VIDES et des locataires en difficulté, et exiger l’Application de la loi de réquisition, le Respect de la loi DALO, la Baisse des loyers et des charges et le relèvement des APL ; et le rdv est donné à 15h cet aprem, sur la place Edouard Herriot, métro Assemblée nationale

à partir de 15h cet aprem et tout le we, l’assoc Solidarités jeunesses organise un we de Rencontres "L’éducation populaire c’est politique !"
3 jours d’ateliers : un retour historique sur les chantiers internationaux, une initiation au théâtre-forum pour s’outiller face aux violences de genre, une exploration sensorielle en forêt ou encore une conférence gesticulée pour questionner le rapport au travail dans les milieux militants.
et si vous voulez participer à ces rencontres sur l’éducation populaire comme outil politique, Rdv à partir de 15h cet aprem et tout le we, à la MFR de la Grange Colombe, qui se trouve au 5 Rue de la Grange Colombe, à Rambouillet

De 17h30 à 19h, l’Union départementale CNT du Val de Marne tiendra sa permanence syndicale hebdo à la maison des syndicats de Choisy le Roi
Et si vous voulez vous rendre à la permanence elle sera ouverte de 17h30 à 19h au 27 boulevard des alliés, à choisy le roi

à partir de 18h ce soir, le CICP organise une soirée intitulée : Contre la guerre impérialiste, que peuvent les révolutionnaires ?
La guerre en Ukraine a bouleversé la situation politique mondiale en alignant, face à face, la Russie d’une part et l’Otan et les États-Unis d’autre part. Mais la guerre en Europe de l’Est n’est que le prélude à d’autres affrontements, opposant ouvertement la Chine et les États-Unis. La tension à Taïwan en est la dernière illustration. Ainsi un nouveau pallier semble atteint dans le processus orientant le monde vers l’horreur de la guerre généralisée.
Comme lors des deux autres guerres mondiales, les révolutionnaires internationalistes affirment que la guerre impérialiste et ses fronts doivent être désertés - quels qu’en soient leurs formes. Dans la guerre et le nationalisme, la classe ouvrière a tout à perdre et rien à gagner. Le seul véritable choix qui s’offre à elle, reste la transformation de la guerre impérialiste en guerre de classe, en construisant une alternative basée uniquement sur ses propres intérêts immédiats et à plus long terme. Cette alternative implique, d’ores et déjà, le rejet de l’économie de guerre et de l’ensemble des sacrifices qu’il faudrait lui consentir.
C’est bien en développant une lutte intransigeante contre le système capitaliste et ses défenseurs, que les exploités pourront supprimer durablement les menaces de guerre, toujours renaissantes dans un mode de production fondé sur l’accumulation de capital et les appétits opposés des États nationaux. C’est le capitalisme qu’il faut renverser pour mettre fin à ses guerres impérialistes, ses bains de sang, la misère et la destruction de la planète.
Et si vous voulez en discuter collectivement, rdv à partir de 18h ce soir au CICP, 21 ter rue Voltaire, métro Rue des Boulets ou Nation

à 19h ce soir, le Collectif AL-Beyt organise une soirée à la Flèche d’Or pour présenter le projet qu’il veut monter sur un terrain acheté dans la région d’Idleb, en Syrie
et si vous voulez en savoir plus sur ce projet monté par le collectif Al-Beyt, une association politique, culturelle et sociale syrienne qui vise à créer et à renforcer les liens entre les syrien.nes exilé.es et celles et ceux encore en Syrie, rdv à partir de 19h ce soir à la Flèche d’Or, c’est au 102 bis rue de Bagnolet, métro Porte de Bagnolet

ce soir le squat de la baudrière organise une soirée de soutien aux agent-es de nettoyage, sous-traité-es par Arc-en-ciel pour le compte de l’université Paris I, qui sont en grève depuis le 7 novembre pour dénoncer des conditions de travail déplorables, les bas salaires, les heures sup non payées, les retards de paiement des salaires...
la liste est longue des irrégularités et des manquements au code du travail de cette entreprise, déjà condamnée au tribunal des prud’hommes en octobre dernier.
Ce qui a mis le feu aux poudres : c’est le licenciement de Siva, leur cheffe de site, pour avoir refusé de désigner 3 personnes à licencier ("les plus âgées" lui a-t-on demandé !).
Alors depuis le 7 novembre, les 12 salarié.e.s du site sont en grève soutenu ;e.s par leur syndicat CNT-SO, pour exiger :
 la réintégration de leur collègue licenciée
 et la rupture du contrat de l’université avec Arc-en-Ciel, avec leur internalisation au personnel de l’université
Elles et ils ont monté un piquet de grève sur le site de Tolbiac, tous les jours jusqu’à 19h et ce soir le squat de la Baudrière organise donc une soirée pour les soutenir, alors rdv à 19h au 65 bis rue Voltaire à Montreuil, métro Robespierre ; et pour les soutenir aussi, vous pouvez renflouer la caisse de grève : http://www.papayoux-solidarite.com/.../salarie-e-s-arc-en...

