Agenda FPP 24 octobre

lundi 24 octobre 2022
par  Rosa

RDV MILITANTS

La Fasti (association de solidarité avec tou.te.s les immigre.e.s, asso anticapitaliste-feministe-antiraciste) recherche des bénévoles pour aider a tenir des permanences juridiques deux fois par semaine le mardi et le jeudi apres midi.
Pour cela, Pas besoin d’être juriste ou expert.e en droit des etranger.es, une autoformation est prévue. Et si vous êtes intéréssé.e.s, vous pouvez appeler le 07.67.43.70.59

depuis le 22 août dernier, Le centre social autogéré Malaqueen et ses habitant·es sont expulsables
Ce lieu, construit collectivement depuis un an à Malakoff, permet l’hébergement d’une quarantaine de personnes précaires, et, par les nombreuses activités qu’il héberge, il participe à la vie culturelle et à la vie de quartier.
Il propose des espaces non-marchands, de sociabilité, d’organisation collective et de libre échange de savoirs et de ressources permettant de lutter contre l’isolement, la précarité, les projets immobiliers inutiles, l’exclusion, le tri administratif, la précarité alimentaire et le gaspillage.
Malgré l’appel qui a été déposé, le squat est expulsable, depuis le 22 août dernier et jusqu’à l’audience. Et si vous voulez les soutenir d’ici la, vous pouvez aller sur place, c’est au 70 rue de Galiéni, à Malakoff, métro Etienne Dolet
et vous pouvez tjr signer la pétition de soutien : tinyurl.com/MALAQN

du lundi au vendredi de 10h à 13h, la LDH ouvre sa permanence juridique téléphonique
Le service juridique de la LDH intervient dans tous les cas individuels et collectifs où les libertés publiques sont en cause. Il assure un rôle d’information et est susceptible d’interpeller les autorités publiques dans diverses situations révélatrices de pratiques illégales ou qui portent atteinte aux droits des individus.
Vous pouvez saisir la LDH du lundi au vendredi, de 10h à 13h en appelant le : 01 56 55 50 10.
vous pouvez aussi saisir la LDH par voie postale à l’adresse suivante :Ligue des droits de l’Homme Service juridique ; 138, rue Marcadet 75018 Paris

jusqu’à 16h, l’UNEF-Tacle de Nanterre ouvre sa permanence pour accompagner les jeunes REFUSÉ·E EN LICENCE, EN MASTER
et si vous voulez vous rendre à la permanence, elle est ouverte du lundi au vendredi de 9h à 16h sur le site de la Fac de Nanterre

de 13h à 17h, le syndicat sud commerces et services Francilien-Solidaires ouvre sa permanence juridique hebdomadaire pour aider les travailleuses et travailleurs à faire face aux problèmes qu’ielles rencontrent sur leur lieu de travail
et si vous voulez vous rendre à la permanence, c’est ouverte de 13h à 17h au 7 rue Vicq d’Azir, métro colonel fabien

de 14h à 17h, c’est la Permanence syndicale de la CNT Région parisienne qui sera ouverte
et si vous voulez vous y rendre, c’est ouvert de 14h à 17h au 33 rue des vignoles, métro Avron ou Buzenval

