Agenda FPP 16 novembre

mercredi 16 novembre 2022
par  Rosa

RDV MILITANTS

À 12h30, les Gilets jaunes de Montreuil proposent leur cantine solidaire
et c’est tjr de 12h30 à 14h30 à l’AERI, au 57 Rue Etienne Marcel, à Montreuil, métro Croix de Chavaux

jusqu’à 16h, l’UNEF-Tacle de Nanterre ouvre sa permanence pour accompagner les jeunes REFUSÉ·E EN LICENCE, EN MASTER
et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle est ouverte du lundi au vendredi de 9h à 16h sur le site de la Fac de Nanterre

on en parlé dans l’agenda d’hier avc Samuel de Sud Education Paris, à 14h cet après-midi, l’intersyndicale Sud Education, CGT Educ’action, CNT education, Unsa, Snalc, Fo et SGEN-Cfdt organise un rassemblement alors que le Comité technique académique exceptionnel doit se réunir pour statuer sur la fermeture de plusieurs lycées pro à paris pour la rentrée prochaine
Courant octobre, les personnels et élèves de 7 lycées parisiens et les organisations syndicales apprenaient en effet, que la région Île-de-France envisageait en catimini la fermeture de leur établissement à la rentrée prochaine, soit : 6 lycées professionnels et 1 lycée général et technologique, et le transfert des formations vers d’autres lycées.
En tout, ce sont 700 élèves qui vont voir leur établissement fermer et leurs formations dispersées dans d’autres lycées, parfois à plus de 40 minutes de transports aller ! Le suivi pédagogique et les projets d’équipe seront défaits.
Pour les personnels titulaires et les AESH, ça sera mutation forcée, tandis qu’un plan social se dessine pour les collègues contractuel·les : enseignant·es, administratifs·ves, personnels ouvrier·es, AED.
Derrière ce projet se profile également une refonte de la carte des formations, accélérée par les projets de réforme de la voie professionnelle de Macron. Une aubaine pour l’académie, qui est avide de suppressions de postes.
Une aberration pédagogique…
Les LP Carrel, Valadon, de Gaulle et Brassaï, les annexes Charenton du LP Gautier et Fritant du LPO L. de Nehou, le LGT Brassens, sont des petites structures, de quelques centaines d’élèves. En place et lieu, la région et l’académie prévoient le déploiement d’énormes lycées, où l’anonymat annihile tout suivi individuel des élèves et rapport humain. C’est la réussite des élèves qui est donc fragilisée par ce projet !
Par ailleurs, la région Île-de-France envisageait de fermer au moins deux autres lycées à la rentrée 2024 : le lycée professionnel Monod (réparti sur trois sites) et le lycée général et technologique Rabelais. Pour ce dernier, la région se lave donc les mains de ses promesses de reconstruction suite à la fermeture du site de la porte de Clignancourt en février 2020.
Depuis cette annonce de fermetures, couplée à la réforme de la voie professionnelle, la colère gronde et la mobilisation s’organise. Le 8 novembre, plus de 400 personnes se sont rassemblées devant le siège du Conseil régional où se tenaient la réunion du Comité interacadémique de l’éducation national.
Mais, les représentant·es de la région, main dans la main avec l’académie, sont resté·es arc-bouté·es à leur projet, malgré l’opposition unanime.
C’est pourquoi, pour maintenir un rapport de force : Un rassemblement est organisé aujourd’hui encore, à 14h sur la place de la Sorbonne alors que se réunira un Comité technique académique exceptionnel sur la question des fermetures programmées.

