Agenda FPP 27 octobre

jeudi 27 octobre 2022
par  Rosa

avec Imene de BDS France région parisienne pour parler de la projection-débat organisée ce soir au CICP, autour du film "Yallah, Yallah", suivie d’une discussion avec le co-réalisateur, Cristian Pirovano, et des membres du FC Ménilmontant pour discuter à l’issue de la projection
rdv à 19h au CICP, 21t Rue Voltaire, métro Rue des Boulets ou Nation

RDV MILITANTS

et on commence avec ce communiqué publié hier par le média GJ cerveaux non disponible au sujet de la repression en Guyane : LE YOPPOTO (CHEF COUTUMIER) SJABERE ARRÊTÉ ET PLACÉ EN GARDE À VUE PAR L’ÉTAT COLONIAL FRANÇAIS
15 fourgons de gendarmerie ont été déployés pour réprimer le chef coutumier, Roland Sjabere ainsi que 3 autres villageois qui ont été violemment interpellés à 6h du matin, hier, dans le village autochtone de Prospérité, peuplé par la communauté Kali’na. Ils ont par la suite été placés en garde à vue à Saint-Laurent du Maroni et depuis relâchés.
Les organisations autochtones dénoncent le caractère ultra-répressif de ces arrestations.
Les faits reprochés ? Une participation supposée à des dégradations du matériel de construction destiné à la future Centrale Électrique de l’Ouest Guyane (CEOG).
Depuis 2019, les populations locales se soulèvent contre ce projet : en cause, l’installation de cette centrale à 830 mètres des premières habitations de Prospérité.
Pour comprendre brièvement de quoi ce combat est le nom, c’est la proximité de cette centrale avec le village qui pose problème.
Cet espace est convoité par les habitants de Prospérité qui considèrent que par cette décision, le foncier ne lui revient pas de droit, il s’agit bel et bien d’un accaparement des terres.
Cela fait 30 ans que les villageois demandent un des « zones de droit d’usage collectif » dont fait partie les 198 hectares exploités par la future centrale de HDF qui doit voir le jour en 2024.
Un projet alternatif conséquent a été proposé à plusieurs reprises par les habitants de Prospérité.
De plus, les liens avec l’industrie minière qui commet des ravages écologiques posent problème.
Les villageois demandent de déplacer la construction de cette centrale, mais ne semblent pas pour autant renier son utilité et le fait qu’elle devrait alimenter des milliers de personnes en électricité. C’est avant tout sa localisation qui pose problème, et la facilité de l’obtention d’un terrain
CND rappelle que le le Grand conseil coutumier des populations amérindiennes et bushinenges (GCCPAB) n’a pas été consulté.
Est-ce une surprise sachant que la France, pays de droits de l’homme, n’a jamais ratifié la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones adoptée par l’ONU depuis 2007.
Pour finir, CND rappelle que parallèlement, la Guyane fait face, actuellement à plusieurs attaques de projets de centrales énergétiques démesurés, le plus souvent au péril de l’environnement, en plus d’offensives de l’industrie minière comme le projet de la « Montagne d’Or ».

avant-hier un squat s’est ouvert au 96bis rue de Vincennes à Montreuil !
Et il y a besoin de monde pour soutenir au cas où la police passe et un huissier doit passer dans la journée : alors rdv au 96 bis rue de Vincennes à Montreuil, c’est au métro Robespierre

La Fasti (association de solidarité avec tou.te.s les immigre.e.s, asso anticapitaliste-feministe-antiraciste) recherche des bénévoles pour aider a tenir des permanences juridiques deux fois par semaine le mardi et le jeudi apres midi.
Pour cela, Pas besoin d’etre juriste ou expert.e en droit des etranger.es, une autoformation est prévue. Et si vous êtes intéréssé.e.s, vou pouvez appeler le 07.67.43.70.59

