Agenda FPP 14 octobre

vendredi 14 octobre 2022
par  Rosa

MUSIQUE : Teaser du prochain album proposé par l’1consolable, Féral
et si vous voulez le soutenir, il ne reste que quelques jours ! rdv sur vous retrouverez le lien sur le site de l’agenda : https://fr.ulule.com/feral-l-1consolable-/?fbclid=IwAR2OQQGkdG6JtHdexrchjZ6GiYx88h_RcpvhIYLgGzMpbBerawsHx4yYOTw

RDV MILITANTS

Et on commence avec ce communiqué intersyndicale publié par la CGT, FO, la FSU, Union syndicale Soldiaires, le syndicat lycéen FIDL, le MNL, l’Unef et la Voix lycéenne, un communiqué publié hier pour appeler à la grève interprofessionnelle mardi prochain pour l’augmentation des salaires et la défense du droit de grève !
Que ce soit dans les raffineries, l’agroalimentaire, les crèches, les transports publics, l’énergie et nucléaire, les organismes sociaux, les banque-assurances, les services informatiques, la maintenance industrielle, l’éducation, la santé, le commerce, la métallurgie... les salarié.e.s de très nombreux secteurs professionnels se mobilisent depuis des mois dans leurs entreprises ou leurs services pour revendiquer et gagner de légitimes augmentations de salaire, de meilleures conditions de travail, des emplois de qualité. Les jeunes se mobilisent aussi, pour leurs conditions de vie et d’études ainsi que pour une réforme des bourses ambitieuse.
Le mouvement des lycées professionnels, d’ores et déjà décidé pour le 18 octobre, s’inscrit dans cette dynamique.
Pourtant et alors qu’elles réalisent d’énormes profits, les entreprises de la branche Pétrole, en particulier Total ou Exxon, refusent d’accéder, aux exigences des salarié.e.s massivement mobilisés par l’ouverture immédiate d’une négociation sérieuse. Ces dernier.e.s réclament avant tout le rattrapage de l’inflation et une meilleure répartition des richesses créées par les travailleuses et travailleurs, alors que des milliards d’euros de dividendes ont été versés aux actionnaires.
C’est cette situation de blocage patronal qui crée aujourd’hui la pénurie de carburants. Mardi dernier, une limite a été franchie par le gouvernement, annonçant faire procéder aux réquisitions des salarié.e.s des raffineries et dépôts par les préfectures. Elles sont en cours depuis. Cette procédure déjà condamnée par l’OIT constitue une atteinte inacceptable au droit constitutionnel de grève et aux libertés fondamentales.
La mobilisation gagne des secteurs de plus en plus nombreux dans le privé comme dans le public.
Elles et ils obtiennent par leurs actions avec leurs organisations syndicales l’ouverture de nouvelles négociations et des avancées salariales significatives. C’est aujourd’hui qu’il faut se mobiliser dans tous les secteurs professionnels, public comme privé.
C’est pourquoi les organisations syndicales et les organisations de jeunesse signataires décident d’appeler ensemble les travailleuses et travailleurs et la jeunesse à la mobilisation y compris par la grève le mardi 18 octobre pour l’augmentation des salaires, des pensions et minima sociaux, et l’amélioration des conditions de vie et d’études.
Elles appellent également les salarié.e.s, les retraité.e.s, les privé.e.s d’emploi et la jeunesse à se mobiliser pour la défense du droit de grève en participant aux rassemblements organisés devant les préfectures et sous-préfectures.
Le 18 octobre, elles s’engagent à organiser partout avec les jeunes et les salarié.e.s des différents secteurs professionnels des mobilisations et actions, dans les entreprises et les services.
Et dans la même perspective, le média GJ CND appelle à la mobilisation citoyenne à partir de lundi pour bloquer dépôts pétroliers en soutien à la grève dans les raffineries !

Depuis 10h ce matin, le SNUipp-FSU et le SNES-FSU appellent à un rassemblement place de la Sorbonne pour protester contre :
• l’obligation vaccinale (certains collègues sont toujours suspendu.es)
• le déni du code de déontologie
• les conditions de travail dégradées
• les tentatives de médicalisation
• les RASED en danger
• les redéploiements de secteur en cas de poste non couvert
et si vous voulez les retrouver, rdv sur la place de la Sorbonne, métro Cluny-la-Sorbonne

de 12h à 14h, l’EHESS organise une conférence pour analyser sous le prisme des sciences sociales la mobilisation iranienne
Comment analyser l’extraordinaire mobilisation iranienne depuis l’Europe ? De quelles informations dispose-t-on pour analyser les gestes de la révolte ? À quelle juste distance se placer pour leur témoigner de notre solidarité et de notre attention ? Outre la dimension féministe, puissante, qui donne forme à la révolte aujourd’hui, quelle place y occupe la question kurde ou celle d’une jeunesse étudiante qui, aux côtés de tant d’autres, risque sa vie aujourd’hui ?
C’est à ces questions que tenteront de répondre : la sociologue Somayeh Rostampou, Chowra Makaremi, anthropologue, spécialiste des frontières et de la violence de masse, dont l’Iran post-révolutionnaire, Hamit Bosarslan, historien, spécialiste de la Turquie et de la question kurde (EHESS – Cetobac), et Stéphane Dudoignon, historien des renouveaux sunnites en Iran et de leur politisation depuis les années 1930
et si vous voulez suivre cette conférence, il faut vous inscrire via : https://register.gotowebinar.com/register/3320587114807883787