À 14h aussi, le collectif se loger n’est pas un crime organise une conférence de presse pour réagir au projet de loi déposé par les députés de Renaissance, un projet de loi qui vise à criminaliser les squatters par nécessité et les locataires en difficulté
plus précisément, ce projet de loi qui sera discuté à l’AN à partir du 28 novembre prochain, prévoit :
– d’étendre le délit de violation du domicile d’autrui à l’occupation sans titre de locaux vacants, et de tripler les peines.
– L’occupation de logements vides donnerait lieu également à une expulsion administrative expéditive, sans jugement ,
– Les locataires en titre, dés lors qu’ils se maintiennent dans leur logement à l’issue des délais de procédure, s’exposeraient à 6 mois de prison et 7500€ d’amende
– En cas de dette de loyer, aussi minime soit elle au moment de l’audience, le juge devra automatiquement résilier le bail, sans possibilité de maintenir le locataire une fois sa dette apurée....
autrement dit, plutôt que de lutter contre la crise du logement, le logement cher, la hausse des charges , et l’augmentation continue du nombre de logements vacants, les députés de Renaissance préfèrent pénaliser lourdement les victimes : les plus fragiles. Aussi, pour alerter sur ce projet de loi, le collectif se loger n’est pas un crime organise une conférence de presse cet aprem avec des prises de parole de représentants de la Fondation Abbé Pierre, DAL, Romeurope, LDH, MDM, CGT, FSU, Solidaires, ATD Quart monde , GISTI, Utopia56, ALDA, CSP75 , ATTAC..., et si vous voulez y participer c’est à 14h au 3 rue de Romainville, métro Télégraphe ; et vous pouvez aussi la suivre en visio via :
En visio : https://call.lifesizecloud.com/5283018

à 14h encore, un Rassemblement est organisé contre la fermeture du Relais 59
Le Relais 59, coeur battant du 12e arrondissement est une structure essentielle à la vie du 12ème et de milliers de personnes de toutes les générations qui trouvent au Relais 59 un lieu d’accueil et de partage : halte-garderie, soutien scolaire, centre de loisirs, formation au numérique, écrivain public, projets culturels, cours de cuisine...
Sans le Relais 59 ce sont ces milliers d’usagers et d’usagères qui du jour au lendemain vont voir leur tissu social s’effondrer et le travail de 42 ans d’action sociale réduit à néant pour des considérations financières.
Aussi pour protester contre les menaces de fermture du relais 59, un rassemblement est organisé et c’est de 14h à 16h devant la Mairie du 12e, 130 Av. Daumesnil, métro Dugommier

Cette année, le mercredi aussi, le collectif solidarité migrants Wilson lance un appel à bénévoles en cuisine et pour la distribution de ce soir
et si vous voulez y participer, le rendez-vous est donné jusqu’à 14h pour la cuisine au Laboratoire écologique Ødéchet de Pantin qui se trouve au 20 avenue edouard Vaillant, métro 4 Chemins , et pour la distribution le rdv est donné à 18h30, au théâtre de la belle étoile qui se trouve au 14 rue Saint-Just, à Saint-Denis, RER Stade de France

à 16h, Une marche blanche aura lieu en hommage à Lola, l’adolescente assassinée le 14 octobre de manière sordide
et si vous voulez lui rendre hommage, le rdv est donné à 16h au square sur l’allée Darius-Milhaud, pour une marche en direction de la mairie du 19e arrondissement

à 16h aussi, RESF 94, le MRAP 94, la FCPE 94, le collectif ivryen de vigilance contre le racisme, le collectif Fontenay diversité, le collectif des sans-papiers de Vitry, la CGT educaction 94, et la FSU 94 organisent un rassemblement devant la préfecture de Créteil pour exiger l’ouverture des guichets, l’accès au droit et la régularisation de tous les sans-papiers
et le rdv est donné à 16h devant a préfecture de Créteil qui se trouve au 21/29 Avenue du Général de Gaulle, à Créteil, métro Créteil-Préfecture