du lundi au vendredi de 10h à 13h, la LDH ouvre sa permanence juridique téléphonique
Le service juridique de la LDH intervient dans tous les cas individuels et collectifs où les libertés publiques sont en cause. Il assure un rôle d’information et est susceptible d’interpeller les autorités publiques dans diverses situations révélatrices de pratiques illégales ou qui portent atteinte aux droits des individus.
Vous pouvez saisir la LDH du lundi au vendredi, de 10h à 13h en appelant le : 01 56 55 50 10.
vous pouvez aussi saisir la LDH par voie postale à l’adresse suivante :Ligue des droits de l’Homme Service juridique ; 138, rue Marcadet 75018 Paris

jusqu’à 16h, l’UNEF-Tacle de Nanterre ouvre sa permanence pour accompagner les jeunes REFUSÉ·E EN LICENCE, EN MASTER
et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle est ouverte du lundi au vendredi de 9h à 16h sur le site de la Fac de Nanterre

à 13h, après une première victoire pour les grévistes sans papiers de RSI, une nouvelle manifestation pour demander la régularisation des occupants des piquets de grève de DPD et Chronopost est organisée
Et si vous voulez les soutenir, le rdv est donné à 13h devant la mairie d’Évry, pour une manif en direction de la préfecture du 91

la CGT IDF appelle à une Manifestation pour l’augmentation des salaires, pour les retraites et pour garantir le droit de grève
et le rdv est donné à 14h, à Montparnasse

après la manif, Attac propose son Aperattac, l’apéro pour les mouvements sociaux !
Un moment pour se rencontrer en dehors des actions, manif et autres débats organisés
et si vous voulez participer à l’aperattac, rdv à 18h30 au CICP, 21t Rue Voltaire, métro rue des boulets ou nation

à partir de 18h30, l’Union syndicale Solidaires organise une Soirée : Convoi syndical international de retour d’Ukraine
Avec au porgramme : des Retours d’expériences des convois réalisés, informations sur l’utilisation des dons, informations sur la situation sur place et débats autour de la solidarité... avec les participant·es français·es et internationaux et des camarades d’Ukraine.
Et si vous voulez y participer, rdv à partir de 1_h30 dans le local de Solidaires à Paris, 31, rue de la Grange aux Belles, métro Colonel Fabien, ou via zoom pour ceux et celles qui ne peuvent pas se déplacer, en vous inscrivant au préalable à ukraine@solidaires.org

À 18h30, une réunion-débat est organisée en visio-conférence avec l’historienne Stefanie Prezioso qui reviendra sur l’Italie après la victoire de Giorgia Meloni
Après la victoire aux élections du 25 septembre des droites dures en coalition avec l’extrême droite de Giorgia Meloni, Fratelli d’Italia, la « possibilité du fascisme » devient une réalité. Aujourd’hui, c’est l’Italie mais ce risque guette l’Europe ailleurs !
Comment cette victoire de l’extrême droite a-t-elle été possible en Italie ?
Quelles seront les marges de manœuvre de Meloni et de ses alliés ?
Quelles leçons en tirer ?
C’est à ces questions que tentera de répondre l’Historienne Stéfanie Prezioso, et si vous voulez en discuter avce elle en ligne, rdv à 18h30 sur :
https://us02web.zoom.us/j/84434755032?pwd=YVBNci8vd0ZYQTZML2t4eTFLbGE0QT09
ID de réunion : 844 3475 5032 - Code secret : 745448

à 18h30 à Montreuil, le squat anarcha-féministe de la Baudrière organise son AG hebdo !
Et si vous voulez y participer, rdv à 18h30 au 65bis rue Voltaire à Montreuil, métro Robespierre ; et pour suivre les actu du squat, rdv sur le blog : https://labaudriere.noblogs.org/

à 18h30 aussi, le Collectif Intersexe Activiste propose une réunion en ligne sur l’intersexuation
L’intersexuation désigne l’expérience des personnes dont les caractéristiques sexuelles innées (primaire et/ou secondaire) ne correspondent pas aux normes du féminin ou du masculin.
Le Syndrome des Ovaires Polykystiques (ou Stein-Leventhal) peut provoquer l’apparition de traits intersexes ou des variations génitales.
Dans cette conversation entre personnes concernées uniquement, le collectif propose d’échanger sur les relations entre ce syndrome et intersexuation et si vous voulez y participer, rdv à 18h30 sur : https://us02web.zoom.us/j/82452839481?fbclid=IwAR2vqCilHv3yfE80EXeqrBHV0mSSEUBcClvzYD_n2MSVYwxy-f22umpnk4E