ce soir et demain soir, L’Initiative des étudiant-e-s, travailleurs et travailleuses grecques à Paris organisent un weekend de soutien aux victimes des violences policières et pour rendre hommage au camarade grec Vassilis Maggos assassiné par la police
Le 14 juin 2020, lors d’une manifestation écologique, la police a agressé Vassilis Maggos à coups de pied et de matraque, les CRS l’ont ensuite emmené en GAV et lorsqu’ils ont terminé avec lui, il avait sept côtes fracturées, le foie et la vésicule biliaire contusionnés. Quelques semaines plus tard, il a été retrouvé mort. Il avait 26 ans.
Vassilis Maggos avait rejoint la lutte des habitant.e.s de Volos contre le projet d’une nouvelle usine destinée à transformer les déchets commerciaux en combustible pour la cimenterie Hercules qui domine la périphérie-est de la ville. Le combustible solide de récupération est présenté comme une alternative plus écologique aux combustibles fossiles, mais Hercules - qui appartient désormais au consortium suisse Lafarge - a été classée par l’Agence Européenne pour l’Environnement au dixième rang des pires sites industriels de Grèce en termes de pollution atmosphérique et d’impact sur la santé publique.
Ce projet a été imposé aux habitant.e.s sans tenir compte de leurs préoccupations, exactement comme ce qui est en train de se passer actuellement dans le quartier d’Exarchia à Athènes.
Le registre des crimes et délits de la préfecture de Volos indique que Vassilis Maggos a été placé en garde à vue parce qu’il était « soupçonné de vouloir commettre un crime » et parce qu’il était connu en tant que militant anarchiste pour son activisme dans « divers collectifs » et son « comportement généralement délinquant ». Le registre indique aussi qu’il a été détenu en utilisant la force « strictement nécessaire ». Mais la violence policière qu’a subi Vassilis ne laisse pas de place à la spéculation, puisqu’elle a été filmée par la caméra d’un téléphone portable et que la vidéo montre clairement l’usage excessif de la force.
Vassilis a été traumatisé psychiquement et physiquement et pourtant, la police et le système judiciaire agissent comme s’ils ne voyaient pas. Le procureur a ignoré toutes les preuves fournies et a engagé des poursuites avec de graves omissions, qualifiant ces crimes policiers de « lésions corporelles dangereuses », soit la charge la plus légère prévue. Les parents de Vassilis ont déposé plainte le 16 juin 2021 et le procès devait alors lieu ce mois-ci mais il a été reportée au 15 mars prochain car la famille revendique que la plainte soit annexée à la poursuite pénale susmentionnée, demande qui a été rejetée à trois reprises par le procureur adjoint de Volos !
Pour rendre hommage à Vassilis Maggos, soutenir sa famille, et dénoncer les violences policières en Grèce et ailleurs, L’Initiative des étudiant-e-s, travailleurs et travailleuses grecques à Paris organisent donc ce weekend de soutien avec au programme, deux soirée :
 ce soir à partir de 19h, avec une soirée électro avec Daimonio et Meriochane, au Saint-Sauveur, c’est au 11 rue des Panoyaux, métro Ménilmontant
 et demain soir à partir de 19h, avec un concert punk et hip-hop avec Krav Boca, Sponty (qu’oné coutera à la pause), Rationalistas, et Simadi, et c’est demain à la parole errante, 9 rue François Debergue, à Montreuil, métro Croix de Chavaux

demain matin, de 10h à 12h, Solidaires Seine-Saint-Denis rouvre sa permanence dédiées aux travailleuses et travailleurs du 93, pour les aider à résoudre leurs problèmes au travail
et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle sera ouverte demain de 10h à 12h à la BDT de St-denis, 9 rue génin, métro Porte de Paris