À 19h, la Jeune Garde Paris organise une rencontre avec l’historien Jean-Paul Gautier qui proposera de revenir sur l’Histoire des antifascismes en France de 1960 à nos jours
Quinze ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’extrême droite réapparaît sur la scène politique française et ne la quittera plus jusqu’à aujourd’hui. Immédiatement, une opposition apparaît face à cette sombre renaissance, notamment à partir de la guerre d’Algérie.
Jean-Paul Gautier proposera de revenir sur l’histoire des différentes composantes et sensibilités de ces mouvements antifascistes des années 1960 à nos jours. Mais aussi sur leurs débats sur la violence, le rapport à l’État et au champ politique institutionnel. Les mobilisations de partis politiques au cours de cette longue période seront retracées, ainsi que leurs analyses souvent contradictoires sur la nature même de la menace fasciste et les moyens de la combattre. Il reviendra aussi sur la façon dont cette irruption, en particulier avec le Front national, bouscule les certitudes politiques.
De même, l’histoire des différentes associations, revues et mouvements qui ont combattu le Front national sera relatée.
Et si vous voulez revenir avec jean-Paul gautier sur l’histoire des antifascismes en France de 1960 à nos jours, rdv à 19h à la librairie la Brèche au 27 rue Taine, métro Daumesnil

à 19h aussi, le Verdragon, Maison de l’Ecologie Populaire, et la Librairie De beaux lendemains organisent une rencontre croisée avec Myriam Bahaffou et Fatima Ouassak qui reviendront, à partir de leurs ouvrages respectifs, sur ce que c’est qu’Etre écoféministe aujourd’hui
• Myriam Bahaffou publie aux éditions Le Passager clandestin « Des paillettes sur le compost ». Une autobiographie politique, joyeuse et bouillonnante, qui conjugue l’exploration sensible du quotidien et des récits décoloniaux, antispécistes, queer et magiques. Loin d’être une philosophie désincarnée, un label marketing ou un argument électoral, l’écoféminisme se révèle en prise directe avec la réalité et la chair.
• Fatima Ouassak a participé à un ouvrage collectif intitulé « Fruits de la colères, embras(s)er nos débordements », paru aux éditions Les Insolentes sous la direction de Pauline Harmange. Son chapitre « Stratégie de la colère » réhabilite la colère collective comme une manifestation politique, porteuse d’un espoir de changement, et d’aspirations à l’égalité et la dignité.
Et si vous voulez discuter avec les deux autrices d’écoféminisme, rdv à 19h à la librairie de Beaux lendemains, qui se trouve 8 allée Rosa Parks, à Bagnolet

De 20h à 22h, la fédération anarchiste propose une causerie sur la situation sociale en Iran avec Nader TEYF de « Femme, vie, liberté »
Après plusieurs semaines de lutte et de révolte des femmes et des hommes en Iran qui ont fait au bas mot au moins 200 mort-e-s, le groupe Commune de Paris de la FA a invité Nader Tyef à venir faire l’état de la situation et à répondre à une question fondamentale : révolte ou révolution ? Et dans les deux cas, quelle chance de réussite et quelle issue possible ? Quelle signification donner à la reprise du slogan « femme, vie, liberté » ?
et si vous voulez discuter de l’Iran avec Nader Tyef, de 20h à 22h, à la Librairie Publico, 145 Rue Amelot, métro Oberkampf

demain matin, à 10h, une AG intersyndicale et interdegrés des personnels en grève contre la réforme de l’enseignement professionnel est organisée à l’occasion de la journée de mobilisation nationale
et ce sera demain matin de 10h à 12h, à la Bourse du travail d’Aubervilliers, dont l’entrée se fait par le 92 Avenue Victor Hugo à Aubervilliers, métro Aimé Césaire

RDV CULTURELS

Et cet appel à candidature d’abord lancé pour les artistes montreuillois.es par la Maison des Associations et des Initiatives Citoyennes de Montreuil :à propos du Dispositif d’accompagnement d’artistes émergents du spectacle vivant de la Locomative des Arts
La Locomotive des Arts, c’est une structure montreuilloise d’accompagnement d’artistes et de projets culturels, qui propose un accompagnement gratuit aux artistes et aux compagnies de spectacle vivant de Montreuil. Ce dispositif s’adresse aux artistes et aux compagnies professionnelles ou en voie de professionnalisation de Montreuil, dans le domaine du spectacle vivant (notamment musique, danse, théâtre et arts de la marionnette) et qui souhaitent professionnaliser leur association artistique, structurer leur projet, développer leur carrière d’artiste et qui ont besoin d’aide pour avancer.
Et si vous voulez en savoir plus, rdv sur : https://lalocomotivedesarts.com/.../laccompagnement-des.../