à partir d’aujourd’hui, et demain toute la journée, la Plateforme SHS Santé du CNRS : organise un colloque sur les Risques, crises et sciences humaines et sociales : vers des observatoires inclusifs santé-environnement-travail
Les enjeux liés aux bouleversements climatiques et environnementaux qui touchent la planète, sont aujourd’hui l’objet d’un investissement croissant d’un ensemble de champs scientifiques, aussi bien pour produire des diagnostics, prédire des changements futurs qu’élaborer des solutions techniques et politiques de différents ordres. Parmi ces enjeux, les liens entre santé et environnement tiennent une place importante dans un contexte de crises multiples (écologique, économique, sociale ou politique). En effet, l’accumulation dans les environnements de vie et de travail de nombreux polluants, l’urbanisation croissante de la planète, les bouleversements climatiques, les dégradations de la qualité des sols, l’accumulation des déchets, parmi d’autres enjeux, sont à l’origine d’impacts sanitaires majeurs.
Pour relever ces défis, souvent complexes, les demandes sont surtout adressées aux sciences dites exactes ou naturelles. Ce colloque vise à interroger quels peuvent être les rôles des sciences humaines et sociales de façon autonome ou en lien avec d’autres disciplines et à dresser des perspectives de recherche pour mieux appréhender ces enjeux, mieux mesurer les impacts des transformations environnementales et climatiques sur les sociétés et mieux définir quelles politiques pourraient être engagées. Les risques sanitaires environnementaux qui impactent nos sociétés doivent en effet faire l’objet de nouveaux modes d’interrogations pour prendre en compte certaines de leurs spécificités comme leur faible visibilité sociale, les inégalités qu’ils génèrent, perpétuent et renforcent ou les difficultés liées à leur objectivation scientifique. Les sciences humaines et sociales ont ainsi sinon à se réinventer, en tout cas à mettre à plat certains de leurs modes d’appréhension de ces problèmes afin d’être mieux en mesure de répondre aux enjeux et aux défis qu’ils posent.
Au programme, cet aprem, les discussions reprendront à 14h et porteront sur LA RECHERCHE ÉMERGENTE EN SANTÉ ENVIRONNEMENT-TRAVAIL : LES SCIENCES CITOYENNES AU PRISME DES SCIENCES SOCIALES, avec notamment un focus sur L’après Lubrizol, la recherche participative à l’épreuve de la gouvernance des risques industriels proposé par ESTELLE MESLIER-AURIAULT, de l’Université de Caen Normandie ; et un focus sur les Mobilisations citoyennes et politiques des données : à travers l’étude de cas de la qualité de l’air proposé par JUSTYNA MOIZARD-LANVIN, de l’Université Paris-Cité
et si vous voulez suivre ce colloque et retrouver le programme complet de ce colloque, rdv sur : https://www.inshs.cnrs.fr/fr/evenement/risques-crises-et-sciences-humaines-et-sociales-vers-des-observatoires-inclusifs-sante
le colloque aura lieu aujourd’hui et demain au Centre de colloques du Campus Condorcet, à Aubervilliers métro Front populaire

de 15h à 17h30, la Recyclerie propose son atelier de conversation avec l’association Français langue d’accueil
l’association a pour objet d’organiser des ateliers d’apprentissage du français pour les demandeurs d’asile et les réfugiés récents, dans les quartiers autour des gares du Nord et de l’Est.
Et si vous voulez participer à cet atelier, rdv à 15h30 à la recyclerie qui se trouve au 83 bvd d’Ornano, métro Porte de Clignancourt

Tous les jours sauf le jeudi de 17h30 à 20h, l’association la Chorba distribue des repas chauds gratuits
Et si vous voulez en bénéficier, rdv tous les jours (sauf le jeudi) de 17h30 à 20h, au 7 avenue de la Porte de la Villette, 75019 Paris.

de 19h à 20h, le collectif dionysien Un ring pour tout•e•s qui propose depuis 2017 : des entraînements de boxe anglaise entre femmes et personnes trans pour lutter contre les stéréotypes de genre, poursuit ses cours pour adultes pendant les vacances scolaires
et si vous voulez y participer, rdv à 19h, les cours ont lieu au chapiteau rajganawak qui se trouve au 3 rue ferdinand Gambon, à St-denis, c’est juste en face de la gare

de 19h à 20h, Extinction Rébellion Paris Nord organise une Réunion d’accueil des nouvelles militantes et nouveaux militants
Et si vous voulez rencontrer les militant.e.s d’XR paris nord, et eventuellement les rejoindre, rdv à 19h à l’Espace Villette Makerz , qui se trouve au 211 Avenue Jean Jaurès, métro Porte de Pantin

à 19h encore, les GJ de Belleville reprennent leur AG hebdo pour discuter de l’actualité politique et sociale et organiser les luttes
et si vous voulez y participer, c’est à 19h au café le Côte d’Azur qui se trouve au 6 Rue du Château d’Eau, métro Jacques Bonsergent

