Agenda FPP 2 mai 2023

mardi 2 mai 2023
par  Rosa

  • Politique :

La Cantine de la Brigade de Solidarité Populaire ouvre ses portes demain, mardi 25 avril à 12h. Vous pourrez y manger un déjeuner complet, c’est-à-dire entrée, plat et dessert, et tout ceci à un prix libre. Si vous voulez participer à la confection des repas en cuisine, allez-y plus tôt à 9h30. La cantine se trouve au 57 Rue Étienne Marcel à Montreuil. C’est à quelques minutes de la station de métro Croix de Chavaux sur la ligne 9

La permanence syndicale de la Confédération National des Travailleurs, la CNT, se tient aujourd’hui à 17H. Ce sera au 33 rue des Vignoles à quelques minutes à pied de la station de Métro Buzenval, sur la ligne 9. Vous pourrez prendre contact avec le syndicat, échanger sur leurs pratiques et orientations, découvrir le service librairie du syndicat (les éditions SNT-RP), obtenir des informations et bien sûr, rejoindre le syndicat.

L’union Syndicale des Yvelines tient comme chaque semaine un accueil ouvert à tous les travailleurs, afin de se rencontrer, s’informer, se former, partager diverses expériences et lutter.

En plus des discussions autour de ces thématiques, ils organisent chaque mois une formation sur un point spécifique du droit du travail, en présence de juriste spécialisés dans cette question.

Si vous voulez y assister, c’est à Librairie La Nouvelle Réserve, située 5 Rue du Maréchal Foch à Limay de 17h à 19h.

Comme chaque semaine, le mardi, la coordination contre la répression et les violences policières Paris et D’île de France ce réunit à partir de 18h30 au sein de la bourse du travail de Paris, 3 rue du Château d’eau. La coordination, créée en 2016 au moment du mouvement contre la loi Travail, à pour but de combattre la répression systématique du gouvernement face aux mobilisations sociales (blocus, manifestations, occupations).

La coordination se veut anticapitaliste, antipatriarcale, antiraciste, antiautoritaire, ancrée dans la lutte des classes, elle se bat contre toutes formes d’oppressions.

Une Assemblée générale d’organisation est proposée ce mardi 2 mai a 19h, à l’initiative du collectif Les Camarades du S. L’objectif est de faire en sorte que le mouvement d’opposition au gouvernement et en particulier à la réforme des retraites se poursuive après le 1er mai, et de faire en sorte que le mouvement ne s’essouffle pas. Pour s’y rendre, c’est ce soir à 19h au Belvédère Willy Ronis, 27 Rue Piat, dans le 20eme arrondissement de Paris. Pour s’y rendre en métro, prenez la ligne 11 et arrêtez vous à l’arrêt Pyrénées.

L’association "Stop Précarité" composé de plusieurs syndicats comme la CGT, de la CNT et de Sud ainsi que de juristes du travail organisent ce soir, de 19h à 21h à la Bourse du Travail (Turbigo), 67 rue de Turbigo dans le 3eme arrondissement de Paris. Cette séance est portée sur les indus, suspensions et autres privations de droits aux allocations familiales, handicapés, RSA, APL, de la part des Caisses d’allocations familiales.

Cette séance sera assurée par l’avocat Clément Terrasson. Il est possible de demander le compte rendu des dernières séances, en envoyant un e-mail à evelyne.perrin6@orange.fr.

  • Culture :

Le Squat Anarcha-féministe La Baudrière organise une soirée projection et débat autour du film-documentaire « Gulîstan - Terre des Roses », à partir de 18h30.

Voici le synopsis : Le documentaire se rend dans les montagnes du Kurdistan. Il dresse un portrait de la guérilla menée par les femmes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), défendant le peuple et le territoire kurdes.

Les femmes y partagent leurs pensées, les raisons qui les ont poussés à rejoindre le mouvement et ce qui les motive.

Elles nous montrent comment, en tant que mouvement révolutionnaire, elles luttent contre la modernité capitaliste et pour une vie libre.

La compréhension de ces luttes menées au Kurdistan est une source d’inspiration et d’apprentissage pour les combat féministes et anticapitalistes à toutes les échelles.

Pour s’y rendre, c’est à 18h30 au 65 bis rue Voltaire, à Montreuil. La station de métro la plus proche est Robespierre.

L’association « Les Amis du Monde Diplomatique » organise une conférence débat autour de la « La vidéosurveillance algorithmique, entre pouvoirs et résistance » à 19h au Lieu-Dit, 6 rue Sorbier à Paris. La conférence se fera en présence de Thomas Jusquiame, journaliste indépendant travaillant pour le Monde Diplomatique et Lundimat1 ainsi que de Félix Tréguer, chercheur post-doctorant au CERI Sciences Po et chercheur associé au Centre Internet et Société du CNRS. Le Lieu-Dit, où se trouve la conférence est au 6 rue Sorbier, dans le 20ème arrondissement. C’est as quelques minutes à pied de la station de métro Ménilmontant.

Le Collectif « Le Grand Continent » organise la conférence « Y-a-t-il une convergence des luttes féministes et écologistes ? » au sein de l’Ecole Normale Supérieure de Paris.