dans le cadre de la motion "Non aux guerres, non aux impérialismes - Activons la résistance internationaliste", adoptée par la Fédération Anarchiste au 80ème congrès à Merlieux le 6 juin dernier, la librairie Publico propose toujours l’exposition « Faites de l’Art pas la Guerre » réalisée par Claude Gaisne est toujours proposée
Lors d’une réunion internationale de linguistes du monde entier, Claude Gaisne a demandé à plusieurs d’entre eux d’écrire la phrase « Faites de l’Art pas la Guerre » dans sa langue, et dans cette expo il les présente de façons variées
Et si vous voulez découvrir l’expo c’est de 13h à 19h à la librairie Publico, au 145 rue Amelot, métro Oberkampf ; elle y sera visible jusqu’au 3 décembre

à 14h30, la FGO-Barbara propose un atelier BIEN-ÊTRE DANS LES MUSIQUES ACTUELLES, un Atelier à destination des artistes et professionnelles des musiques actuelles de genre féminin & non-binaire.
Prendre du recul et du temps pour soi, se connaitre, accueillir ses émotions, poser ses limites, sont autant d’outils et moyens pour se prémunir des bouleversements psychiques que peuvent entrainer un choix de carrière dans la musique.
et si vous voulez participer à cet atelier, il faut vous inscrire via : https://actright.best/ateliers/
puis rdv de 14h30 – 18h30 à la FGO-Barbara , 1 rue Fleury métro La Chapelle

à 18h, le réseau Migreurop propose une rencontre autour de la publication du dernier Atlas des migrations publié par le réseau sous l’intitulé : "Atlas des migrations dans le monde : Libertés de circulation, frontières, inégalités"
et si vous voulez en discuter avec les contributeurices, rdv à 18h à la la Maison de l’étudiant·e (La Coupole) de l’Université Paris 8, c’est au métro St-Denis-Université

De 18h à 22h30, l’AERI propose son atelier hebdomadaire Artivisme contre la propagande publicitaire
Et si vous voulez y participer, c’est au 57 Rue Étienne Marcel, Montreuil, Métro Croix de Chavaux

à 18h30, la Médiathèque Françoise-Sagan organise une rencontre avec Jean-François Draperi, autour de Ruses de riches - Pourquoi les riches veulent maintenant aider les pauvres et sauver le monde (Payot)
Après le capitalisme commercial au XVIe siècle, le capitalisme industriel au XIXe et le capitalisme financier à la fin du XXe siècle, voici le capitalisme philanthropique qui, tout en se disant humaniste, applique les stratégies du capitalisme financier à la pauvreté, l’éducation, le social, le sport… bref, à tous ces liens qui fondent une société.
Pourquoi ceux qui ont le plus contribué à casser l’économie réelle sont-ils ceux qui, quelques années plus tard, prétendent résoudre la question sociale ? Parce qu’ils estiment que le marché de la pauvreté représente entre 5 000 et 13 000 milliards de dollars par an, soit plusieurs dizaines de fois le marché du luxe.
Les grandes entreprises et leurs fondations, les fonds d’investissement, les start-ups sociales, mais aussi des États et des associations internationales élaborent un hold-up sur le marché de la pauvreté – détournant le sens de mots tels émancipation, environnement, écosystème, coopération, intérêt général - et s’allient pour augmenter leur pouvoir au risque d’accroître toujours plus les inégalités et tuer le lien social.
Et si vous voulez en discuter avec Jean-François DRAPERI, fondateur et ancien directeur du Centre d’économie sociale Travail et société, rdv à 18h30, à la Médiathèque Françoise-Sagan, c’est au 8 Rue Léon Schwartzenberg, métro Poissonières