De 19h30 à 21h30, l’association Autremonde tient sa permanence administrative hebdomadaire
Cette permanence assure l’ouverture de certains droits : PUMA, CSS, AME, ou encore Solidarité transport.
Et si vous voulez savoir les documents nécessaires à l’ouverture de ces droits, vous devez contacter en amont le : 0143147780.
et pour vous rendre à la permanence, sans rendez-vous, c’est ouvert de 19h30 à 21h30 au Dorothy qui se trouve au 85 bis rue de Ménilmontant, métro Ménilmontant

à 20h, la CGT Librairies organise une Réunion ouverte aux salarié.e.s de librairie
Et si vous voulez y participer, c’est à 20h à l’union locale CGT du 5e arrondissement qui se trouve au 163 boulevard de l’hôpital, métro Campo Formio

demain à partir de 9h , la maison des sciences de l’homme et l’institut des mondes africains organisent un colloque de deux jours intitulé : Écrire l’histoire après les indépendances : Histoire sociale et politique des mondes historiens en Afrique subsaharienne depuis les années 1960
Ce colloque propose de revenir sur les mondes historiens africains depuis les indépendances, dans une double perspective d’histoire sociale et d’histoire politique. Quelles sont les trajectoires, individuelles et collectives, des historiens et des historiennes en Afrique depuis les années 1960, depuis leurs formations jusqu’à leurs carrières au sein ou en dehors des sphères académiques ? Dans quelles conditions et au sein de quelles institutions, universitaires et éditoriales notamment, s’élaborent les savoirs historiques et comment circulent-ils dans un contexte de globalisation des connaissances en sciences sociales ? Comment enfin les trajectoires scientifiques des historiennes et des historiens s’articulent-elles à des trajectoires politiques et militantes, dans des périodes de mutations et d’inventivité politiques, aux échelles nationales comme internationales et panafricaines ?
Au programme demain matin, les discussions porteront sur les Histoires nationales et les écoles historiographiques, avec un focus sur cinquante ans de recherches en histoire à l’université du Burundi : entre pouvoirs et vécu ordinaire au quotidien proposé par Joseph Gahama (University of Rwanda) et un focus L’histoire au Burundi dans les années 1970-1980 : l’âge d’or d’une « école » ?, proposé par Christine Deslaurier (Institut des mondes africains)
et si vous voulez participer à ce colloque de deux jours, rdv à partir de 9h demain matin dans la salle 1000 du centre de colloques sur le Campus Condorcet, dont l’entrée se fait par la cour des humanités, à Aubervilliers, métro front populaire
et pour retrouver le programme complet du colloque, rdv sur : https://calenda.org/1024810

demain matin aussi, à partir de 11h, le séminaire sur "Les données. Une approche pluridisciplinaire" organisé par l’EHESS se poursuit, avec une séance autour d’Emmanuel Didier (EHESS) qui parlera de « La marbrure numérique, comme outil pour l’analyse sociologique des data »
et si vous voulez suivre ce séminaire, rdv demain matin à 11h à l’EHESS, au 54 bd Raspail ou en ligne via le : https://participations.ehess.fr/demandes/__nouvelle__?seminaire=899