Voici la description de l’évènement : Né au cours des années 70, le concept d’éco-féminisme a trouvé ces dernières années un écho retentissant au sein des mobilisations sociales, en cristallisant l’idée d’une intersection entre les luttes pour la préservation de l’environnement et les revendications féministes. Mais comment ces deux pôles s’articulent-ils, tant conceptuellement que pratiquement ?

Dans un article publié dans nos colonnes, Catherine Larrère, montre que ce concept, qui se situe à l’intersection des schèmes de domination patriarcale et anthropique, qui s’exercent respectivement sur les femmes et la nature, doit nous aider à reconfigurer notre approche des questions environnementales.
L’écoféminisme peut-il constituer une nouvelle doctrine pour l’action en faveur de la préservation de l’environnement et de l’égalité femmes/hommes ? Peut-on parler d’écoféminisme sans naturaliser et essentialiser des comportements considérés comme féminins ? Pourquoi l’écoféminisme est-il le mouvement de la “force des femmes” et non de leur victimisation ? En quoi peut-il nous aider à renouer avec une
écologie du quotidien et de l’ordinaire ?
Afin de répondre à ces questions, nous aurons le plaisir de recevoir :

Camille Etienne, activiste pour la justice sociale et climatique ;
Catherine Larrère, philosophe et professeure émérite de philosophie à Paris 1, qui a récemment publié L’écoféminisme à la Découverte
Sandra Laugier, Professeure de philosophie à l’Université Paris I Panthéon Sorbonne ;
Réjane Sénac, directrice de recherche CNRS au Centre de recherches politiques de Sciences Po, le CEVIPOF.

La modération sera assurée par Julia de Ipola.
La table ronde aura lieu dans la Salle Dussane, au sein de l’Ecole Normale Supérieure, localisée 45 rue d’Ulm. La station de métro la plus proche, Censier-Daubenton, est à une dizaine de minutes à pied. La conférence est ouverte à toutes et à tous, mais les inscriptions sont obligatoires.

Voici le lien : https://www.eventbrite.fr/e/billets-y-a-t-il-une-convergence-des-luttes-feministes-et-ecologistes-615267450507?aff=ebdssbdestsearch

L’AERI, lieu auto-géré social, culturel et solidaire vous propose une soirée autour d’un atelier d’artivisme mercredi 26 avril, de 18h à 22h30. Le but de cet atelier n’est pas seulement de s’exprimer, voire même se défouler en créant des dessins et divers slogans, c’est aussi un moyen de lutter contre l’agression publicitaire qui pollue l’espace public et permet de s’en réapproprier une partie. Pour cet atelier, vous n’avez pas besoin d’être un artiste, ou même un graphiste, il faut juste vouloir militer. L’espace AERI se trouve au 57 Rue Étienne Marcel, à Montreuil. C’est à quelques minutes à pied de la Station Croix de Chavaux, sur la ligne 9.

Une présentation de la vie ainsi que de ses œuvres de Cornélius Castoriadis, résistant grec Trotskiste ayant fui la Grèce en 1945, alors qu’il était pourchassé par les autorités grecques et anglaises. Economiste et philosophe au début de sa vie, il va peu à peu abandonner l’idéologie Marxiste et critiquer son penchant productiviste. Il a également a co-fondé avec Lefort un groupe de la gauche radicale conseilliste « Socialisme et Barbarie » alors que le parti communiste français et stalinien est à son zénith.

La présentation aura lieu Mercredi 3 mai à 18h30, au sein de la Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 12ème Arrondissement de Paris. C’est au 181 Avenue Daumesnil, à une dizaine de minutes à pied de la Station Daumesnil.

La librairie « Le Genre Urbain » vous propose une soirée rencontre-débat autour du livre Trénelle, publié aux éditions La Belle Etoile, en présence de son auteur Steven Clemira. Il est Maître de conférences associé au CELSA - Sorbonne Université et professionnel de l’audiovisuel.

Voici la présention du livre par l’éditeur : À Trénelle, quartier populaire niché sur une colline de Fort-de-France, Max est un jeune garçon débrouillard et solitaire. Il grandit entourer de femmes. Man Suzanne, mère courage, ses soeurs Dina et Marcelle, et un beau-père maléfique dont il va tenter de fuir Max en se lançant à la recherche du père qu’il n’a jamais connu. L’enfant va devenir jeune homme et se dresser pour trouver sa voie, malgré les coups et les cicatrices. Tracer sa route et devenir Max.

La rencontre est mercredi à 20h, au sein de la librairie « Le Genre Urbain » située 60 RUE DE BELLEVILLE, dans le 20ème arrondissement de Paris. C’est à proximité de la station de Métro Pyrénées.

Le « Bar Commun » accueille le concert solidaire « On est toujours là », mercredi de 20h à 21h30 au 135 des Poissonniers, dans le 18ème arrondissement. La station de métro la plus proche est Simplon, sur la ligne 4.

Voici la description de l’évènement : Quel est le point commun entre l’Hymne des femmes, la folk irlandaise et Chostakovitch ? Aucun !

C’est pourtant ce que l’on vous propose de venir écouter lors d’une soirée festive le 3 mai à 20h pour faire entendre nos voix de musicien-ne-s contre la réforme des retraites.

Une belle soirée mêlant chant, harpe, flûte, violons, accordéon...
Improbable, mais ce sera toujours plus sympa que de travailler jusqu’à 64 ans !
Venez-vous joindre à nous pour ce moment festif, en solidarité avec le mouvement social