à partir de 16h cet aprem, le SNAPcgt • Syndicat National des Artistes Plasticien·nes cgt organise son Congrès à la BDT de Paris
Ce Congrès permet de se retrouver, d’échanger et de débattre sur les enjeux de ces professions et de leur statut. Il fixe collectivement des objectifs qui permettent de tenir une continuité de ses actions et de sa méthodologie.
Au programme de ce congrès, un cycle de tables rondes est prévu, autour de trois questions :Comment améliorer le quotidien des artistes-auteur·es ? Salaire à vie, sécurité sociale pour tous, des utopies ? Discriminations dans le monde de l’art, comment les identifier et les combattre ?
Et si vous voulez discuter de ces questions avec le SNAP-CGT, rdv à 16h cet aprem à la Bourse du travail, au 29 boulevard du Temple, Métro République ou Filles du Calvaire

De 17h30 à 19h, l’Union départementale CNT du Val de Marne tiendra sa permanence syndicale hebdo à la maison des syndicats de Choisy le ROI
Elle permet aux travailleuses et travailleurs, avec ou sans emploi, de l’éducation, des transports, de l’industrie, du commerce ou des services de venir échanger sur les conflits au sens large rencontrées sur le lieu de travail.
Et si vous voulez vous rendre à la permanence elle sera ouverte de 17h30 à 19h au 27 boulevard des alliés, à choisy le roi

Dans le cadre du mois international d’actions pour la libération de Georges Abdallah, lancé par la campagne unitaire pour la libération de georges Abdallah : un nouveau Rassemblement est organisé ce soir pour exiger la libération de Georges Abdallah !
Et le rdv est donné à 18h au métro Château Rouge

à 19h ce soir, le squat de la baudrière organise une Cantine de soutien au Yallah, un refuge autogéré à Cesana, à la frontière franco-italienne !
Au pied du mont Chaberton se trouve le refuge autogéré de Cesana, Yallah. Depuis plus de trois mois, le refuge s’est installé sur cette frontière raciste et sanglante, proches des gens qui la défient et la surmontent tous les jours, forcéEs de le faire illégalement : controlléEs, rejetéEs et violentéEs par l’État et ses forces armées. Dans cette même vallée où des centaines de « migrantEs » avec les "bons papiers“, appeléEs touristes, voyagent sans soucis.
Yallah est une alternative pour celleux qui sont de passage. Un endroit où l’on ne force pas les gens à partir, où les gens cuisinent, parlent et partagent des espaces et moments. Face à un des outils racistes et criminels que les États utilisent pour oppresser et violenter les personnes qui n’ont pas les « bons papiers ». C’est un endroit où on luttons ensemble, chacunE à sa manière : passer, surveiller, raconter et lutter contre cette frontière et toutes les autres.
Et si vous voulez participer à la cantine pour soutenir le refuge, rdv à 19h au squat de la Baudrière, 65bis rue Voltaire, Montreuil , métro Robespierre

ce soir et dimanche, la Semaine décoloniale se poursuit
avec au programme, ce soir, à 19h : une discussion autour de la MÉMOIRE, HÉRITAGE, TRANSMISSION, avec Paula Anacaona - éditrice, auteure de 1492, Anacaona, l’insurgée des Caraïbes, Farid Taalba - Président d’Echo des cités, auteur de Les contes de Mimoun Guélaille et Pierre Tévanian - Philosophe, co-fondateur du site Les mots sont importants (lmsi), auteur de Politiques de la mémoire (2021).
et dimanche à 15h , une rencontre sur l’ISLAMOPHOBIE ET LAÏCITÉ avec Le Collectif « Les Hijabeuses », Haifa Tlili - Sociologue, à l’origine d’une étude sur l’islamophobie dans le sport, Wiam Berhouma - Enseignante et militante antiraciste, Raffik Chekkat - Avocat de formation, auteur, concepteur de la plateforme Islamophobia, et Yasser Louati - Co-fondateur du Comité Justice & Libertés pour tous. Et si vous voulez participer à ces rencontres organisés dans le cadre de la 2eme édition de la semaine décoloniale, rdv ce soir à 19h et dimanche à 15h , à l’Espace Robespierre, c’est au 2 rue Robespierre, Ivry-sur-Seine, Métro mairie d’Ivry

demain matin, à partir de 9h30, le groupe Commune de paris de la Fédération anarchiste, le LAP et la CNT organisent un Colloque sur "L’Autogestion comme mode d’organisation sociale, égalitaire et libertaire"
Cette journée visera à remettre en perspective les capacités d’auto-organisation des populations tant d’un point de vue historique que comme mode de fonctionnement collectif pour le futur.
Au programme, les discussions proposeront un retour sur l’histoire des pratiques autogestionnaires, les collectivisations libertaires en Espagne (1936-1939), les coopératives alimentaires et de productions, l’autogestion pédagogique, les luttes ouvrières auto-organisées en Iran (1979-1980) ou plus récemment dans le secteur hôtelier…
il y aura aussi des Ateliers : proposé par La coopérative ouvrière Ambiance bois, la Projection du documentaire sur LIP Puisqu’on vous dit que c’est possible ! de Chris Marker ; et un Concert HOULENN TANN ET DUBAMIX et si vous voulez participer à cette journée sur l’autogestion,
rdv demain de 9h30 à 22h30, au Lycée autogéré de Paris, 393 Rue de Vaugirard , métro Convention