RDV CULTURELS

Et cet appel à soutien d’abord relancé par La clef revival : Le cinéma La Clef est toujours à vendre - et l’équipe veut toujours l’acheter, avec le fonds de dotation Cinéma Revival, pour en faire un bien commun !
Pour rappel : le cinéma La Clef est un cinéma historique, situé au cœur de Paris et né dans les années 70. Pendant presque 50 ans, le cinéma attire par sa programmation diversifiée, ses tarifs bas, ses débats avec des réalisateurs, l’accueil de festivals. La salle est ouverte par un entrepreneur passionné de cinéma puis, au début des années 80, en faillite, il est revendu au Comité d’entreprise de la Caisse d’épargne Île-de-France qui garde 2 salles sur 3 et transforme le reste du bâtiment en centre culturel pour ses salariés. En 2018, le cinéma ferme car le propriétaire des lieux cherche à revendre. Malgré deux tentatives de rachat de la part de l’ancien directeur du cinéma puis des anciens salariés, le cinéma reste fermé.
Le 20 septembre 2019, plusieurs collectifs et indépendants – des cinéphiles, réalisateurs.trices, professionnel.le.s du cinéma et divers artistes issus des squats artistiques, des habitant.e.s du quartier – se réunissent au sein de l’association Home cinéma et décident d’occuper illégalement le cinéma La Clef de manière citoyenne et désintéressée.
Dès le lendemain du premier jour d’occupation, un film différent est proposé tous les soirs et à prix libre. Sans aucune hiérarchisation de genre, de durée, de moyens de production. Les films sont systématiquement montrés avec l’accord de leurs ayant-droits grâce à une solidarité inédite et majoritaire.
La programmation se décide lors d’une réunion mensuelle de tous les programmateurs. Outre des films de répertoire, une importance majeure est accordée à la programmation d’œuvres présentées par leurs auteurs, débouchant sur des rencontres et discussions avec le public.
L’occupation est très médiatisée et soutenue par de nombreuses institutions culturelles, des artistes et par la Mairie de Paris. Le propriétaire porte quand même plainte et 6 occupants sont jugés et condamnés en décembre à quitter les lieux dès février. Grâce à tous ses soutiens, Home cinéma décide de rester en attendant le procès en appel qui devait se tenir début juin 2020 et qui est reporté en septembre 2020.
Depuis l’expulsion du collectif, les discussions avec le propriétaire, le groupe SOS, se poursuivent, et le collectif de la clef revival a avancé sur le financement de son projet : déjà un prêt bancaire, un premier mécène, des promesses de dons...
mais il reste encore à faire, et si vous voulez soutenir le collectif dans son projet de rachat de la Clef, rdv sur le site : http://laclefrevival.com/

A partir d’aujourd’hui et sur trois jours, les Mains d’Œuvres et la webradio Station Station proposent une formation sur les pratiques radiophoniques documentaires
une formation pour s’initier aux fondamentaux des pratiques radiophoniques documentaires : écriture du projet, tournage et enregistrement sonore, montage et mixage sur le logiciel REAPER, avec une attention particulière portée aux pratiques de l’entretien.
Et si vous voulez participer à cette formation, c’est à partir d’aujourd’hui et pendant trois jours aux Mains d’oeuvres, 1 rue Charles Garnier, à Saint-Ouen, métro Garibaldi

de 16h à 18h, le séminaire « Histoire des idées politiques : nouveaux objets, nouvelles approches » se poursuit, avec une séance autour de Lenny Smirnova ( Université Paris Cité) qui reviendra sur les Philosophies entre la France et l’URSS (1956-1985) : circulations de textes et pratiques de traduction
et si vous voulez en discuter avec elle, rdv de 16h à 18h dans la salle 2.083 du bâtiment Nord du campus Condorcet, à Aubervilliers, métro front populaire

À 18h, l’association Rikochets, une association créée il y a un an autour de Nemi, Julie regard et Sly2, propose le Vernissage de l’exposition DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR
une expo collective qui réunit les travaux de 28 artistes issus du milieu graffiti / art de rue, avec notamment Itvan kebadian et Veneno du collectif Black Lines dont on peut apprécier les banderoles dans les manif GJ si vous voulez découvrir cette expo, rdv à 18h ce soir pour le vernissage, c’est à l’Espace Maison Blanche, 2 avenue Saint-Exupéry à Châtillon, métro Châtillon-Montrouge, l’expo y sera visible jusqu’au 5 novembre

à 19h, le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir et la Cité Audacieuse proposent la Projection La Fabrique des contre-récits, en présence de la réalisatrice Pascale Obolo
Que signifie écrire un contre-récit ?
Les plasticiennes Luna Mahoux, Agnès Lalau, Laura Nsengiyumva, Mireill Asia Nyembo, et la photographe Hélène Hamou, évoquent leur parcours artistique et professionnel en Belgique.
Confrontées à une histoire de l’art occidentale et blanche, elles parlent dans leur travaux de l’héritage colonial et de leur corps. Elles élaborent une contre-narration face à un récit qui se veut “universaliste” mais qui est de fait réducteur.
Elles soulèvent les questions du racisme ordinaire et structurel présent dans les institutions d’art et les écoles occidentales.
Ces artistes mènent un véritable combat pour inventer des nouveaux mondes et de nouvelles pratiques en transmettant des récits émanant de personnes racisées dont les voix sont réduites la plupart du temps au silence.
Et si vous voulez découvrir ce film documentaire et ne discuter avec sa Réalisatrice Pascale Obolo, rdv à 19h à la Cité Audacieuse, 9 rue de Vaugirard, RER Luxembourg