demain matin aussi de 10h à 12h, l’Union Locale Aubervilliers des syndicats SUD-Solidaires organise un Cours de droit du travail, pour vous aider à connaître vos droits en tant qu’assistant.e d’éducation, et à les faire respecter
Et si vous voulez suivre ce cours, rdv demain à partir de 10h à la Bourse du travail d’Aubervilliers, 92 avenue Victor Hugo, métro Aimé Césaire

demain et dimanche de 10h à 19h, l’association Autremonde organise sa Braderie annuelle de la solidarité
Située dans le 20ème, l’association Autremonde accueille des personnes en situation de précarité et de migration, et propose de nombreuses actions : cours de français, maraudes, accueil de jour, permanence administrative, accès aux droits, etc.
Pour financer ces actions, l’association organise chaque année depuis 28 ans une grande braderie solidaire, et si vous voulez y participer, c’est demain et dimanche de 10h à 19h à la Mairie du 20ème sur la place Gambetta – métro Gambetta

à partir de 13h demain et jusqu’à 19h dimanche, le squat de la Baudrière organise un Week-end de rencontres "No borders"
Chaque jour, de nombreuses personnes qui n’ont pas de papiers occidentaux tentent de franchir les frontières françaises pour entrer sur le territoire ou en sortir. A pied, en camion, en train, en bateau, en bus, en voiture, elles traversent les lignes tracées par les Etats occidentaux pour mieux asseoir leur domination.
Sur les routes, tout un arsenal répressif est mis en place pour tenter de bloquer ou ralentir les personnes : la PAF, la gendarmerie, les militaires... autant d’agents de l’Etat chargés de harceler et de poursuivre les personnes cherchant à passer ces frontières. Postés sur les route, les chemins, les plages, dans les montagnes et dans les gares, ils poursuivent, interpellent, gazent, frappent et intimident.
Sur les routes se donne à voir la violence de l’administration française, les démarches incompréhensibles et sans fin qui ne mènent nulle part, les heures d’attente, les entretiens inquisitoires, les refus et refoulements.
Sur les routes se trouvent les centres de rétention administratives, les violences de l’enfermement, les jugements hâtifs et injustes, les renvois forcés en dehors du territoire français.
Ce dispositif frontalier est un outil de contrôle raciste, impérialiste, colonial, violent et meurtrier, renforcée par la collaboration entre États.
Face à cela : Chaque jour et partout des personnes brûlent ces frontières : en les traversant, en les attaquant frontalement ou en les contournant, en occupant des lieux de vie et d’échanges, en créant des réseaux de solidarité et en faisant vivre les routes souterraines.
Pour discuter collectivement de cette situation et mieux définir des axes de lutte pour les prochains temps, le Squat de la Baudrière propose ce we de rencontre no borders, avec au programme : toute la journée de samedi des prises de parole des collectifs en lutte aux frontières à Vintimille, à Césana et Briançon, à la frontière calaisienne ou encore dans les campements à Paris ; et dimanche, il y aura une série d’ateliers sur Schengen et le fonctionnement du règlement Dublin et les évolutions de son application ses dernières années : autoformation et partage d’experiences, sur la santé mentale et l’impact des violences institutionnelles, ou encore sur les liens entre villes et frontières.
Et si vous voulez participer à ce we de rencontres No borders, qui sera ponctué de cantines solidaires, dont les benef iront au squat du Yallah à Cesana, et au squat rue Frédérique Sauvage à Calais, rdv à partir de 13h demain et jusqu’à 19h dimanche, au squat de la Baurdière, c’est au 65 bis rue Voltaire, à Montreuil, métro Robespierre

à 13h30 demain, l’Institut ouïghour d’Europe appelle à une manifestation pour dénoncer le Génocide ouïghour en cours
Le 20 janvier dernier, l’Assemblée nationale française a reconnu qu’un génocide perpétré par la gouvernement chinois étaient en cours contre les Ouïghour-e-s. Depuis, la France n’a pourtant mis aucune vraie mesure en place pour mettre fin à cette destruction et avertir l’effacement du peuple ouïghour. Au contraire, suite à l’invasion russe de l’Ukraine, la Chine est devenue un partenaire d’autant plus proche des pays européens.
Pendant ce temps, la situation ouïghoure a continué d’empirer. Désormais, même la vie de la population ouïghoure en dehors des camps et des prisons est en danger. Depuis près de 4 mois maintenant, sous prétexte de contrôler l’épidémie de Covid-19, la Région ouïghoure est entièrement fermée. La population est strictement confinée, dépendants de livraison de nourriture organisée par les autorités qui ne l’ont pas fait. Par conséquent, cela a causé une famine et la mort de nombreuses personnes, notamment des enfants, lorsque les autorités n’ont pas apporté la nourriture et les médicaments nécessaire à leur survie.
Le 24 novembre dernier, un immeuble a pris feu dans la capitale de la Région ouïghoure, Ürümchi. Situé dans un quartier ouïghour de la ville, 44 Ouïghour-e-s y auraient perdu la vie, n’ayant pas pu sortir par les portes du bâtiment qui avaient été verrouillées par les autorités en raison du confinement. Les secours, quant à eux, ont attendu deux heures avant d’intervenir.
Au sein de la diaspora ouïghoure : La colère monte face à l’inaction de la communauté internationale et à la complicité des pays musulmans, c’est pourquoi l’Institut ouïghour d’Europe organise une nouvelle marche d’hommage aux victimes et contre le génocide ouïghour qui est toujours en cours ! Et le rdv est donné demain à 13h30 sur la place de la Bastille