demain aussi à partir de 10h et dimanche aussi, L’Ecole du Logiciel Libre organise une Fête du Logiciel Libre d’Ivry-sur-Seine (Ecole du Logiciel Libre)
Avec au programme : ateliers, conférences-débats et stands associatifs, avec : L’APRIL et son exposition itinérante , L’Ecole du Logiciel Libre , L’association Franciliens.net , Les Jardins Numériques , et l’Association Libre en Communs
et si vous voulez participer à la fete du logiciel libre, rdv demain et dimanche de 10h à 16h à l’Espace Gérard Philipe, 12 place Gérard Philipe à Ivry-sur-Seine, métro Mairie d’Ivry

À partir de 10h30 demain matin, la Coordination Antifasciste Inter-Universitaire organise un contre-rassemblement à celui « Contre l’offensive islamique à l’école » organisé au square Samuel Paty par Reconquête, GZ et Protégeons nos enfants
et si vous voulez vous mobiliser contre la tenue de ce rassemblement raciste et islamophobe d’Eric Zemmour et de ses alliés, rdv à 10h30 demain matin au croisement de la rue Soufflot et du Bvd Saint-Michel

à partir de 14h demain, les association et collectifs Vies Volées, Queers Racisé.e.s Autonomes, Nta Rajel, 1001 Queers, Collages contre islamophobie, Féministes contre le Cyberharcèlement, Pride des Banlieues, Collages Féministe Stains, Paris Queer Antifa, Commission antiraciste de SUD Education, Raízes Arrechas - Batucada lesbo-trans-féministe racisée., Les mutilé.e.s pour l’exemple, Diivines LGBTQI, FLIRT-Front de Libération Transfem, Décolonisons le féminisme, Libération Lesbienne, Saccage 2024, STRASS, ANKH, collectif LGBTQI+, Paye ton Militant Sexiste, tRace ta voix, Urgence Afghane, Perspective, Collectif Doulas radicales, Youth for climate IDF, Assemblée Féministe Montreuil, Queers Racisé.e.x.s Nantes, Not all men, Really, Osmose (Thionville), Collectif La Grenade (Metz) et Antifasciste 38 organisent une marche féministe antiraciste à Saint-Denis
Le 2 octobre 2002, Sohane Benziane mourait brûlée vive dans le local poubelle de son immeuble à Vitry, tuée par son ex-compagnon. Sa mort a bouleversé une génération de femmes de quartiers populaires, choquées par la violence des faits. Une mobilisation sans précédent avait alors vu le jour pour dénoncer les féminicides, les violences sexistes et sexuelles dans nos quartiers, et ce avant le mouvement Me Too. Cette colère légitime a été récupérée par le PS et son mouvement Ni Pute Ni Soumise....et cette récupération d’État a ciblé les hommes des banlieues en les stigmatisant comme des barbares sexistes. Ce mouvement a voulu faire de la France et de sa République, le seul outil de libération possible des femmes des quartiers populaires.
Pourtant, tous les ans, nous continuons à compter nos mort.e.s et mutilé.e.s : Dinah, Alisha, Melissa, Farida, Fouad, Vanessa ... Les féminicides sont le haut de l’iceberg des violences faites aux femmes : agressions, harcèlements, viols, suicides, corps abîmés par l’exploitation. Les femmes voilées subissent des violences racistes et sexistes spécifiques dans le contexte islamophobe actuel.
Il est temps d’organiser une riposte féministe antiraciste à la hauteur des enjeux.
Aussi, pour dénoncer :
• L’impunité des hommes violents qui traverse tous les milieux, jusqu’au plus haut sommet de l’État (Hulot, Darmanin, Abad...).
• la vision raciste du féminisme d’État, ciblant clairement les hommes des quartiers populaires
• Les structures patriarcales dans nos familles : violences, tabou sur les sexualités, éducation différente des filles et des garçons (charge administrative, travail domestique, gestion des enfants et des ancien.ne.s )
• L’impunité des hommes violents et la culture du viol dans les milieux militants.
• Le sexisme et le racisme dans les commissariats quand nous portons plainte pour violences. La justice n’est qu’une façade : les hommes violentent, la justice acquitte.
• Les silences autour des violences policières vécues par les femmes et les lgbtqi+ dans nos quartiers et lors de manifestations.
• L’impunité policière, les méthodes létales d’interpellation qui mutilent et tuent dans les quartiers. Le système carcéral tue aussi.
• Le manque de moyens pour la formation des personnels de santé et d’éducation sur le sujet des violences, des sexualités, des LGBTQIphobies et du harcèlement scolaire. L’accès à la contraception et l’IVG doivent rester gratuits et accessibles dans tous nos quartiers.
• Le manque de lieux gratuits pour notre réparation face aux traumatismes : congés maladie non rémunérés, coût excluant des prises en charge psy ..
• La précarité et les bas salaires enfermant les femmes dans un lien de dépendance avec leurs conjoints violents (papiers, logements, salaires, gestion de la garde et des pensions alimentaires, calcul AAH Allocation Adulte Handicapé.e).
• Le racisme d’État subi par les femmes et/ou LGBTQI+ sans papiers, exilé.e.s : régularisation sans conditions de tou.te.s les sans papiers, liberté d’installation et de circulation !
• La précarisation des travailleur.euses du sexe par des lois putophobes. Soutien inconditionnel envers ces travailleur.euse.s, notamment trans, qui en paient le prix fort : harcèlements policiers, violences, assassinats
• L’échec du système scolaire dans nos quartiers et la misère sociale qui poussent la jeunesse à la prostitution, comme seule issue possible.
• Les LGBTPhobies : PMA au rabais, les violences physiques, médicales et administratives sur les personnes trans, la mutilation des enfants intersexes. Les Prides des banlieues et Radicales doivent être des temps de mobilisations de toutes les forces antiracistes, en soutien avec les concerné.e.s.
• La criminalisation des mouvements militants : antifascistes, antisionistes, Gilets Jaunes etc. Les féministes des quartiers populaires sont de tous ces combats : s’attaquer à un.e de nous, c’est s’attaquer à tou.te.s
Une marche féministe antiraciste est organisée demain dans les rues de Saint Denis.
Une marche pour que cesse notre silence collectif face aux violences : que notre bourreau soit l’État, intime ou nos camarades de lutte.
Une marche pour porter un féminisme populaire antiraciste, en rupture avec le féminisme d’État.
Une marche pour honorer les mort.e.s et pour protéger les vivant.e.s.
Une marche pour mettre au centre des débats : nos combats, nos réparations et nos victoires.
Qu’avec les noms de : Zyed, Bouna, Adama, Lamine ou Yanis et toutes les victimes de la police... résonnent aussi dans nos quartiers les noms de : Sohane, Fouad, Dinah, Melissa, Alisha, Farida, Vanessa, Ivana... et toutes les victimes des violences sexistes, LGBTQIphobes et sexuelles.
Rdv donc demain à 14h à la Basilique de Saint-Denis ; et pour infos, pour celles et ceux qui viennent avec leur.s enfant.s : un cortège spécial est prévu et même une garderie sera ouverte à la Maison jaune de St-Denis