à 18h30, le Musée de l’Histoire de l’Immigration propose la projection du film expérimental Soleil Ô, réalisé en 1970 par Med Hondo
Dans ce film expérimental où les acteurs sont bénévoles, Med Hondo met en scène un immigré africain en quête de travail, qui découvre les aspérités de la « Douce France », le racisme de ses collègues, le désintérêt des syndicats et l’indifférence des dignitaires africains qui vivent à Paris. Un cri de révolte contre toutes les formes d’oppression, la colonisation et toutes ses séquelles politiques, économiques et sociales ainsi qu’une violente dénonciation des fantoches installés au pouvoir dans beaucoup de pays d’Afrique par la bourgeoisie française.
Et si vous voulez voir ou revoir ce film, rdv à 18h30 dans l’auditorium du Musée de l’Histoire de l’Immigration, métro Porte Dorée

à 18h30, l’Iremmo - Institut de Recherche et d’Études Méditerranée Moyen-Orient organise une rencontre avec l’équipe de la revue Mondes Arabes, pour son Lancement
Mondes arabes est la nouvelle formule d’une #revue à l’histoire longue : avec un nouveau nom, une nouvelle équipe éditoriale et un nouvel éditeur, elle conserve l’ambition d’explorer et d’#analyser une région de manière à produire un savoir #scientifique rigoureux et hors des sentiers battus.
Et si vous voulez discuter de cette nouvelle revue avec la La rédactrice en chef, Manon-Nour Tannous, et plusieurs auteur.e.s dont Youssef El Chazli, de l’université Paris 8 ; Choukri Hmed, de l’université Paris-Dauphine PSL et Dima Alsajdeya, du Collège de France, rdv à 18h30-20h30, À l’iReMMO au 7 rue des Carmes, métro maubert-Mutualité, ou en ligne via : https://www.helloasso.com/.../comprendre-les...

à 19h, La Recyclerie et l’Alliance Santé Planétaire organisent une rencontre avec Marie-Monique Robin, Bruno Lhoste et Denis Lemasson à l’occasion de la publication française de « Santé planétaire », aux éditions Rue de l’échiquier
Discipline émergente portée par l’université de Harvard, la santé planétaire vise à comprendre comment l’accélération des dégradations des systèmes naturels menace notre santé, mais aussi comment soigner les humains et le reste de la biosphère.
Cette approche se veut interdisciplinaire pour mieux analyser les nombreux impacts de l’Anthropocène sur la santé notamment en matière d’alimentation et de nutrition d’infections de maladies non transmissibles ou de santé mentale. C’est également un outil pour aligner l’ensemble des actions humaines sur la nécessité de prendre soin du vivant, et mettre des stratégies en place en ce sens : contrôler les expositions aux substances toxiques, investir dans les énergies propres, améliorer le design urbain…
et si vous voulez en discuter avec :
• Marie-Monique Robin, journaliste et documentariste, autrice et réalisatrice de La Fabrique des Pandémies
• Bruno Lhoste, président du bureau d’études et d’ingénierie Inddigo et directeur de la collection « Initial(e)s DD » aux éditions Rue de l’échiquier
• Denis Lemasson, médecin généraliste et membre de l’Alliance Santé Planétaire
rdv à 19h à la Recyclerie, c’est au 83 bvd d’Ornano, métro porte de Clignancourt

à 19h aussi, La Flèche d’Or, Alter Natives et Les Éditions Marchialy organisent une Rencontre sur les "Objets sensibles : L’Histoire Coloniale et les musées français" autour de Taina Tervonen (Les Otages, Marchialy, 2022), les membres de l’association Alter-Natives, et Lise Mész (conseillère historique des collections du quai Branly)
et si vous voulez participer à cette rencontre, rdv à 19h à la Flèche d’Or, 102 bis, rue de Bagnolet, Métro Porte de Bagnolet

à 19h, Le Mouvement Utopia, coopérative citoyenne d’éducation populaire, organise une Rencontre avec Michel Lepesant et Thierry Brulavoine, tous deux membres de la Maison commune de la décroissance et co-auteurs du livre La décroissance et ses déclinaisons, paru aux éditions Utopia.
Et si vous voulez discuter décroissance avec Michel Lepesant qui est le fondateur de la Maison commune de la décroissance, et Thierry Brulavoine qui la préside, rvd à 19h à la Librairie Utopia, 1 Rue Frédéric Sauton, métro maubert Mutualité
Possibilité de suivre la rencontre via Zoom
ID de réunion : 884 8980 0490
Code : 316953