demain aussi, à partir de 13h30, Les organisations de chômeurs et précaires : AC ! (Agir ensemble contre le Chômage !) , l’Association Pour l’Emploi, l’Information et la Solidarité des chômeurs et travailleurs précaires, le Comité National des Travailleurs privés d’Emploi et Précaires de la CGT et le Mouvement National des Chômeurs et Précaires organisent le 20e rassemblement annuel des chômeurs et précaires
Alors que le gouvernement continue de mentir sur les chiffres du chômage et les offres non pourvues pour faire passer les chomeurs et chomeuses pour des fainéants qu’il faudrait contraindre à travailler et qu’il justifie ainsi une nouvelle attaque contre les indemnités chômage en en durcissant les conditions d’obtention, L’objectif de ce rassemblement est d’informer autour des droits des chômeurs et précaires, d’alerter sur les attaques qui leur sont faites, et de lever le poids de la stigmatisation qui les réduit au silence, empêchant ainsi toute mobilisation.
Aussi pour exiger :
Un emploi choisi, stable et correctement rémunéré pour toutes et tous
L’indemnisation de 100% des travailleurs privés d’emploi et précaires par l’Assurance-Chômage
La revalorisation des allocations chômage de 10 par jour
Une prime de Noël de 500€ étendue à tous les chômeurs-chômeuses
Le gel des loyers et l’épuration de toutes les dettes locatives
AC ! (Agir ensemble contre le Chômage !) , l’Association Pour l’Emploi, l’Information et la Solidarité des chômeurs et travailleurs précaires, le Comité National des Travailleurs privés d’Emploi et Précaires de la CGT et le Mouvement National des Chômeurs et Précaires organisent ce rassemblement et le rdv est donné demain à 13h30 sur la place du Caquet, à Saint-Denis, en face du Carrefour, métro Basilique- L’association Chorba Pour Tous fera une distribution de soupe sur place

à 14h demain, le Collectif Austerlitz organise un rassemblement pour Dire non au « mur » d’Austerlitz et oui au jardin sur la friche Austerlitz pour :
lutter contre le dérèglement climatique et éviter l’énorme îlot de chaleur créé par les 150 000 tonnes de béton du « mur », protéger les commerces de proximité mis en péril par un centre commercial : le béton contribue à 7% des émissions mondiales de CO2 et préserver les finances publiques : car ce projet, financé à 90% sur fonds publics, est un gâchis intolérable quand l’hôpital pleure misère
et si vous voulez défendre la mise en place d’un jardin, plutôt que du béton, sur la friche d’Austerlitz, rdv demain à 14h au 5bis Boulevard de l’Hôpital, métro Austerlitz

à 16h demain, un Rassemblement en hommage aux victimes du confinement et contre le Parti communiste chinois est organisé
Depuis plus de deux ans, les mesures excessives anti-Covid du Parti communiste chinois ont entraîné de nombreuses tragédies en Chine continentale, dont l’incendie mortel qui a eu lieu à Urumqi, qui a mis le peuple en colère.
Les jeunes Chinois se rendent dans la rue avec un papier blanc ou des slogans politiques pour revendiquer la liberté envers le Parti communiste chinois. C’est la première fois que les Chinois manifestent à l’échelle nationale depuis la rébellion en 1989 (réprimée par l’armée). Certains d’entre eux ont été arrêtés, le nombre exact reste bien sur inconnu.
Aussi, pour commémorer les victimes des mesures anti-Covid et appeler à la solidarité de la communauté internationale avec le peuple chinois, un rassemblement est donc organisé demain à 16h sur la place du Trocadéro