À 14h aussi demain, le Conseil National de la Nouvelle Résistance organise une Fête de la Sécurité Sociale qui a 77 ans cette année !
À 77 ans, malgré les attaques dont elle ne cesse de faire l’objet, la Sécurité sociale n’est pas un vieux système obsolète. Au contraire, au regard des périls qui nous menacent, elle est essentielle. Fondée en 1946 et héritée de la résistance contre le fascisme, unique à travers le monde, elle est ce qui rend notre présent supportable. Elle est surtout aujourd’hui notre seul avenir désirable.
La Sécu est en son principe une institution révolutionnaire faisant rupture avec la logique capitaliste. Elle reconnaît chaque individu comme créateur de valeurs. Elle mutualise une part de la richesse produite qui n’est donc pas distribuée aux actionnaires, pour garantir que personne ne vive plus avec l’angoisse du lendemain.
La Sécu, c’est notre santé, c’est la garantie de nos revenus quand on est malade ou au chômage, quand on prend sa retraite. La Sécu, c’est nos cotisations, une part de la richesse que, nous toutes et tous, nous créons chaque jour. La Sécu est aujourd’hui menacée et la richesse collective est plus que jamais captée au profit des actionnaires.
Nous avons peu à peu été dépossédé.e.s de la Sécu, pensée par le Conseil National de la Résistance en 1945 et 1946 avec une gestion par les travailleurs et travailleuses cotisant.es. C’est d’abord le patronat qui a repris la main sur les instances de décision, puis l’État avec l’introduction de l’impôt et la baisse des cotisations patronales. Nous devons reconquérir ce bien commun.
Aujourd’hui l’État décide en effet du financement de notre système de soins, non pas sur la base des droits et des besoins individuels et collectifs, mais avec le seul souci comptable de comprimer les "dépenses ", particulièrement celles de l’hôpital public et celles consacrées à la prévention. Mais ces contributions ne sont pas des dépenses, elles sont un investissement d’avenir au service du bien commun et du bien-être.
Dans ce contexte de dégradations sociales et écologiques accélérées, la Sécu du XXIe siècle, garantissant l’égale dignité de chacune et chacun, doit permettre d’engager l’ensemble de la population dans un nouveau combat pour l’émancipation et la justice sociale, incluant la lutte contre la destruction du monde vivant, dont nous faisons partie, et la rupture avec la logique productiviste.
Il est temps de reprendre en main et d’améliorer la gestion de la Sécurité sociale. Il est grand temps d’élargir son principe et son champ d’application à d’autres domaines vitaux, comme ceux de l’alimentation, l’énergie, l’eau, le logement, ou encore la culture...Dans cette perspective, le CNNR organise une première concertation sur le sujet autour d’une grande "Fête de la Sécurité sociale" partout en France, et si vous voulez y participer à paris, le rdv c’est demain de 14h à 20h, au Théâtre le Vent se lève, 181b Avenue Jean Jaurès, métro Ourcq