à 19h encore, le squat du malaqueen propose son AG hebdomadaire pour organiser la lutte contre son expulsion
depuis le 22 août dernier en effet, Le centre social autogéré Malaqueen et ses habitant·es sont expulsables. Ce lieu, construit collectivement depuis un an à Malakoff, permet l’hébergement d’une quarantaine de personnes précaires, et, par les nombreuses activités qu’il héberge, il participe à la vie culturelle et à la vie de quartier.
Il propose des espaces non-marchands, de sociabilité, d’organisation collective et de libre échange de savoirs et de ressources permettant de lutter contre l’isolement, la précarité, les projets immobiliers inutiles, l’exclusion, le tri administratif, la précarité alimentaire et le gaspillage.
Et si vous voulez soutenir le Malaqueen, rdv à 19h pour l’AG, c’est au 70 rue de Galiéni, à Malakoff, métro Etienne Dolet
et vous pouvez aussi signer la pétition : tinyurl.com/MALAQN

RDV CULTURELS
la Librairie Publico accueille toujours deux expos Photographiques "Parloir sauvage au CRA de Rennes" et "Dublin sur le papier" d’Anthony Rouxel, Karim et Mahjou
Anthony Rouxel est un photographe militant qui participe pleinement aux actions (manifestations, ZAD,... ) qu’il photographie. Ainsi pour la première exposition "Parloir sauvage au CRA de Rennes " il a participé dans le cadre de l’appel transnational du 07 mai 2016 à une manifestation au Centre de Rétention Administrative de Rennes où il a photographié le parloir sauvage qui s’y improvise.
Pour la seconde "Dublin sur le papier", il participe le 7, 8 et 9 Avril 2018 à " la Marche de soutien aux migrants Brest, Chateaulin, Douarnenez, Quimper contre le règlement de Dublin" il la photographie lui même mais s’y ajoutent les photographies faites par Karim et Mahjoub, deux sans-papiers participant à cette marque.
Et si vous voulez découvrir ces expos, rdv du mardi au vendredi de 13h à 19h30, à la librairie Publico c’est au 145 rue Amelot, métro Oberkampf

l’association Rikochets propose toujours l’exposition DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR
une expo collective qui réunit les travaux de 28 artistes issus du milieu graffiti / art de rue, avec notamment Itvan kebadian et Veneno du collectif Black Lines dont on peut apprécier les banderoles dans les manif GJ
si vous voulez découvrir cette expo, rdv à l’Espace Maison Blanche, 2 avenue saint-exupéry à Châtillon, métro Châtillon-Montrouge, l’expo y sera visible jusqu’au 5 novembre