19h aussi, l’association Braquage propose un Atelier chimigrammes
Le chimigramme permet de réaliser des films sans caméra, mais en découvrant les particularités des éléments chimiques (les émulsions) du film.
A la suite des travaux du plasticien Pierre Cordier, ou de Silvi Simon, le chimigramme combine la physique de la peinture (vernis, cire, huile et autres matériaux aussi) et la chimie de la photographie (papier ou pellicule photosensible, révélateur, fixateur) sans appareil photographique ni agrandisseur et en pleine lumière.
Et si vous voulez découvrir cette technique, l’atelier est ouvert à toute et tous, sans connaissance préalable requise et le Matériel fourni sur place, mais il faut réserver en envoyant un mail à : braquagexperimental@gmail.com
puis rdv à 19h à l’Espace En cours, c’est au 56 rue de la Réunion, M° Buzenval ou Avron

à 19h30 : le Cinema les 7 Parnassiens organise un ciné-Débat autour du film Reprise en main, de Gilles Perret
Comme son père avant lui, Cédric travaille dans une entreprise de mécanique de précision en Haute-Savoie. L’usine doit être de nouveau cédée à un fonds d’investissement. Epuisés d’avoir à dépendre de spéculateurs cyniques, Cédric et ses amis d’enfance tentent l’impossible : racheter l’usine en se faisant passer pour des financiers !
Et si vous voulez découvrir ce film et en discuter avec Henri Sterdyniak, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques et membre des Économistes Atterrés, rdv à 19h30 au ciné les 7 Parnassiens, c’est au 98 bvd du Montparnasse, métro Montparnasse

à 20h, le QUEER CINEMA CLUB & L’ATELIER DISTRIBUTION proposent une projection en avant-première du film STRAIGHT UP, suivie d’une rencontre avec le réalisateur, scénariste et acteur James Sweeney
Todd, gay d’une vingtaine d’années et bourré de TOC, est inquiet de mourir seul au point de remettre en question sa sexualité. Quand il rencontre Rory une jeune actrice débutante aussi drôle qu’énergique et avec son lot également de névroses, les deux vont nouer une relation forte basée uniquement sur le dialogue et non sur le sexe.
Et si vous voulez découvrir ce film en avant-première et en discuter avec le réalisateur, James Sweeney, rdv à 20h au ciné St-André-des-Arts, c’est au 30 de la rue St-André-des-Arts, métro St-Michel

à 20h : le Cinéma du Panthéon propose la projection de Sauve qui peut (la vie) de Jean-Luc Godard
un film qui s’organise comme une partition musicale composée de quatre mouvements : L’Imaginaire, La peur, Le commerce et La musique pour explorer les angoisses et aspirations d’hommes et de femmes face à une société qui les broie.
Et si vous voulez voir ou revoir ce film de Godard en version restaurée, rdv à 20h au Cinéma du Panthéon qui se trouve au 13 rue victor cousin, RER Luxembourg

à 20h30, dans le cadre du festival Alimenterre, le Cinéma Le Méliès et Action contre la Faim, en partenariat avec Biocoop Un Ecrin Vert, Abiosol, et le réseau AMAP Île de France, proposent la projection du film-docu Les Champs du possible, de Lucia Barahona
Et si une partie importante de la réponse à la crise écologique que nous traversons se trouvait dans nos assiettes ? Chaque jour, des hommes et des femmes engagés agissent pour faire évoluer nos modes de production et de consommation, et les rendre plus écoresponsables. Ce film se fait ainsi le témoin d’un mouvement nécessaire, positif, incarné, en faveur d’un modèle alimentaire plus résilient, respectueux à la fois ses hommes et de la nature.
Et si vous voulez voir ou revoir ce film et en discuter avec des membres d’ Action contre la faim et d’autres acteurs associatifs, rdv à 20h30 au Cinéma Le Méliès, 12 place Jean Jaurès, à Montreuil, Métro Mairie de Montreuil