à partir de 19h demain, Survival International France, Fondation Danielle Mitterrand et le Verdragon, Maison de l’Écologie Populaire organisent une soirée de rencontres-débats avec une délégation du peuple Kali’na en lutte contre la construction de la Centrale Electrique de l’Ouest Guyane (CEOG) sur leur territoire traditionnel.
Alors que depuis 30 ans les habitants du village Prospérité en Guyane française revendiquent qu’un terrain lui soit confié au titre des "zones de droit d’usage collectif", ce terrain a finalement été accordé à la société hydrogène de France pour y implanter une centrale électrique. Ce projet dénommé CEOG, porté par le fond d’investissement Méridiam, prévoit de raser 78 hectares de forêt amazonienne en plein parc naturel régional de Guyane, qui s’avère être le territoire de vie, de chasse et de pêche des habitants du village. Depuis 3 ans le village se bat contre l’emplacement de ce projet industriel sur les terres qu’ils revendiquent. La répression s’est accentuée suite à une mobilisation pacifiste des villageois contre la poursuite des travaux : arrestation, garde à vue, etc.
Depuis le 24 octobre, ils occupent physiquement le chantier pour empêcher la reprise des travaux.
Et si vous voulez revenir sur cette lutte avec :
 Roland SJABERE - chef coutumier kali’na du village Prospérité
 Melissa SJABERE - représentante de l’association AT’OPO W+P+
 Christophe Yanuwana PIERRE et Clarisse Taulewali DA SILVA , porte-paroles de Jeunesse Autochtone de Guyane (JAG)
rdv à partir de 19h demain au Verdragon, c’est au 14 rue de l’épine prolongée, à Bagnolet

à partir de 19h demain, l’association Amitié Palestine Solidarité organise une Soirée de solidarité avec la Palestine – avec une Conférence-Débat sur l’Agriculture, la Colonisation et l’Apartheid
La destruction systématique par Israël de l’agriculture et de l’industrie palestiniennes, la confiscation des ressources en eau, et l’accaparement des terres en cours dû à la construction des colonies et du Mur de l’Apartheid ont transformé l’économie palestinienne en une économie de captivité dans laquelle il n’y a pas d’alternative aux nombreux produits israéliens.
Le boycott universitaire et culturel des institutions israéliennes est présent au sein de la société civile palestinienne, à quelques exceptions près, mais le boycott global des produits israéliens est plus difficile. La politique coloniale d’Israël n’a pas seulement détruit l’agriculture et l’industrie palestiniennes, mais a également rendu impossible pour les Palestiniens de commercialiser leurs produits.
Alors que les Palestiniens finissent la récolte de leurs olives, que les attaques des colons se sont amplifiées privant les agriculteurs de ressources et que la résistance prend diverses formes contre l’armée d’occupation et la colonisation, Issa ELSHALET, agronome, coordinateur de la campagne de plantation solidaire d’oliviers en Palestine proposera de faire un point de la situation et de dresser les perspectives d’un autre avenir, puis il abordera la question du tourisme solidaire à partir de son expérience d’accompagnateur au sein de l’association Palestinian Heritage Trail qui organise des randonnées dans toute la Palestine le long d’un sentier qui s’étend du nord de Jénine au sud d’Hébron.
Et si vous voulez participer à cette soirée de solidarité avec le peuple palestinien, une soirée dont les bénéfices seront versés au profit du projet « Un million d’oliviers pour la Palestine » soutenu par l’association Amité Palestine Solidarité , rdv demain soir à partir de 19h au 25 Rue Jacques Duclos, à Aulnay-sous-Bois

dimanche à 16h, la librairie Michèle Firk organise une table-ronde autour du football populaire
Alors que la coupe du monde au Qatar affirme la fuite en avant d’un football spectacle toujours plus tourné vers le capitalisme, l’exclusion et la destruction sociale et environnementale, il apparaît important de se le réapproprier.
Par-delà les débats sur la tenue de la compétition et le boycott des instances dirigeantes du football, ce qui importe est comment sortir d’une consommation encombrante et retrouver une pratique et un rapport au football qui s’inscrive dans une autre histoire du sport, celle d’un sport populaire et engagé politiquement dans le sens de l’inclusion et en prise avec les luttes actuelles.
Et si vous voulez en discuter avec Mickaël Correia, auteur d’une histoire populaire du football aux éditions de la Découverte, le collectif Les Dégommeuses, qui pratique en mixité choisie et milite activement contre les dérives du football spectacle, ainsi qu’Arthur Verdelet, rédacteur chez Caviar Magazine qui se donne pour mission de parler autrement de football, rdv dimanche à 16h dans la Grande salle de la parole errante, c’est au 9 rue Francois Debergue, à Montreuil, métro croix de Chavaux