à 18h, le Séminaire de l’Association de recherche sur l’image photographique reprend avec pour thématique cette année : le rapport de l’esthétique et de la photographie aux fascismes
Dans son essai de 1936 L’Œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique, aujourd’hui abondamment diffusé, Walter Benjamin écrivait que « la conséquence logique du fascisme est une esthétisation de la vie politique ». Quatre ans plus tard, traqué par le pouvoir qu’il dénonçait, il se suicidait à Portbou dans les Pyrénées espagnoles. Si les œuvres esthétiques de Benjamin sont régulièrement commentées, elles sont plus rarement lues aux côtés d’autres textes engagés de l’auteur, ou remis dans le contexte de la vie d’intellectuel antifasciste qu’il menait, et des œuvres et théories qui la nourrissaient. Face à la montée du nazisme en Allemagne, du fascisme en Italie et de la réaction dans toute l’Europe, un certain nombre d’intellectuels et d’artistes font en effet le choix de ne pas abandonner la réflexion sur l’esthétique et entendent articuler la nécessité d’une théorie de l’art et d’une lutte politique. De là naîtront certains des plus grands efforts de pensée systématique de l’art du siècle dernier, comme la Théorie esthétique d’Adorno (1969) ou la grande Esthétique de Georg Lukács (1961).
Pendant une grande partie du XXe siècle, artistes et penseurs ressentent la nécessité de se positionner par rapport aux pouvoirs en place, et particulièrement aux courants autoritaires qui façonnent tragiquement leurs existences. Donner une définition de ce qu’ils résument sous le nom de « fascisme » reste souvent malaisé, même si des auteurs comme Zeev Sternhell ou plus récemment Ugo Palheta permettent d’en approcher les grands traits, comme idéologie, comme mouvement et comme régime, portant des projets politiques de « régénération » d’une communauté imaginaire, de révolte réactionnaire, de perpétuation d’un ordre social inégalitaire.
Un certain nombre de philosophes de l’art prennent donc à bras le corps cette dimension de la vie sociale, non seulement dans la culture germanique que partagent Walter Benjamin, Siegfried Kracauer, Theodor Adorno ou le hongrois Georg Lukács qui inspire une partie de leur démarche, mais aussi en France où des personnalités comme Guy Debord, Jean-Paul Sartre ou Henri Lefebvre œuvrent à la critique de la reviviscence de l’idéologie fasciste sans abandonner la réflexion sur l’esthétique et les images. Les projets fascistes ont cependant aussi leurs supporters, comme Heidegger, Marinetti ou Leni Riefenstahl.
Ce séminaire voudrait interroger quelques-uns de ces moments en pensant leurs déterminations historiques ainsi que la généalogie que l’on peut tisser autour d’elles : dans quelles corpus théoriques et pratiques puisent-elles ? Quels héritages ont-elles connues à la fin du XXe siècle et au début du siècle suivant ? à travers ces parcours, il s’agira d’ouvrir la voie à la compréhension du rôle qu’a joué la critique du fascisme dans l’approche esthétique contemporaine, ainsi qu’à la solidification d’un savoir sur la place que peuvent tenir les œuvres et leurs commentateurs dans la lutte contre la réaction, l’autoritarisme et les renouveaux impérialistes.
Et pour cette prémière séance du séminaire, Eva Verkest parlera de la confrontation et mobilisation des images photographiques dans l’Espagne des années 1930, et si vous voulez y participer, rdv à 18h salle Jullian de l’INHA, c’est au 2 rue Vivienne, métro Bourse

à 19h, la Librairie Petite Égypte organise une renconre avec Estelle Benazet et Cindy Coutant, traductrices et co-éditrices du livre "Exterminer les fœtus : avortement, désarmement, sexo-sémiotique de l’extraterrestre" de Zoë Sofia ; un essai écrit en 1984 et publié aux éditions l4bouche & Excès.
Écrit dans le contexte réactionnaire étasunien de 1984, "Exterminer les fœtus" pose une question urgente : comment un État peut-il soutenir une position “pro-vie” tout en détenant des armes de destruction massive ? Pourquoi ces deux enjeux affichent-ils rhétoriquement une raison commune paradoxale, celle de défendre la vie ?
Premier texte académique de la chercheuse Zoë Sofoulis (publié sous le pseudonyme Zoë Sofia), "Exterminer les fœtus" est une œuvre scientifique illustrée drôle, excessive, et cruellement actuelle.
L’ouvrage réunit la traduction française de l’article éponyme de Zoë Sofoulis, un entretien inédit avec la chercheuse, la documentation de Jupiter Space, exposition issue du travail de traduction par le duo l4bouche, et un essai de Jacopo Rasmi.
Et si vous voulez en discuter avec estelle benazet et Ciny Coutant qui ont assuré la traduction française, rdv à 19h à la librairie petite Égypte, c’est au 35 rue des petits carreaux, métro Sentier