à 16h demain, l’association Urgence Afghanes un collectif qui s’est crée au moment de la prise de Kabul par les Talibans. organise un rassemblement de soutien aux Afghanes en Résistance, contre la terreur d’État et le terrorisme !
Jamais la situation n’a été aussi terrible, jamais le monde n’a été aussi silencieux et indifférent. Et pourtant jamais la lutte des femmes afghanes contre le pouvoir et les groupes terroristes affiliés à Daech n’a été aussi intense que ces derniers jours. Des attentats meurtriers ont frappé un centre éducatif et une université, tuant principalement des femmes. Les attentats ont touché essentiellement la minorité hazara, cible des talibans et de Daech depuis toujours. Minorité ouvertement menacée par des discours et des actes à intention génocidaire. Mais ce sont toutes les féministes afghanes qui sont descendues dans la rue, par centaines, malgré la lâcheté des milices du pouvoir, qui répondent par une répression terrifiante à celles qui défilent pacifiquement. Pourtant rien n’arrête les femmes afghanes qui depuis un an sont partout : ouvrant des écoles clandestines ou des bibliothèques, résistant à la famine et à la pauvreté malgré l’interdiction de travailler.
Et pour soutenir les féministes afghanes et la minorité hazara, l’association Urgence Afghanes organise donc un rassemblement demain et le rdv est donné à 16h à Châtelet

à 16h demain, L’Association Sauvons l’îlot Pêche d’Or – Bergerie organise un Rassemblement festif pour sauver l’îlot Pêche d’Or - Bergerie à Bagnolet
L’Association Sauvons l’îlot Pêche d’Or - Bergerie à Bagnolet défend la reconstruction de l’école Pêche d’or sur son site en préservant les terres fertiles de la bergerie et les arbres présents. Elle s’oppose au projet municipal actuel qui prévoit la construction d’une école en béton sur le site arboré et fertile de la bergerie, tout en laissant les enfants dans les travaux. Un projet alternatif a été proposé, des aides pour préserver la nature en ville existent...
et si vous voulez aider l’association à se faire entendre par les élus, rdv demain de16h à 18h, sur la Place Salvador Allende, à Bagnolet

à 19h demain, le CICP organise, dans le cadre de la 42e édition à Paris de la Journée internationale de solidarité avec les peuples autochtones des Amériques et de la Tournée en Europe en faveur du prisonnier politique Sioux Dakota / Anishinaabe, Leonard Peltier, une rencontre en solidarité avec le prisonnier politique Leonard Peltier (membre de l’AIM incarcéré depuis 47 ans aux États-Unis).
Avec au programme : des RENCONTRE / DÉBAT / EXPOSITION D’ŒUVRES DE LEONARD PELTIER, аνес Каtһу Реltіеr (Dіné ¬ Νаνајо / Ѕіоuх Dаkоtа / Аnіѕһіnааbе, fille de Leonard Peltier) Јеаn Rоасһ (Ѕіоuх Miniconjou Lakota, survivante de la fusillade à Oglala en 1975 sur la réserve sioux lakota de Pine Ridge, co-directrice du Comité de défense international de Leonard Peltier - ILPDC ) et Lоnа Кnіgһt (Ѕіоuх Miniconjou Lakota, arrière, arrière petite fille de Jackson Kills Whiteman, survivant du massacre de Wounded Knee en 1890) ; et un CONCERT DE MITCH WALKING ELK (Сһеуеnnе & Аrараһо, survivant des écoles résidentielles)
et si vous voulez participer à cette rencontre en solidarité avec Léonard Peltier, rdv à 19h demain au CICP, 21 ter rue Voltaire, métro Rue des Boulets, ou Nation

Dimanche à 13h, La Brigade de Solidarité Populaire Paris Sud organise une cantine de soutien au Malaqueen, squat et centre social autogéré de Malakoff où vivent une quarantaine de personnes qui sont expulsables depuis le 22 août.
Et si vous voulez y participer, rdv dimanche à 13h Au Malaqueen, 70 Rue Gallieni, à Malakoff, métro Etienne Dolet