à 19h – la librairie Michelle Firk organise une rencontre-Présentation du numéro 11 de la revue Echelle Inconnue, un numéro intitulé : « Écrire sur les ruines du futur »
Les métropoles se construisent aujourd’hui autant avec des parpaings et du béton qu’avec des mots et des images. Les récits prolifèrent : projets, célébration et culture comme soutien du régime d’action de la gouvernance métropolitaine, résilience, marketing territorial, labels, communication politique, prospectives et perspectives narratives, futurologie, science-fiction… Voilà peut-être une raison suffisante de faire encore de l’art, à l’heure du bruit constant des récits marketing qui font et défont nos vies. C’est pourquoi, Echelle Inconnue a décidé de veiller sur vos futurs…
Emmené par l’architecte Stany Cambot, Echelle Inconnue réclame une autre manière de penser et faire la ville. Et si vous voulez discuter de ce numéro 11, rdv à 19h à la librairie Michele Firk, 9 rue François debergue, à Montreuil, métro croix de Chavaux

à 19h30, Le Monte-en-l’air organise une rencontre avec Martin Lamotte / Au-delà du crime. Ethnographie d’un gang transnational / CNRS éditions
Originaires des prisons de Porto Rico, les Ñetas se sont développés sur la côte est des États-Unis à partir de la fin des années 1980. À l’heure de la " guerre contre la drogue ", ils sont l’un des principaux gangs de New York, impliqués dans les conflits de territoire qui déchirent la ville. Le groupe s’étend ensuite, au tournant des années 2000, en Amérique Latine et en Europe. Dans le même temps, au risque de divisions intestines, La Asociación (comme l’appellent aussi ses membres) entreprend une " pacification " interne pour se concevoir avant tout comme un mouvement de lutte œuvrant pour l’amélioration du sort des opprimés.
Partagée entre New York, Guayaquil et Barcelone, cette enquête interroge la manière dont un tel collectif se construit et se transforme. Par-delà l’imaginaire cinématographique, télévisuel ou musical attaché aux gangs, elle met en lumière son fonctionnement au quotidien : sa structuration, les rapports de pouvoir et les tensions qui le traversent, ses lois et rituels propres, ses différentes façons de s’ancrer dans l’espace ou de dire son histoire, ses ambitions spirituelles, sociales et politiques, son rapport à l’écrit ou à la violence.
En retraçant le parcours de ses membres, en revenant sur la relation qui se tisse entre l’anthropologue et les Ñetas, cette ethnographie vivante et sensible interroge ce qu’est un gang au-delà du crime ; elle montre les ressources qu’il peut offrir à une population bloquée dans les marges d’un capitalisme prédateur.
Et si vous voulez en discuter avec Martin lamotte, rdv à 19h30 au Monte-en-L’Air, c’est au 71 rue de ménilmontant, métro ménilmontant

à partir de 19h30 aussi, les Mains d’Œuvres, La Station - Gare des Mines et ArtLab organisent, dans le cadre de la clôture du programme triennal Artlab autour de l’inclusion numérique, une soirée dédiée aux documentaires sonores et filmiques autour de la thématique : amour, sexualité et handicap.
Avec au programme : la projection du documentaire « Une bosse dans le cœur » réalisé par Noé Reutenauer, en présence du réalisateur et du protagoniste principal Kirill Patou ; suivi de la Diffusion d’une sélection de documentaires et fictions sonores soutenus par l’atelier de création sonore radiophonique de Belgique ; et la Projection du documentaire « Because of My Body », réalisé par Francesco Cannavà qui filme Claudia, 21 ans, atteinte d’un spina-bifida, une malformation congénitale de la colonne vertébrale qui la rend dépendante de sa mère pour le moindre de ses déplacements. Elle rencontre marco, membre de l’association Love Giver, qui va alors l’accompagner dans la quête de son identité sexuelle et l’exploration de son corps.
Et si vous voulez participer à cette soirée dédiée aux documentaires sonores et filmiques autour de l’ amour, sexualité et handicap, rdv à partir de 19h30 aux Mains d’Oeuvres, c’est au 1 rue Charles Garnier, à St-Ouen, métro Garibaldi