rdv culturels

à partir de 15h cet aprem, l’Iremmo - Institut de Recherche et d’Études Méditerranée Moyen-Orient propose une table-ronde autour du livre collectif : Syrie, le pays brûlé (1970-2021). Le livre noir des Assad
Ce livre redonne une voix à celles et ceux que la dictature de Hafez puis Bachar al-Assad s’est employé, et s’emploie toujours, à faire taire en Syrie et ailleurs. Il documente et dénonce des crimes que beaucoup voudraient oublier malgré leurs liens directs avec nos propres hantises (crise de l’accueil migratoire, crispation identitaire, attentats djihadistes, invasion russe de l’Ukraine…). Dans la lignée des grands Livres noirs, il retrace précisément les faits : terreur, emprisonnements massifs, tortures systématiques, sièges des villes, bombardements chimiques, exterminations ethnico-confessionnelles, « assainissement » démographique, dont il éclaire les ressorts historiques, géopolitiques et sociaux.
La révolution et la contre-révolution en Syrie révèlent certains fondamentaux de notre temps : à la fois la puissante aspiration à la liberté des sociétés longtemps brimées, la radicalisation sans retenue de toutes sortes de régimes autoritaires et l’affaissement des idéaux démocratiques dans les pays occidentaux. Au travers de témoignages, sous forme de récits, de textes littéraires, de photographies et de dessins, éclairés par les analyses des spécialistes des conflits du Proche-Orient ou des violences de masse, cet ouvrage d’une ampleur inédite, fait donc œuvre de mémoire, d’histoire et d’avertissement. Contre le négationnisme, la banalisation, l’indifférence ou le silence. Et contre l’impunité de ceux qui, en exécutant leur mot d’ordre « Assad ou on brûle le pays », ont mis la Syrie à feu et à sang.
Et si vous voulez en discuter avec les auteurices dont : Catherine Coquio, spécialiste des génocides contemporains, et Farouk Mardam-Bey, historien et directeur des éditions Sindbad, rdv de 15h-18h, dans les locaux de l’Iremmo, au 7 rue des Carmes, métro Maubert-Mutualité ; ou en ligne :https://www.helloasso.com/.../evenements/syrie-le-pays-brule

à 19h ce soir, le squat du Malaqueen propose, dans le cadre de la campagne internationale contre les armes chimiques lancée par Defend Kurdistan, une Projection-discussion autour du documentaire kurde « Bakur », réalisé par Ertuğrul Mavioğlu.
Et si vous voulez y participer, rdv à 19h au Malaqueen, 70 Rue Gallieni à Malakoff, métro Etienne Dolet

à 19h30 ce soir, dans le cadre du Forum des Droits de l’Homme organisé par Amnesty International, Acat, Ccfd, Cimade, Fidh, Habitat & Humanisme, Ldh, Rap2s et l’Union des Étudiants exilés, il y aura un Théâtre-débat "Agir pour le logement et l’emploi des exclus"
Avec au programme : une représentation de la Pièce de théâtre : "Les pavés de l’enfer" proposée par David Lesné qui met en scène : Un couple qui décide d’accueillir chez lui un SDF afin de l’accompagner dans sa réinsertion et réalise que l’expérience n’est pas si facile. Un conseiller Pôle emploi qui ne propose que l’inscription à des « modules », à l’opposé de ses attentes. Une conseillère en insertion sociale qui trouve des solutions en dehors de toute logique, que le SDF a l’audace de refuser ! Bref, des situations tragi-comiques…
puis un débat sur le logement et l’emploi des exclus avec : Christian OLLIVRY, président d’ANTRAIDE , Dominique THIERRY, président TZCLD Antony ; Michel-Henri EVANNO, responsable de l’Antenne des Hauts-de-Bièvre d’Habitat et Humanisme , et Pierre MARECHAL, OPML92
et si vous voulez participer à cette soirée organisée dans le cadre du Forum des droits de l’Homme qui se tient jusqu’au 10 décembre, rdv ce soir à 19h30 au CAEL, 11 rue des Rosiers, à Bourg-la-Reine