dimanche à 14h, il y aura la Marche contre la vie chère et l’inaction climatique du gouvernement organisée à l’initiative de la NUPES, rejointe par de nombreuses organisations parmi lesquelles : La Jeune Garde, La Voix lycéenne, Pour une Écologie Populaire et Sociale (PEPS), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), AC !, Alliance contre les crimes industriels et pour le droit à un environnement sain (Acides), l’Ambassade des Immigré.e.s, APEIS, Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie, Association des Marocains en France (AMF), Association des Travailleurs maghrébins en France (ATMF), Association pour le Changement et la Démocratie en Algérie (ACDA), Attac France, CEDETIM, Changer de cap, Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), Conseil National de la Nouvelle Résistance (CNNR), Collectif pour l’Avenir des Foyers (COPAF), Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR), Fondation Copernic, La Chapelle debout, Maison du Tamil Eelam, Mouvement pour une Alternative Non-violente (MAN), Marche des solidarités, Mouvement national des Chômeurs et Précaires (MNCP), MRAP, Mouvement citoyen marseillais « Nos Vies, Nos Voix », Sang pour Sans, Stop Précarité, Unis pour le climat et la biodiversité.
Une marche :
pour la hausse des salaires et des minimas sociaux et contre la réforme de l’assurance chômage
pour le blocage des prix de l’énergie, des produits de première nécessité et le gel des loyers,
pour la taxation immédiate des superprofits,
pour des investissements massifs dans la bifurcation écologique créatrice d’emplois locaux ; et notamment :
• dans les transports en commun pour les rendre accessibles à tous,
• dans l’isolation des logements pour réduire les factures et les pollutions,
• dans la conversion vers une agriculture écologique pour rendre l’alimentation saine accessible à tous,
• dans les énergies renouvelables moins coûteuses et écologiques
contre le report de l’âge de départ à la retraite et pour le retour à la retraite à 60 ans
pour une allocation d’autonomie pour les jeunes dès 18 ans
et le rdv est donné dimanche à 14h sur la place de la Nation

à la même heure dimanche, un Rassemblement contre les parasites capitalistes qui brûlent la terre et les travailleurs pour accroître leur monstrueux tas de fric est aussi organisé en parallèle
et c’est dimanche à 14h à République

dimanche à 14h encore, la Pride des Banlieues propose le Village des Fiertés de Quartiers Populaires à la Bourse du Travail de Saint-Denis
un village qui rassemblera des associations qui luttent contre les LGBTQI+phobies, le racisme, le sexisme et la précarité en quartiers populaires.
Et si vous voulez y participer, rdv dimanche à partir de 14h à la BDT de Saint-Denis, 9 rue Génin, métro Porte de Paris

À partir de 14h tjr dimanche, les éditions Terrasses, le collectif du Krachoir et la Flèche d’Or organisent un atelier d’écriture et une scène ouverte + Un repas de soutien pour le collectif Al Zol
A l’occasion de la sortie de l’ouvrage « Les malles du retour », textes écrits par des femmes sarhaouies vivant sur le camp de Tindouf , les éditions terrasses et le collectif le Krachoir proposent un atelier d’écriture et une scène ouverte le soir autour de la question de la prise de parole populaire et d’une actualisation (voir d’une présentation) de la situation coloniale du Sahara Occidental et de sa lutte pour sa libération.
L’atelier sera suivi d’une projection autour du documentaire « Dis-leur que j’existe » qui trace le portrait de Naâma Asfari, juriste et militant indépendantiste sahraoui, condamné à 30 ans de prison par le Maroc ; et de sa femme, Claude Mangin, qui continue de mobiliser et de sensibiliser à la situation du Sahara Occidental.
Et le soir, une Cantine de soutien au collectif d’exilés Zol, qui occupe depuis 8 mois le 12 rue Candale à pantin et qui est menacé d’expulsion
et si vous voulez participer à ces rencontres avec atelier d’écriture, scène ouverte, projection et cantine de soutien, rdv à partir de 14h dimanche à la Flèche d’Or, 102 Bis Rue de Bagnolet , métro porte de Bagnolet

dimanche à partir de 15h, le CSIA-Nitassinan organise une rencontre à l’occasion de la 42ème édition de la Journée internationale de solidarité avec les peuples autochtones des Amériques
avec au programme : une Conférence inaugurale : Tauléwali Clarisse Da Silva, Kali’na de Guyane "française", artiste Kali’na et présidente de Jeunesse autochtone de Guyane (JAG) - Suivie d’une minute de silence en hommage à Sidoine Malicoumane, jeune autochtone de Guyane décédé récemment dans des circonstances étranges.
Cette conférence sera suivie d’une table ronde – intitulée : "Parler sa langue autochtone, c’est résister et construire l’avenir", une table-ronde qui réunira : Nigel Crawhall, Chef de Section UNESCO - Systèmes de Savoirs Autochtones et Locaux (LINKS) ; Steve Chailloux, anthropologue Māʻohi de Polynésie, professeur de langue Māʻohi, membre du Tāvini huiraʻatira, parlementaire à l’Assemblée nationale ; Kuanene Daniel Wea, Kanak de Kanaky / Nouvelle Calédonie, président du MJKF, locuteur en langue Iaai d’Ouvéa et ancien élève des Écoles Populaires Kanak (EPK) , Taneyulime Ludwina Pilisi, Kali’na de Guyane "française", co-présidente et co-fondatrice de l’association Aukae, pour la préservation des territoires autochtones et le rayonnement de la culture et des arts Kali’na.
Après cette première table-ronde, il y aura un Hommage à Sacheen Littlefeather, l’actrice apache et yaqui, militante de l’AIM qui avait refusé en 1973, l’Oscar du meilleur acteur au nom de Marlon Brando pour "Le Parrain" en signe de protestation contre le traitement des Amérindiens par l’industrie cinématographique et la répression en cour à l’époque contre les militants autochtones occupant le village de Wounded Knee sur la réserve Sioux Lakota de Pine Ridge, dans le Dakota du Sud.
Suivra une Seconde table ronde : "Résistance amérindienne de Wounded Knee à Standing Rock, en passant par Oglala : Liberté pour Leonard Peltier !"
et enfin, un Hommage aux prisonnier.e.s de 530 ans de résistance dans les Amériques (Leonard Peltier – Dakota Sioux / Anishinaabe, prisonniers d’Eloxochitlán de Flores Magon et Miguel Peralta - Mazateco, Fidencio Aldama – Yaqui, prisonniers mapuche de Wallmapu - Chili / Argentine)
et si vous voulez participer à cette rencontre organisée par le CSIA-Nitassinan, rdv dimanche de 15h à 18h, à la Salle Jean Dame, 17 Rue Léopold Bellan, métro Sentier