alors que la librairie Quilombo fête ses 20 ans, plusieurs rencontres sont organisées aujourd’hui
• à 19h30 : Quilombo propose une rencontre-débat sur La littérature, comme nouveau produit du capitalisme ? Avec Hélène Ling, co-auteure de Le Fétiche et la plume. la littérature, nouveau produit du capitalisme qui parlera de la Concentration éditoriale, dépréciation symbolique de l’écrivain, formatage commercial de la notion de style, redéfinition horizontale du rapport à la lecture, emprise inquiétante des réseaux sociaux sur la critique...
• et à 21h : il y aura une rencontre sur la Défense de la littérature avec Alain Berset (Héros-Limite), Valérie Millet (Le Sonneur) et Antonin Bihr (Le Dilettante), Quelques rares maisons d’édition qui résistent aux sirènes du néolibéralisme et du marketing.
Et si vous voulez participer à ces rencontres , rdv à 19h30 et/ou à 21h ce soir à la Librairie Quilombo : 23 rue Voltaire, métro Rue des boulets ou Nation

à 20h, l’assoc Culture et Liberté organise une rencontre autour de l’Éducation Populaire à l’occasion de la parution de 2 ouvrages sur la question : « C’est pas dire qu’il faut faire. Chemins de culture et d’éducation populaire », Alain Manac’h. Ed. L’Harmattan ; et « L’éducation populaire, un phénix toujours renaissant », Paul Masson paru aux Ed. du Petit Pavé
Et si vous voulez discuter de ces ouvrages sur l’éducation populaire avce leurs auteurs, rdv à 20h, au Théâtre Le vent se lève, 181b Avenue Jean Jaurès, métro Ourcq

à partir d’aujourd’hui, s’ouvre la 26ème édition du Festival Les Ecrans Documentaires, avec au programme ce soir : trois films en avant-première qui proposent une Mémoire des lieux à New-York avec Dreaming walls
d’Amélie Van Elmbt et Maya Duverdier, une chronique adolescente dans le Moscou des années 2000 avec How to Save a Dead Friend de Marusya Syroechkovskaya, et des paroles anonymes à la frontière franco-italienne dans les Alpes avec Ceux de la nuit de Sarah Leonor

et si vous voulez assister à ces projections proposées pour l’ouverture de la 26ème édition du Festival les écrans documentaires, rdv à 20h ce soir à l’Espace municipal Jean Vilar, c’es au 1 rue Paul Signac à Arceuil
et pour retrouver le programme complet du festival qui court jusqu’au 22 novembre , rdv sur : https://lesecransdocumentaires.org/

à 20h30, le Cinéma l’ECRAN propose une projection spéciale du film JUSTE UNE NUIT, suivie d’une RENCONTRE AVEC LE RÉALISATEUR, Ali Asgari
Fereshteh, jeune étudiante, vit seule à Téhéran avec son bébé. Lorsque ses parents, qui ignorent sa situation, lui annoncent leur venue imminente, Fereshteh n’a que très peu de temps pour trouver à qui confier sa fille. Accompagnée de sa fidèle amie Atefeh, venue la soutenir, elle n’essuie que refus et désistements. Personne ne veut prendre cette responsabilité. Même juste pour une nuit... À travers une course effrénée dans tout Téhéran, chaque souffle, chaque espoir ou déception du personnage bouleverse et raconte la condition des femmes en Iran. Ali Asgari livre un témoignage bouleversant.
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec son réalisateur, rdv à 20h30 au ciné l’Ecran, c’est au 14 passage de l’Aqueduc à Saint-Denis, à la sortie du métro Basilique

MUSIQUE : nouveauté Fatoumata Diawara - Nsera feat. Damon Albarn