à 19h30, La Friche librairie organise une rencontre avec Sebastian Castellier et Quentin Muller, autour de leur ouvrage "Les Esclaves de l’homme pétrole : Coupe du monde 2022 au Qatar : la face cachée d’un esclavage contemporain" paru aux éditions Marchialy.
Un esclavage contemporain est en cours pour préparer notre plus grand divertissement : la Coupe du monde de football.
Comment le Qatar s’est-il hissé au rang de puissance internationale au point d’accueillir l’un des plus grands événements sportifs au monde ? Grâce à l’or noir et au gaz naturel, mais aussi en exploitant des millions de travailleurs venus pour majorité d’Asie et d’Afrique. Une main-d’oeuvre prise dans l’étau des réseaux migratoires, de la corruption de leur propre pays et de la toute-puissance des États du Golfe qui profitent ainsi d’un vaste système d’esclavage contemporain. La construction des stades de la Coupe du monde 2022 n’est que la face visible de l’iceberg : l’économie entière de ces pays repose sur le travail d’une masse silencieuse et anonyme.
Sebastian Castelier et Quentin Müller ont parcouru la péninsule Arabique ainsi que les pays de départ des migrants pour recueillir la parole de travailleurs et de leur famille, mais aussi celle de diplomates, d’hommes d’affaires, de politiciens, de médecins. Ils laissent toute la place aux témoignages pour mieux comprendre un système.
Et si vous voulez en discuter avec Sebastian Castelier et Quentin Müller, rdv à 19h30 à la librairie la Friche, c’est au 36 rue Léon Frot, métro charonne

à 19h30 aussi, Le Monte-en-l’air en partenariat avec En attendant Nadeau organise une Rencontre avec Jean-Jacques Greif, traducteur du livre de Charles Dickens De Grandes Espérances, publié aux éditions Tristram.
Et si vous voulez discuter avec lui de la traduction de ce roman de Dickens qui met en scène Pip, un Orphelin, élevé à la dure et voué à devenir forgeron, rdv à 19h30 au Monte-en-l’Air, 71 rue de Ménilmontant, métro Ménilmontant

dans le cadre du festival DocLisboa consacrée à la question coloniale, le Cinéma Saint-André-des-Arts propose à 20h, la projection de CROSSING VOICES de Raphael Grisey et Bouba Tour
À partir d’archives rares, l’aventure exemplaire de Somankidi Coura – coopérative agricole fondée au Mali, en 1977, par des travailleurs immigrés d’Afrique de l’Ouest vivant en France dans des foyers – met en lumière les violences de l’agriculture coloniale et les enjeux écologiques sur le continent Africain aujourd’hui.
Et si vous voulez découvrir ce film, rdv à 20h au ciné St-André-des-Arts, au 30 de la rue St-André-des-Arts, métro st-Michel

à 20h, le Mouvement Alternative non-violente propose une Soirée-débat autour du film "Tous au Larzac" de Christian Rouaud
La lutte des paysans du Larzac est un exemple de lutte non-violente emblématique et exemplaire qui a duré 10 ans et qui a été gagnée. Et si vous voulez découvrir le film que Christian Rouaud, a consacré à cette lutte, rdv ce soir à 20h aux marmites volantes qui se trouvent, 47 avenue de pasteur, à Montreuil, métro mairie de Montreuil

À 20h30, l’Espace Saint-Michel propose la projo en avant-première du film LE MONDE DE KALEB, en présence du réalisateur Vasken Toranian.
Dans le monde du jeune Kaleb, il y a sa mère sans papiers Betty, son grand frère de substitution Mehdi, et surtout Jean-Luc, le tailleur solitaire qui s’est pris d’affection pour ce petit garçon. Dans la foule des anonymes de Paris, ils n’auraient jamais dû se croiser. Le destin les a pourtant rassemblés pour former une famille improvisée, liée par la mission de construire un futur à Kaleb.
Et si vous voulez découvrir ce film en avant-première et en discuter avec son réalisateur vasken Toranian, rdv à 20h30 à l’Espace-Saint Michel, 7 Pl. Saint-Michel, métro St-Michel

musique SHADIA MANSOUR Ft M1 (DEAD PREZ)-AL KUFIYYEH 3ARABEYYEH