enfin, dimanche à 18h30, le collectif sécurité toi-même organise une réunion pour discuter de la suite de ses maraudes contre les violences policières et d’initiatives qui se montent dans le quartier et aux alentours (groupe what apps antiraciste/antifasciste, collectif contre les violences policières a saint denis...)
et si vous voulez en discuter avec le collectif sécurité toi-même, rdv dimanche à 18h30 au Belvédère de Belleville

RDV CULTURELS

à 18h30, Le réseau Serhildan Paris et le Conseil Démocratique Kurde en France organisent une conférence sur le Confédéralisme Démocratique.
Il s’agira de revenir sur les principes et piliers fondamentaux du Confédéralisme Démocratique tel que l’a voulu son théoricien Abdullah Öcalan.
Et si vous voulez suivre cette conférence, rdv à 18h30 dans la salle G-2 à l’Université Paris 8 de Saint-Denis.

à 19h ce soir, la Quadrature du Net porpose on Apéro mensuel, avec au programme une discussion autour du livre Internet et Libertés, de Mathieu Labonde, Lou Malhuret, Benoît Piédallu et Axel Simoe :
« Des dizaines d’actions, de plaidoiries, d’articles, d’événements publics et de campagnes médiatiques nourrissent les souvenirs et les discussions des fondateurs, bénévoles, membres et salariés depuis la création de l’association au printemps 2008. Cette histoire devait-elle rester dans la seule mémoire de celles et ceux qui l’ont connue ? Quatre membres de l’association ont tenté de la raconter : en trois parties, vingt-deux chapitres et deux cent soixante pages, ils retracent à leur manière ces quinze années de militantisme grave et joyeux. »
et si vous voulez revenir sur ce livre avec ses auteurs, rdv à 19h pour l’apéro avec la Quadrature du Net, 115 Rue de Ménilmontant, métro Ménilmontant

à 19h30 ce soir, la parole errante organise une rencontre pour le Lancement de MARAUDES, de Sabrina Calvo et Dilem
PROMENADES DANS LA COMMUNE IMAGINAIRE DE BELLEVILLE
Les forces de l’ordre sont aux portes du quartier, mais les habitant·e·s s’organisent. Deux membres de la Commune libre de Belleville arpentent les différents secteurs du territoire. À travers les pérégrinations de Bri et dilem, c’est l’autonomie d’un quartier assiégé - acquise à la fois en puisant dans ses racines historiques et en se projetant dans les pratiques alternatives d’une logistique humaine un peu folle - dont il est question. Non pas seulement une utopie mais un terrain surréaliste ancré dans un contemporain urbain aux questions bien réelles : comment nourrir une population, comment composer les amitiés, comment interroger les structures de domination liées au genre et à la classe, aussi bien dans la société qu’au sein des espaces de militance. Comment vivre au quotidien l’enfer d’un futur répressif ?
Et si vous voulez discuter de cette plongée semi-documentaire dans un Belleville à peine réinventé, où luttes solidaires et espoirs poétiques se mêlent aux enjeux du vivant, rdv à 19h30 ce soir à la Parle errante, 9 rue François Debergue, à Montreuil, métro Croix de Chavaux

à 19h30 aussi ce soir, la Librairie El Ghorba mon amour en partenariat avec le collectif 17 Octobre 1961 Banlieue Nord/Ouest organisent un ciné-débat autour de la réalisatrice NASSIMA GUESSOUM – et de son film documentaire 10 949 FEMMES
et si vous voulez découvrir ce film sur les femmes dans la révolution algérienne à travers le portrait de Nassyma Hablal, et en discuter avec sa réalisatrice Nassima et Guessoum, rdv à 19h30 à la librairie El Ghorba mon amour, c’est au 148 bvd des provinces françaises, à Nanterre

à 20h30, le Centre Culturel Algérien propose la représentation du spectacle chorégraphique de Mehdi Slimani "Les Disparus", interprété par la Compagnie No Mad
Interprétée par dix danseurs, cette création unique évoque les événements du 17 octobre 1961. Couvre-feu, mobilisation, manifestation, les pas de danse, dans un langage hip hop s’enchainent et convoquent ces pages sombres de l’Histoire. Les corps se contractent et se tendent, se rassemblent et se révoltent. Loin des partis pris ou des positions revanchardes, c’est avec fraicheur, humour et émotion que le chorégraphe se lance dans ce travail de mémoire et aborde par son esthétique la nécessité de se souvenir, le devoir de savoir.
Et si vous voulez découvrir ce spectacle chorégraphique de Mehdi Slimani, rdv à 20h30 ce soir au centre culturel algérien, 171 rue de la Croix-Nivert – métro Boucicaut