Karine Clément / Denys Gorbach / Hanna Perekhoda / Catherine Samary / Tony Wood viennent de signer l’ouvrage collectif : L’invasion de l’Ukraine. Histoires, conflits et résistances populaires, aux éditions la Dispute
L’invasion de l’Ukraine par l’armée russe sur ordre de Vladimir Poutine constitue un événement politique majeur pour le continent européen et le reste du monde. Elle pose des questions cruciales concernant la capacité des peuples à s’opposer aux guerres, aux régimes autoritaires et aux impérialismes.
Dans ce livre, des chercheur.se.s spécialistes des transformations de l’Ukraine, de la Russie et de l’Europe de l’Est au sein de la reconfiguration de l’ordre mondial, également engagé.e.s dans les combats altermondialistes, expliquent les histoires locales et globales, les nouvelles dynamiques économiques, sociales et géopolitiques, les résistances populaires qui éclairent les débats en cours et s’entretiennent de leurs enjeux pour notre avenir.
Et si vous voulez plus d’infos sur le livre, rdv sur : https://ladispute.fr/.../linvasion-de-lukraine-histoires.../
Pour consulter sa table des matières : https://ladispute.fr/.../2022/05/TDM_Invasion-Ukraine.pdf

Les Brigades éditoriales de solidarité publient L’Ukraine insurgée, une co- édition M Éditeur (Montréal)/Page 2 (Lausanne)/Syllepse (Paris)
Ce livre donne la parole aux Ukrainien∙nes qui luttent par tous les moyens nécessaires, aux syndicalistes, aux féministes, aux acteur∙trices de mouvements sociaux et aux universitaires. Toustes et tous racontent leurs combats contre l’agression impérialiste russe et expriment leurs espoirs où se dessine un horizon d’émancipation sociale et politique. La parole est aussi donnée aux oppositions et aux dissidences venues de Russie et du Bélarus.
Alors que tous ces témoignages et analyses mettent en accusation le régime autoritaire grand-russe et ses ambitions, cet ouvrage revient également sur l’histoire de l’Ukraine et de ses relations avec la Russie.
Les bénéfices issus de la vente de cet ouvrage seront reversés à la résistance ukrainienne.

Joseph Daher vient de publier Syrie : le martyre d’une révolution, aux éditions Syllepses
Depuis mars 2011, à la suite d’un soulèvement populaire et de sa violente répression, la Syrie est le théâtre d’une guerre entre un régime despote, l’État islamique et différents acteurs internationaux, dont la Russie de Poutine. Récit dramatique d’une révolution dans laquelle un peuple voit son aspiration à la liberté noyée dans le sang.
Syrie : le martyre d’une révolution se veut une vaste fresque des origines du soulèvement syrien, qui a commencé en mars 2011, jusqu’à aujourd’hui. Il décrit les acteurs et les actrices impliqué·es dans le soulèvement et comment la révolution en cours leur a échappé. Les mouvements fondamentalistes islamistes et djihadistes et les interventions régionales et internationales y sont mis en accusation.
Plus particulièrement, la nature du régime de Bachar al-Assad, mélange de despotisme et de corruption, est analysée ainsi que la façon dont il a procédé pour réprimer le mouvement révolutionnaire. L’implication de la population kurde et des organisations kurdes dans le soulèvement fait l’objet d’un chapitre particulier, avec notamment l’influence croissante du Parti de l’union démocratique (PYD) et de ses combattant·es. Enfin, l’internationalisation du soulèvement syrien et les interventions, directes ou indirectes, de divers acteurs internationaux et régionaux sont analysées, y compris l’implication massive des alliés de Damas, de la Russie, de l’Iran et du Hezbollah, sans oublier le rôle des États-Unis et des monarchies du Golfe.
Lors de l’invasion russe de l’Ukraine, de nombreux Syrien·nes ont affiché leur soutien au peuple ukrainien. Marioupol leur rappelle Alep.

MUSIQUE : Newtown Neurotics - When the oil runs out