Alors que le film Nos Frangins de Rachid Bouchareb sort prochainement en salles, la famille d’Abdel Benyahia se revolte et publie une lettre ouverte : comment peut-on prétendre révéler cette affaire de décembre 1986, qui a eu lieu au même moment que la mort de Malik Oussekine, sans consulter les premiers concernés, et sans évoquer la mobilisation qu’elle a suscitée ?
Les Frangins d’Abdel en gardent une mémoire intacte et entendent en restituer l’histoire, loin des élucubrations au nom de la fiction au cinéma ; et ils seront tous présents pour s’en expliquer ce soir, à 20h au cinéma l’Etoile qui se trouve au 1 allée du progrès, à la Courneuve
et si vous voulez voir la lettre ouverte des frères d’Abdel Benyahia, rdv sur : https://vimeo.com/776627689

à 20h aussi ce soir, les Sections locales d’Amnesty International et de la Ligue des droits de l’Homme d’Issy-les-Moulineaux, Sèvres, Meudon, proposent une Projection-débat sur le droit à manifester et plus généralement sur l’évolution du droit des libertés publiques depuis 20 ans et le renoncement à certaines libertés fondamentales au nom de la sécurité.
Après la Projection du documentaire "Présumé coupable" qui présente des témoignages de victimes ainsi que des analyses d’experts et d’avocats, Anne-Sophie Simpere, co-autrice du livre "Comment l’état s’attaque à nos libertés - Tous surveillés et punis" et chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty International France, reviendra sur les questions de violences policières, de droit de manifester et de surveillance de masse (notamment la reconnaissance faciale).
Et si vous voulez y participer, rdv à 20h au Forum Sévrien qui se trouve au 2 rue Lecointre, à Sèvres

à 20h30 ce soir, le centre d’animation mercoeur propose une Projection-Rencontre autour du film "300 jours de colère" le premier volet d’une trilogie documentaire de Marcel Trillat consacrée à la classe ouvrière aujourd’hui.
2001-2002, les 123 ouvriers de l’usine de filature Mossley près de Lille luttent pour l’obtention d’un plan social digne de ce nom. En effet, les salariés apprennent brutalement la liquidation de leur entreprise. C’est le début d’une longue LUTTE. Une histoire humaine suivie pendant 9 mois par des témoins discrets, au fil des rencontres et des amitiés qui se nouent. Et si vous vulez découvrir ou redécouvrir ce documentaire et en discuter avec le fils du réalisateur et caméraman du film, Julien Trillat, rdv à 20h30, au Centre d’animation Mercœur, c’est au 4 Rue Mercœur, métro Voltaire

ce soir et demain soir, le centre culturel algérien rend hommage à Henri Alleg et organise plusieurs représentations de la pièce de théâtre La question proposée par la Compagnie "Ca va aller", à partir du texte d’Henri Alleg
En pleine guerre d’Algérie, Henri Alleg est arrêté à Alger et torturé par des parachutistes français dans un lieu non-officiel. Pour écrire le récit des sévices endurés lors de son passage au « centre de tri de la Bouzaréah » et ne pas se faire prendre, il utilise des petits bouts de papier qu’il plie en tous petits morceaux. Transmis à son avocat, ils seront ensuite édités. Dans ce texte transparait la conviction d’un homme qu’une parole juste peut venir à bout d’atroces violences.
Et si vous voulez découvrir cette pièce proposée par la Cie Ca va aller, et son adaptation du texte d’Henri Alleg, rdv ce soir à 20h30 et demain à 15h30 et à 20h30 au centre culturel algérien, qui se trouve au 171 rue de la Croix Nivert, métro Boucicaut

demain matin, à partir de 10h30, la section locale de l’association France Palestine Solidarité du XIVe propose une conférence autour de Stéphanie Latte-Abdallah et de ses deux derniers ouvrages : La Toile carcérale. Une histoire de l’enfermement en Palestine (Bayard, 2021) et Des morts en guerre. Détention des corps et figures du martyr en Palestine (Karthala, 2022).
Et si vous voulez en discuter avec Stéphanie Latte Abdallah de SciencesPo, rdv à 10h30 demain matin, à la Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 14e arrondissement, 22 bis Rue Deparcieux, métro Plaisance