demain et dimanche le lieu-dit propose, à l’occasion d es 20 ans de la mort de Pierre Bourdieu, un Week-end qui lui sera dédié
l’occasion de mettre en partage et en discussion auprès des non-professionnels, des militant-es, des curieux-ses, l’outillage théorique forgé par Bourdieu et ses équipes de recherche, pour mieux comprendre le monde social, ses logiques et ses rapports de domination.
Et si vous voulez y participer, rdv demain et dimanche au Lieu-Dit, 6 rue Sorbier, métro Ménilmontant

demain à 19h30, dans le cadre du Festival du Film Libanais de France, il y aura une soirée CINÉ DÉBAT - Révolution libanaise : trois ans après
Octobre 2019. Trente ans après la guerre civile, les libanais.e.s de toutes les régions du pays et du monde descendent en masse dans la rue pour exprimer leur désir de rupture, ancrant le pays dans une nouvelle ère.
Afin de marquer les trois ans de la Révolution, le Festival du Film Libanais de France propose un temps dédié à cet épisode de l’histoire moderne du Liban à travers une soirée de cinéma et d’échange.
Comment les images accompagnent-elles le geste révolutionnaire et le soulèvement populaire ? Quel rôle pour l’artiste devenu militant et quel regard nous offre-t-il ? Comment les femmes se sont emparées de la scène politique et artistique pour affirmer les espoirs d’une société nouvelle ? Et, trois ans plus tard, que nous reste-t-il de cette Révolution ?
Cet événement abordera ces questions à travers la projection de deux documentaires, Le Cèdre d’Octobre, réalisé par Salim Saab et Beirut : Eye of the Storm, réalisé par Mai Masri, suivie d’une table-ronde avec l’intervention de Salim Saab, Michelle Keserwany, Mickaël Robert-Gonçalves et Nemesis Srour.
Et si vous voulez participer à cette soirée ciné-débat consacrée à la Révolution libanaise, rdv samedi à 19h30 au cinéma le Cinéma Le Lincoln, 4 Rue Lincoln, métro Georges V

demain à 20h, l’Espace Paul Eluard de Stains accueille la représentation du spectacle "Derrière les fronts" proposée par la Cie De l’âme à la vague
Adapté du livre Derrière les fronts de la psychiatre palestinienne Samah Jabr, du documentaire éponyme d’Alexandra Dols et des extraits du livre de Frank Smith, "Gaza, d’ici-là" : cette création explore la souffrance intime et la dépression collective d’un peuple soumis à l’occupation.
Et si vous voulez la découvrir, rdv à 20h demain à l’espace Paul Eluard qui se trouve sur la place Marcel Pointet, à Stains

demain à 20h30, le Théâtre Rutebeuf propose la projection en avant-première du film RIPOSTE FEMINISTE, en présence des réalisateurices Marie Perennès et Simon Depardon
Élise à Brest, Alexia à Saint-Etienne, Cécile à Compiègne ou encore Jill à Marseille : elles sont des milliers de jeunes femmes à dénoncer les violences sexistes, le harcèlement de rue et les remarques machistes qu’elles subissent au quotidien. La nuit, armées de feuilles blanches et de peinture noire, elles collent des messages de soutien aux victimes et des slogans contre les féminicides. Certaines sont féministes de longue date, d’autres n’ont jamais milité, mais toutes se révoltent contre ces violences qui ont trop souvent bouleversé leurs vies.
Et si vous voulez découvrir ce film en avant-première et en discuter avec sa réalisatrice Marie Perrennès et son réalisateur, Simon Depardon, rdv demain à 20h30 au théâtre Ruteboeuf qui se trouve au 16 allée Léon Gambetta, à Clichy

dimanche à 18h30, il y aura le vernissage de deux expos Photographiques "Parloir sauvage au CRA de Rennes" et "Dublin sur le papier" d’Anthony Rouxel, Karim et Mahjoub
Anthony Rouxel est un photographe militant qui participe pleinement aux actions (manifestations, ZAD,... ) qu’il photographie. Ainsi pour la première exposition "Parloir sauvage au CRA de Rennes " il a participé dans le cadre de l’appel transnational du 07 mai 2016 à une manifestation au Centre de Rétention Administrative de Rennes où il a photographié le parloir sauvage qui s’y improvise.
Pour la seconde "Dublin sur le papier", il participe le 7, 8 et 9 Avril 2018 à " la Marche de soutien aux migrants Brest, Chateaulin, Douarnenez, Quimper contre le règlement de Dublin" il la photographie lui même mais s’y ajoutent les photographies faites par Karim et Mahjoub, deux sans-papiers participant à cette marque.
Pour inaugurer la semaine d’animation "No Border Week" décidée en prolongement d’une Motion de la Fédération Anarchiste adoptée au 80ème congrès à Merlieux le 6 juin 2022, la Librairie Publico propose donc le vernissage de ces deux expo dimanche à 18h30 et c’est au 145 rue Amelot, métro Oberkampf


Ce forum est fermé : vous pouvez encore consulter les discussions mais vous ne pouvez plus ni ouvrir un sujet ni répondre à un sujet.