demain à 15h30, dans le cadre du Festival Migrant’Scène, organisé par la Cimade, il y aura : une table ronde sur les « Femmes migrantes, au-delà des stéréotypes »
et si vous voulez en discuter avec : Linda Guerry, historienne spécialiste du genre en migration. Modératrice , Florence Lévy, sociologue, spécialiste des migrations chinoises en Europe , Pauline Schmitt Pantel, historienne, spécialiste des études de genre et bénévole à La Cimade, et Bchira Ben Nia, membre de la Coordination des Sans-Papiers 75, rdv demain à 15h30 à la Bibliothèque Vaclav Havel, 26, esplanade Nathalie Sarraute, métro Marx Dormoy

demain à 16h, la librairie Publico organise une rencontre autour de Virginie Dupeyroux et de son livre "Amiante et mensonge : notre perpétuité", paru aux éditions Vérone
Chaque jour cette fibre minérale est responsable de la mort de plus de dix personnes en France et continue de déclencher des pathologies mortelles des décennies plus tard après qu’on y a été exposé. Bien que sa toxicité ait été connue dès le début du XXè siècle, l’utilisation de l’amiante n’a été interdite qu’en 1977, ce qui n’a pas empêché les industriels de tenter d’en maintenir l’usage, que ce soit sur les lieux de travail, dans l’habitat et tout notre environnement.
Particuliers et associations mènent depuis plus de 25 ans le combat pour dénoncer ce scandale. C’est le sujet du livre de Virginie Dupeyroux et si vous vulez en discuter avce elle, rdv demain à 16h la librairie Publico, c’est au 145 rue Amelot, métro Oberkampf

demain à partir de 16h30, l’émission de FPP Echo-capricorne propose un spectacle bazar.
Il y aura au programme ; des ventes de livres, des objets artisanaux et à partir de 16h30, un spectacle des mélodies festives de Madagascar avec plusieurs artistes, Hery J, Rina, Patrick et Rivo et pour finir l’évènement un diner et boisson
Sus, spécialité malgache seront mise à disposition qui sera au prix de 12 euros.
Si vous souhaitez vous rendre à ce spectacle en solidarité avec
Madagascar c’est à partir de 16 h, Au CICP, 21 ter rue Voltaire, arrêt
du métro Rue des Boulets.

dimanche à 11h, le cinéma Utopia 95 propose la projection du film "Il nous reste la colère", en présence des réalisateurices Jamila Jendari et Nicolas Beirnaert et du protagoniste du film Philippe Poutou
En 2011, les ouvriers de Ford à Blanquefort sauvent leur usine et ses mille emplois. La joie de la victoire laisse rapidement place à de nouvelles craintes de fermeture. Celles-ci finissent par devenir une réalité, jusqu’à l’arrêt définitif des chaînes de montage en 2020. Il nous reste la colère retrace leur dernière année de combat, dressant le portrait d’un groupe emmené par Philippe Poutou.
Et si vous voulez voir ce film et en discuter avec les réalisateurices Jamila Jendari et Nicolas Beirnaert et Philippe Poutou, rdv dimanche à 11h au cinéma Utopia 95 qui se trouve sur la place Mendès-France, à Saint-Ouen-l’Aumône

dimanche à partir de 16h30, La Clef Revival propose une soirée de projections en soutien à l’association A4
L’association A4 construit une dynamique d’Accueil, de formation, d’accès au travail et d’accompagnement administratif des personnes avec ou sans papiers, urbaines ou rurales, dans les domaines de l’Agriculture et de l’Artisanat. l’Association est née de rencontres de personnes souhaitant apprendre, travailler et vivre de façon digne dans les domaines de l’agriculture ou de l’artisanat, mais qui rencontrent des difficultés pratiques du fait de leur situation.
Et pour soutenir cette assoc, la clef revival organise donc une soriée de projections avec au programme, la projection d’égal à égal, Réalisé par le collectif A4, un documentaire qui suit l’association lors d’un chantier dans le Limousin avec des agriculteur-ices, avec ou sans papiers, en formation ou professionnel-les, puis il y aura la projection du documentaire : les Voix croisées,Réalisé par Raphaël Grisey et Bouba Touré qui retracent, à partir d’images d’archives, l’aventure de Somankidi Coura – une coopérative agricole fondée au Mali, en 1977, par des travailleurs immigrés d’Afrique de l’Ouest vivant en France dans des foyers
et si vous voulez participer à cette soirée de projections proposées par la Clef Revival en soutien à l’association A4, rdv dimanche à partir de 16h30 au Doc, 26 rue du Docteur Potain, métro Télégraphes

MUSIQUE : KRAv BOCAZ et Sponty – horizons !


Documents joints

MP3 - 69.2 Mo